Résumé de cette info insolite par Valeurs Actuelles :
« Deux morceaux de bois sont ainsi positionnés de chaque côté de l’assise. Une fois sur la chaise, l’utilisateur s’y retrouve coincé et dans l’impossibilité d’écarter les jambes. Une façon de limiter le manspreading, signifiant littéralement “l’étalement des hommes”. Un phénomène dénoncé depuis plusieurs années, notamment dans le métro. Le terme a même été ajouté au “Oxford English Dictionnary” en 2015 après une campagne menée contre cette pratique. Le prix Belmond, qui a récompensé cette initiative, est un prix national qui fait appel à des idées novatrices et bien pensées. “Cela est venu de mes propres expériences d’hommes empiétant sur mon espace public”, explique la créatrice. “Avec ma chaise, j’espérais attirer l’attention sur l’acte de s’asseoir pour les hommes et pour les femmes et lancer la discussion à ce sujet”, poursuit-elle, « surprise », “heureuse” et “honorée” de recevoir ce prix. »
- La coupeuse de couilles britannique
Il y a 20 ans, cette nouvelle aurait fait le tour des rédactions et déclenché des sourires ponctués de « n’importe quoi », « arrête avec tes conneries Bertrand », « c’est la une de Charlie ? » et autres « encore une merde de l’art contemporain ». En juillet 2019, ça ne fait plus rigoler personne : c’est féministe, donc sérieux, et ça ressemble à une chaise à torture pour hommes. Pour salauds, quoi.
À cause de hordes de clandestins sexuellement frustrés qui emmerdent les femmes dans les transports en commun, le féminisme avance sur la voie de la castration généralisée. On parle beaucoup de violences faites aux femmes en ce moment, mais l’espace de liberté dévolu aux hommes se réduit comme peau de chagrin. On sait bien que les féministes ont un contre-argument qui consiste à dire que les hommes qui perdent leur pouvoir pleurnichent.
Oui, se faire couper un peu plus de couilles chaque jour n’est pas agréable, et l’offensive schiappesque a les moyens de ses ambitions (400 millions) : elle est en train de nettoyer la télé de ses derniers mâles blancs (non sionistes) de plus de 50 ans pour les remplacer par des femelles de couleur de moins de 30 ans qui sont beaucoup plus malléables politiquement, suivez notre regard. En même temps on s’en fout, de moins en moins de Français regardent la télé, et il y a peut-être un lien de cause à effet... Le vieux mâle blanc, il faisait parfois de bons programmes !
Illustration avec la nouvelle présentatrice sur Arte de l’émission géopolitique Le Dessous des cartes. Avant, LDC était présentée par un vieil homme blanc, Jean-Christophe Victor, malheureusement décédé, et pas sur décision de Schiappa. Il a été remplacé par une femme blanche, pas encore de couleur, mais en route on n’a pas perdu que de la testostérone et des années, on a aussi perdu ce qui faisait l’intérêt de ce programme : il n’y a plus un seul gramme de mal-pensance. On regrette les analyses sans parti pris du vieux mâle, qui détonaient un peu sur Arte. Aujourd’hui tout est normalisé, comme au bon vieux temps du soviétisme.
Nous voilà donc en pleine lutte anti-manspreading, le souci numéro un de millions de Français, entre ceux qui ne partent pas en vacances et ceux qui n’ont plus un flèche dès le 15 du mois. La victimisation bat son plein dans les médias, et l’invention de Laila Laurel, une étudiante de 23 ans, tombe à pic. Les hommes garderont les jambes serrées devant les femmes. Pour les mecs qui ne sont pas sexuellement frustrés, cette posture est une punition. Les autres trouveront bien d’autres moyens d’emmerder les femmes, on leur fait confiance.
Au lieu de faire du concours Lépine (qui sera forcément remplacé un jour par le concours Léchatte) sur des histoires de jambes écartées, les femmes, généralement de gauche, devraient plutôt admettre que le fond du problème n’est pas dans la forme des sièges mais bien dans l’immigration subsaharienne de jeunes hommes déracinés qui deviennent littéralement fous de désir quand ils voient une jolie blanchette en mini-jupe et talons hauts, tout nichons dehors et cul moulé à la louche. Là on dépasse le loup de Tex Avery en matière de violence sexuelle potentielle.
Tant que les féministes en particulier et les femmes en général – qui votent massivement pour les partis immigrationnistes – ne reconnaîtront pas le danger pour elles de l’immigration de masse, elles subiront la violence de leur propre hypocrisie.
#ALGSEN Un groupe de supporters algériens entoure la voiture de 2 jeunes femmes françaises, volent leur téléphone, leur sac et leur argent puis justifient leur acte en disant : "c'est des femmes, leur place est à la maison".
Silence de Marlène #Schiappa... pic.twitter.com/eC7lPFFeWi— Napoléon (@tprincedelamour) 20 juillet 2019
Et pendant ce temps-là, le vieux mâle blanc, la queue entre les jambes, castré par les féministes, va chercher le bonheur avec des femmes non féministes dans d’autres pays...