Ce qui compte en politique ce sont les constantes et les courants.
Pas les détails toujours changeant ou l’écume des mers.
Or, en politique Française (et donc européenne car c’est la France qui fait l’Europe et non l’inverse), le pouvoir mondialiste perd toutes ses batailles depuis sa déclaration de guerre du traité de Lisbonne.
Certains diront , ne regardant que l’écume des mers, que pour des perdants, les mondialistes se portent plutôt bien puisque depuis Lisbonne le camp national a apparemment perdu toutes ses batailles pour n’avoir rien obtenu sauf la levée d’une taxe sur les portiques écologiques.
Mais l’écume n’est pas la mer, et l’instant pas l’Histoire.
Depuis Lisbonne , nous gagnons au contraire toutes nos batailles car aussi longtemps qu’ils ne nous auront pas vaincus, qu’à chaque bataille notre front se renforce, les vagues suivantes remplaçant les précédentes, alors nos forces étant inépuisables, et les leurs comptées et diminuant, notre victoire, pour être future, est certaine :
LMPT est morte, les bonnets rouges lui ont succédé
les bonnets rouges sont morts, les GJ leur ont succédé
Si les GJ devaient mourir, nos troupes de réserve se monteraient à 67 000 000 d’individus ravis d’en découdre.
Plus intéressant encore : le temps travaille pour nous, contre eux.
C’est le temps qui nous permet de recruter et rallier.
C’est le temps qui les use et finit par les dénoncer.
C’est par le temps que nous nous professionnalisons et améliorons.
C’est par le temps qu’ils usent leurs forces et leur crédit.
Par le seul fait que nous durons, et que la vérité nous donne le nombre, et le nombre l’immortalité, pour eux, demain sera toujours pire qu’hier.
Nous gagnons la bataille idéologique qui est la reine des batailles.
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