- Coupure de presse réalisée sans trucage...
On croyait que les statistiques ethniques étaient interdites en France, pour cause de discrimination. Ce n’est pas l’avis du CSA, qui passe son temps à compter les Blancs et les Noirs à la télévision, et qui absorbe un budget énorme pour cela.
« Autres bémols : les “non blancs” de nos fictions ne tiennent pas des rôles de héros. 16 % seulement en campent. Comme en 2015, ils sont même 31 % à endosser des rôles à connotation négative, contre 26 % de rôles à connotation positive. Ils ne sont que 21 % à incarner des personnages appartenant aux catégories socio-professionnelles supérieures, par ailleurs sur-représentées. »
On rappelle que la Kommandantur racialiste de la télévision engloutit chaque année 38 millions d’euros pour enregistrer les plaintes des groupes de pression communautaires et compter les temps de parole ou de passage des uns et des autres, que ce soit des hommes politiques ou des « racisés ».
Et dans ces 38 millions, tenez-vous bien, 23 partent en charges de personnel. Comment que ça se goinfre, chez les amis des oligarques ! L’antiracisme, ça rapporte ! Mais pas autant que l’antisémitisme puisque la DILCRAH, elle, totalise 100 millions de budget ! Faramineux ! Éblouissant !
Tout ça pour traiter les Français de « racistes » et d’« antisémites ». Elle est pas belle, la France ? Et après, ils – les professionnels du milieu – se plaignent que la télé se casse la gueule... Elle suit tout simplement la pente de la presse, malade de la peste de la bien-pensance, qui fait fuir le lecteur.
Et ne ratez pas la conclusion savoureuse de l’article de Ouest-France sur le journal de Jean-Pierre Pernaut, ce vieux Blanc de plus de 50 ans qui n’est – ô horreur – pas noir !
On peut désormais l’affirmer : l’antiracisme est un racisme.
- Hugo Lloris, dernier survivant Blanc de l’équipe de France 2014 : que fait le CSA ?
Il y a du mieux en matière de représentation de la France dans toute sa diversité à la télé. C’est la bonne nouvelle apportée par le nouveau baromètre de la diversité, publié jeudi [4 janvier 2018] par le Conseil supérieur de l’audiovisuel.
Dix-sept chaînes de la TNT gratuite ainsi que Canal + ont été passées au crible. Plus de 50 600 personnes s’exprimant à l’écran entre 17h et 23h pendant deux semaines en juin et en septembre, ont été examinées et analysées par le CSA, en fonction de leur sexe, origine, âge, catégorie socio-professionnelle. La situation de précarité a aussi été prise en compte.
Résultat : pour la première fois depuis sa création, en 2009, le baromètre révèle un bond de plus de 3 points des personnes « vues comme non blanches » dans les fictions et les programmes d’information. La proportion est de 19 % en 2017, contre 16 % en 2015.
Ce ne sont pas des héros
Avec 23 % de représentées contre 17 % en 2015, « c’est dans la fiction que l’augmentation est la plus flagrante », souligne Mémona Hintermann, présidente du groupe de travail cohésion sociale du CSA. L’ex-journaliste de France TV se réjouit de cette progression, à un an de terminer son mandat. « Ça valait la peine de se quereller à longueur de temps avec les scénaristes, les producteurs, les patrons de chaîne. Un pas décisif a été franchi en 2017. »
Cette augmentation est toutefois à relativiser par le fait qu’elle est due aux diffusions de fictions américaines. « Oui, mais l’imaginaire américain et ses séries servent à booster l’idée que nos écrans ne doivent plus être aussi irréalistes. Et dans la fiction française, il y a aujourd’hui 20 % d’acteurs non blancs. »
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Parmi les autres enseignements de ce baromètre : ni les vieux (5 % à l’écran), ni les jeunes (9 %), ni les gens dans la diversité sociale ne crèvent l’écran. « Cette télé est ultra-déformante. On critique beaucoup le journal de Pernaut (sur TF1). Bien sûr, c’est un peu la France des sabots et des forgerons, mais il faut aussi qu’elle soit vue. »
Lire l’article entier sur ouest-france.fr
La présidente du CSA Mémona Hintermann en juillet 2016 sur LCP :
Hintermann explique la vraie « diversité » sur Europe 1 en janvier 2017 :