Pour croire en Satan il faut aussi croire en Dieu
Je reste convaincu que toute l’histoire du monde ne peut s’expliquer que par les actes des hommes. Il y a nécessairement un transcendant, un dénominateur commun à tout ça. L’homme est trop cupide pour mener a terme un projet d’une telle ampleur que la fusion du monde, il y aurait forcément eu des conflits d’intérêts, de pouvoir, qui menacerait la mise en œuvre du projet. Deux siècles au minimum que tout semble se dérouler comme le ruban d’un orgue de barbarie (c’est le cas de le dire).
Et puis cette explosion soudaine de la science au vingtième siècle, alors qu’on nous explique que cela fait des siècles que des illustres penseurs et scientifiques ont tourner toutes les questions dans tout les sens. Et au final, on nous expliquer que les bouseux des siècles précédents, n’ayant aucune machine à laver la vaisselle étant forcément plus malheureux que nous. Ceci dit, les siècles précédents n’avaient pas la bombe atomique, les nombreux virus comme le Sida, j’en passe et des meilleurs.
Alors oui, la médecine à prolongé la durée de vie (c’est ce qu’on dit) mais au final, on est 7 milliards, on déglingue la planète, on vie mal, les trois-quarts des Français sont sous prozac entre deux dépressions.
Le pire, c’est que les gens sont convaincus que le vingtième siècle fut un siècle de progrès alors que personne ne peut avoir de certitudes sur le passé si ce n’est en ayant une totale confiance en l’histoire qu’on nous inculque. Rappelons que l’éducation national passe sous silence de nombreux sujets, comme le pouvoir des banques.
Comment alors concilier le fait que nous sommes conscient de la domination et l’acceptation de l’histoire comme n’étant que la suite logique, naturelle et nécessaire de l’évolution de l’humanité. C’est incompatible tout simplement.
Beaucoup pensent que la théorie du complot (dans sa définition généraliste) est impossible car cela impliquerait trop de personnes, sur une trop longue période, etc ... Maintenant, supposons que les actions de nos dominants sont motivés par des forces obscures, nul besoin d’un plan et consentement commun. Le seul et l’unique qui dirige et tire les ficelles de ce projet, le "maker of rules, dealing with fools" comme dit la chanson, c’est Satan.