Charline, c’est la fausse amuseuse de la matinale de France Inter qui cache un vrai commissaire politique à l’humour. Elle le dit elle-même dans une interview accordée au Parisien le 23 juin 2019. Elle a enfilé son habit de procureur, décrétant ce qui ressort de l’humour et ce qui n’en est pas, ce qui peut passer et ce qui ne passe pas. Et elle se plante en beauté, stupidité gauchiste oblige, sur la ligne politique d’E&R !
« Je suis toujours hallucinée qu’on déroule le tapis rouge à l’extrême droite. En Wallonie, elle n’est jamais sur les plateaux et, aux européennes, elle a fait moins de 5 %. En France, Marine Le Pen est partout et a gagné le scrutin… Les médias sont responsables de la banalisation de ses idées. Surtout ceux comme Sud Radio dont les théories d’Alain Soral sont le fonds de commerce. »
Avec Charline, on est dans l’intolérance (vis-à-vis des humoristes non conformes) et la soumission aux oukases du CRIF et elle assume. Nous, on reste sans voix, mais on comprend que l’impunité donne des ailes : France Inter est désormais la première radio de France. Vive la propagande et vive les propagandistes ! Vive la collaboration ! Je suis Charline !
L’interview aurait dû s’appeler Dans la peau d’Alain Jakubowicz, tant transpire la vanité du censeur qui autorise ici et interdit là, d’un geste las. D’ailleurs, dès la première question, le procureur radio déclare qu’il ne veut pas être procureur télé :
Le Parisien : « Avez-vous été approchée par Laurent Ruquier pour remplacer Christine Angot et Charles Consigny dans “On n’est pas couché” ?
Charline : Non ! Jouer les procureurs, non merci… À chaque fin de saison, Guillaume Meurice et moi sommes sollicités. Sauf si une chaîne a un concept génial, on ne veut pas faire de télé. Vous allez me prendre pour un Ostrogoth mais je préfère la radio. À France Inter, on a une liberté totale. L’aurait-on ailleurs ? Pas sûr… »
Avis aux chaînes qui ont un « concept génial », le duo de génie Charline-Meurice qui insulte les gens dans le TGV consentira peut-être à étudier la proposition.
La « ligne jaune » est une étoile que Charline fixe en permanence...
Reprenons l’affirmation « à France Inter, on a une liberté totale » et croisons-là avec la réponse à la 6e question . Nous allons voir que le procureur radio ne craint pas la contradiction majeure :
Le Parisien : « Vous n’avez jamais été convoqués au CSA ?
Charline : Non. Deux membres du CSA ont demandé à nous rencontrer pour savoir comment on faisait justement pour ne jamais franchir la ligne jaune. Je leur ai dit que cette rencontre ressemblait au fameux sketch des “Guignols” intitulé “Encule un mouton” où Alain de Greef, mythique directeur des programmes de Canal +, doit expliquer au CSA ce qu’est l’humour. Mais ils n’avaient jamais entendu parler du sketch. J’ai dû leur raconter… Je ne faisais pas la maline. C’était une vraie mise en abyme. »
Premièrement, « on a une liberté totale », deuxièmement, on sait comment ne « jamais franchir la ligne jaune », ce qui donne, si on veut être logique : on a une liberté totale dans les limites de la ligne jaune. On ne va pas réexpliquer ici ce qu’est la ligne jaune, tout le monde est au courant depuis 15 ans et l’affaire Dieudonné, qui est surtout l’affaire CRIF car Dieudonné n’est coupable de rien.
Voici maintenant les vrais humoristes, qui sont « dans la satire et jamais dans la diffamation » – malgré les insultes récurrentes à l’encontre des patriotes, des catholiques, des dissidents, le vrai cahier des charges des amuseurs de service public payés par nos soins –, ce qui laisse deviner qui sont les vilains dans la diffamation mais pas dans la satire :
Le Parisien : « Comme Laurent Ruquier, avez-vous “l’impression de vivre sous la dictature des réseaux sociaux et de Marlène Schiappa” ?
Charline : Pas du tout. On est épargné des polémiques car, comme nous, notre public a grandi avec Charlie Hebdo, Siné ou les “Guignols”, et sait qu’on est dans la satire et jamais dans la diffamation. »
Conclusion : l’escroquerie Charline
Il n’y a qu’un humour, celui des gauchistes qui ont colonisé le service public sous la haute protection des lobbies dominants et contre l’avis de la majorité des Français. Le reste n’est pas de l’humour, c’est de la haine, de la diffamation, et ça mérite répression, ça mérite prison ! On n’entend à ce propos jamais ces grands défenseurs de la liberté quand Dieudonné est empêché de jouer par des maires qui ont le flingue du préfet qui a le flingue du CRIF sur la tempe, ou quand Soral est menacé de prison pour un dessin d’humour qu’il n’a pas fait !
La gauchiste Charline peut taper sur les anti-Système comme elle veut, ce ne sera jamais de la diffamation, uniquement de la « satire ». Inversement, ceux qui ne respectent pas la ligne jaune – sous-entendu les fachos –, eux sont dans la diffamation car ils sont mus par la « haine », comme l’expliquent le CRIF, la LICRA et autres dispositifs de surveillance-punition.
Les chiens ne font pas des chats.
Bonus : Didier Maïsto s’indigne de l’amalgame de Charline
entre Sud Radio et Alain Soral !