« Le pape qui applique le programme mondialiste, c’est comme si Netanyahou défendait les Palestiniens, si vous voyez... » (Nous)
Nous sommes au Vatican, place Saint-Pierre, au cœur de Rome, ville éternelle, le 31 décembre 2019 au soir. François, le faux pape, réagit à une poignée de main un peu trop durable d’une fidèle de type asiatique. Soyons précis, les faits sont importants.
VIDEO : An image of Pope Francis slapping his way free from the clutches of an admirer yesterday had social media abuzz with comments on the pontiff's prompt riposte pic.twitter.com/5aHO0orbtN
— AFP news agency (@AFP) January 1, 2020
Certes, François a 83 ans et il ne peut pas serrer toutes les mains, surtout les plus énergiques. De plus, une fois la main du pape en main, une personne mal intentionnée pourrait lui envoyer une sonde dans le bras qui remonte jusqu’à l’épaule, entraînant une luxation ou, dans les cas les plus graves, une démission de membre (de l’expression démettre un membre).
Que vaudrait alors un pape avec un seul bras, même s’il est faux (le pape, pas le bras) ? Un pape unibrassiste ne serait plus crédible, déjà que celui-ci ne l’est plus beaucoup. Il ressemblerait en outre à Jamel, l’humoriste qui a arrêté la scène faute de sketches suffisamment personnels, et ne pourrait plus serrer autant de louches. Or ce pape est avant tout un serreur de louches et un cireur de pompes...
Le cireur de pompes de Soros (et de Satan par la même occasion)
Revenons au sérieux : pourquoi a-t-on l’outrecuidance de dire que ce pape est un faux ? Il est pourtant gentil avec les pauvres, il baise les pieds des Noirs, il va à Auschwitz, tout ça, c’est donc un superchrétien, non ?
Sauf que ce n’est pas si simple.
François ne baise pas les pieds de n’importe qui, il s’agit de ceux d’un migrant. Le message ? Ce sont les victimes d’aujourd’hui (presque des juifs de 1933, mais n’exagérons pas). Et les victimes de qui ? De l’intolérance, du racisme et de l’égoïsme des Européens, sous-entendu des Blancs. Tous les messages contenus dans les symboles fonctionnent sur une série de sous-entendus et d’amalgames, on ne fait que décrypter.
Ce faisant, François voue donc les Blancs européens aux gémonies, à la Géhenne. Nous serions en quelque sorte les Pharisiens, les assassins d’un Christ générique migrateur de couleur (CGMC). C’est osé, mais aussi très con, car cela recoupe exactement le message de Soros, qui est tout sauf un chrétien, c’est même un sataniste (long à expliquer mais prouvable).
Il n’y a évidemment pas que l’alignement sur les thèses satano-sorossiennes en matière de migrants, il y a aussi tout le reste, et ça colle sauvagement à presque toutes les injonctions mondialistes (on retire l’avortement), cette nouvelle morale qui va contre la morale chrétienne, et c’est là où le bât franciscain blesse gravement.
François coche toutes les cases foireuses
Après toutes ces tournées mondialistes, il ne lui reste plus qu’une date : aller chez Daech à Idlib en Syrie pour baiser les pieds de l’héritier d’al-Baghdadi formé par la CIA, et le tour sera complet, la coupe sera pleine.
Conscient de l’effet désastreux dans sa com jusqu’ici exemplaire (pour les journaux mainstream déchristianisés), François a rétropédalé sur l’affaire de la louche asiatique, et s’excuse d’avoir « perdu patience » :
« Cela m’arrive à moi aussi. Je m’excuse pour le mauvais exemple donné hier »
Franchement, si cet épisode qui est une faute lourde peut lui valoir un licenciement par les évêques, ça ne sera que justice, et le prochain pape ne pourra pas être pire dans le genre mondialiste. Quoique, maintenant que la boîte de Soros a été ouverte...
Les preuves que le pape est chelou
- François Zéro inaugure ici un monument à la gloire des migrants et de l’antiracisme qui ressemble outrageusement à ces sculptures flippantes de déportés qu’on trouve un peu partout dans les parcs des grandes villes (à la campagne les gens s’en foutent)
Soyons honnêtes, y a pas que le pape de chelou, y a aussi une bonne partie des cathos qui se fait bouffer la laine sur le dos et qui finit ratissée par les antichrétiens radicaux. On dit ça on dit rien.
Conclusion : on a déjà un Soros, et fort à faire avec lui, donc on n’a pas besoin d’un second Soros. Il nous faut un vrai pape pour lutter contre Soros.