Egalité et Réconciliation
https://www.egaliteetreconciliation.fr/
 

Guy de La Fortelle – Crise bancaire : c’est le retour du quoi qu’il en coûte ou l’effondrement

 

 

Suivez E&R sur Telegram

Voir aussi, sur E&R :

 






Alerter

11 Commentaires

AVERTISSEMENT !

Eu égard au climat délétère actuel, nous ne validerons plus aucun commentaire ne respectant pas de manière stricte la charte E&R :

- Aucun message à caractère raciste ou contrevenant à la loi
- Aucun appel à la violence ou à la haine, ni d'insultes
- Commentaire rédigé en bon français et sans fautes d'orthographe

Quoi qu'il advienne, les modérateurs n'auront en aucune manière à justifier leurs décisions.

Tous les commentaires appartiennent à leurs auteurs respectifs et ne sauraient engager la responsabilité de l'association Egalité & Réconciliation ou ses représentants.

Suivre les commentaires sur cet article

  • "Il faut pas rêver"

    Le vieux il sous estime la colère des estomacs vide.

     

    Répondre à ce message

  • Le "quoi qu’il en coûte" et l’autre théorie macronienne du ruissellement se rencontrent uniquement pour le remboursement de la dette.

     

    Répondre à ce message

  • Cher E&R, vous avez publié récemment un papier sur la crypto-monnaie Monero
    https://www.egaliteetreconciliation...
    Serai-il possible que vous approfondissiez le sujet pour toute la communauté E&R. En effet si le système financier se casse la gueule, il faudra avoir eu le temps de convertir des € en cryptos monnaies. La Blockchain, les échanges P2P, sont des moyens idéaux pour s’émanciper du bordel sans devoir demander la permission et sans rendre des comptes.

     

    Répondre à ce message

  • L’explication est simple : A veut acheter un immeuble à B
    Pour ce faire A emprunte à C l’argent pour payer l’immeuble.
    L’immeuble devient la base de l’échange.

    Le quoi qu’il en coute c’est de l’agent que t’empruntes et que tu donnes ensuite.
    Sauf que cet argent est basé sur rien ,sur du vent.
    Pour récupérer ce trop plein qui est de 300 000 000 000 il faut augmenter le prix des échanges en augmentant les heures de travail ou en augmentant les années de travail en augmentant le prix des produits en augmentant le prix de l’énergie en augmentant le prix des services etc...
    Si ce n’est pas fait cela ouvrerait la boite de pandore d’une crise qui ne se refermera que par un gouvernement nationaliste.

     

    Répondre à ce message

  • #3153563

    Au moins Marx avait eu raison sur un point : l’économie financière (AA = investir de l’argent pour faire de l’argent) est la conséquence de la destruction de la valeur travail.

    Nous n’avons des dettes en Occident que par et à cause de la destruction de la valeur travaiL : travailler est moins rentable que spéculer.

    Travailler est moins rentable que spéculer parce que seule la spéculation peut échapper à l’impôt en se "déterritorialisant" ; et dans les sociétés sous ou peu imposées, le travail non grevé d’impôts est plus rentable que spéculer.

    C’est donc l’impôt qui créé l’économie financière (qui en fait est la fin de l’économie).

    Or, quand nous remontons la chaine des causes de l’impôt, on voit que sa source est le péché originel : l’indépendance de la Raison par rapport à Dieu (la laicité).

    Car avant le péché originel on nait pour mériter les cieux.
    Alors qu’après le péché originel on nait pour jouir sans avoir besoin d’aucun mérite puisque "on est comme des dieux".

    On peut en rapporter la preuve très simplement : si on supprime dans l’économie toutes les recettes "sans contre partie d’un travail reel" (Celui qui ne veut pas travailler ne mange pas selon Saint Paul) n’ayant plus de subventions, il n’y aura plus dettes, et donc plus d’impôts.

    On a dit (avec raison) que ce serait la fin du welfare state : pas seulement. Ce serait aussi la fin des banques subventionnées et en fait la fin de la société de jouissance sans travail, du dividende à la spéculation et de la spéculation à la CAF de la CAF à la subvention.

    Eh bien c’est impossible de remettre à l’endroit notre société en postulant que "le peuple est souverain" (axiome du péché orifinel). Cette remise à l’endroit n’est possible que si on dit "Dieu est souverain" (Axiome de la Création). Ce n’est pas ce qui est en bas qui gouverne,quoique majoritaire, c’est ce qui est en Haut parce qu’Il est Unique et en Haut.

    La preuve : on est ruinés.

    Agonisants.

     

    Répondre à ce message

    • La "valeur travail" dont vous parlez n’existe que dans votre imagination et Marx n’a jamais expliqué la financiarisation de l’économie capitaliste à partir de cela.

      Les valeurs d’une société correspondent au seuil de développement de ses forces productives. Lorsque les forces productives atteignent un certain seuil d’automatisation robotique, le travail humain devient minuscule relativement aux machines automatisées et la société voit ainsi, en conséquence (et non en cause), ses valeurs être modifiées en ce qui concerne le travail des hommes, mais aussi la religion, la famille, etc...

      A - A, de l’argent qui produit de l’argent, est le résultat final du développement de la valeur d’échange qui a travaillé en profondeur depuis le néolithique. Il est inhérent à la valeur d’échange.

       
    • Excellent ; mes compliments , ce n’est pas tous les jours fête mais là la musique est bien réelle , une musique divine , enchanteresse . Vous devez être comme moi et ne jamais fêter le 14 juillet .

       
    • " Sur les différentes formes de propriété, sur les conditions d’existence sociale s’élève toute une superstructure d’impressions, d’illusions, de façons de penser et de conceptions philosophiques particulières. La classe toute entière les crée et les forme sur la base de ces conditions matérielles et des rapports sociaux correspondants. L’individu qui les reçoit par la tradition ou par l’éducation peut s’imaginer qu’elles constituent les véritables raisons déterminantes et le point de départ de son activité. "

      Marx - Le 18 brumaire de Louis Bonaparte

       
  • Crédit Suisse pourri ( idem UBS sauvé en 2008 par la BC) cela ne date pas d’hier, mais d’avant-hier et avant 2008, pour l’instant tout va bien !
    Bien joué le clin d’œil à " the big short" bouquin hilarant sur un sujet ardu et chef-d’œuvre de M.Lewis, depuis hormis celui sur le flash trading sa production baisse en qualité et humour.

     

    Répondre à ce message