Chaque jour offre son lot d’avancées antiracistes qui sont autant de reculs de la pensée, de l’intelligence et de la Raison.
Avant toute chose, une précision : être opposé à l’antiracisme ne signifie pas automatiquement être raciste (sauf pour les simples d’esprit du type Dominique Sopo), c’est même quasiment le contraire. Nous sommes anti-antiracistes car nous sommes opposés à l’idéologie du même nom qui n’a rien d’antiraciste en soi : elle exploite en revanche la frustration des peuples ou des communautés dites racisées pour en faire les fers de lance du mondialisme, ce concentré des intérêts supérieurs de la Banque et des réseaux occultes qui sont à son service. C’est pour cela qu’on a renommé l’antiracisme « la nouvelle Traite des Noirs », une Traite 2.0 qui prend au piège les esprits faibles, ou limités, qu’ils soient noirs ou blancs. On retrouve justement ces deux catégories dans les manifestations contre le prétendu racisme.
- Qu’est-ce qu’elle fout là, elle ?
Ainsi, c’est plus clair. On espère qu’Emmanuelle Gave a pu suivre jusque-là.
Ceci étant dit, on observe en toute objectivité que l’antiracisme est une dégénérescence de la pensée, une démagogie destructrice. Le but non avoué est de laisser la colère, parfois légitime, détruire le Logos. Or, c’est au contraire la fusion de la colère et du Logos qui produit de la justice. Ensuite, il sera encore plus facile pour les forces mondialistes de régner sur des peuples culpabilisés, apeurés à l’idée d’une moindre pensée non antiraciste, et surtout, à l’esprit vidé de toute raison, de toute logique, base de toute action efficace.
Là est la clé des délires actuels. Pour ce faire, les forces mondialistes utilisent le bélier de la frustration noire pour mettre à bas ce qui reste de vraie démocratie dans nos démocraties : étouffement de la liberté d’expression, établissement de lois contre l’opposition réelle. L’entrisme antiraciste dans nos institutions fonctionne comme un cheval de Troie : une fois à l’intérieur de nos lois et esprits, il sera trop tard pour réagir. Déjà, Sibeth Ndiaye commence à rayer les passages noirs de l’Histoire de France. Une noirceur évidemment vue à l’aune d’aujourd’hui, c’est-à-dire de l’idéologie mondialiste antiraciste.
- Oh, tu manifestes et tu pilles pour George ? Floyd ou Soros ?
Les pauvres, les Noirs, les opprimés sont les soldats inconscients de cette manipulation contre la démocratie et le nationalisme, faussement résumés dans « le pouvoir blanc ». Les mondialistes veulent abattre les frontières, les nations, et les États qui par définition les soutiennent, comme le chevalement soutient les galeries des mines, et ils ont déjà commencé en 2015 avec les chocs migratoires infligés aux pays jugés encore trop étatiques (France, Italie, Allemagne), pas assez ouverts, pas assez open society.
Pandémie Covid-19 contre pandémie Gilets jaunes
Aujourd’hui, nous entrons dans la phase suivante du processus de démantèlement des États et des Esprits. La révolte des Gilets jaunes, qui a commencé à s’internationaliser dangereusement, a été détruite par une ingénierie sanitaire, ou plutôt pseudo-sanitaire. Maintenant toute résurgence socialiste (dans le vrai sens du terme) doit être neutralisée par la nouvelle ingénierie antiraciste. La race remplace le social, même Manuel Valls, qui semble revenir à ses fondamenteux dans une interview à paraître dans Valeurs actuelles, l’admet :
Selon Manuel Valls, « la lutte des classes disparaît au profit de la guerre entre races »
➡ « La mort d'Adama Traoré est un drame », qui est « instrumentalisé par (sa) sœur, Assa, et le collectif de soutien », affirme aussi l'ancien Premier ministre >https://t.co/xegCDEvU4g pic.twitter.com/4tinIgcjCw— Le Parisien (@le_Parisien) June 17, 2020
Devant l’émotion antiraciste, l’ancien Premier ministre a quelque peu rétropédalé :
« Je comprends évidemment l’émotion. Ce que je dis dans l’interview c’est qu’une partie de la gauche, toute la mouvance dite “décoloniale” a remplacé la lutte des classes par la guerre entre guillemets entre “races”. Je parle de guerre car les mots qui sont utilisés sur par exemple l’idée d’une existence d’un privilège blanc, montrent la dangerosité de ce débat.
Je dis qu’on cherche à nous imposer une grille de lecture essentiellement américaine d’un côté. Mais il y a aussi de l’autre côté le suprémacisme blanc aux USA, on chercherait également à nous imposer l’idée que l’homme blanc est en danger dans notre pays… Attention à ce débat parce qu’il tourne le dos à une conception de la République, de ce que nous sommes et qui devrait nous amener à vivre ensemble. Comme je ne suis pas naïf je sais qu’il y a des inégalités, des discriminations, du racisme, je dis que dans certains quartiers, dans certains pays, être noir c’est plus difficile bien évidemment. »
Manuel, qui a été un temps un dirigeant socialiste tendance antiraciste, pro-sioniste et un acharné de la lutte contre un prétendu antisémitisme français pour le compte du CRIF (qui a dû lui promettre le poste de président), est en train de revoir sa copie. Il se rend compte qu’il a marché dans la combine du national-sionisme en germe dans le CRIF, une combine qui mène à la guerre raciale et à la dislocation de la France. Comme en Palestine !
- Le dessinateur courageux montre Trump qui tue un Noir (en conclure que Trump est méchant)
Même chose aux États-Unis, où les agents du pouvoir profond jouent avec le feu du conflit intercommunautaire pour produire un chaos qui mènerait à la destitution de Donald Trump, un candidat paradoxalement plus dangereux pour eux qu’un démocrate antiraciste, et donc inféodé aux ingénieries de la Banque.
Illustration avec l’avalanche de bonnes volontés antiracistes qui s’abattent sur la tête de la petite Gianna, « ex »-fille de George Floyd, puisque son ex-compagne ne le reconnaissait plus comme conjoint. Prison, vols avec violences, drogue, porno, pas de quoi faire un super papa pour la petite, qui devient l’idole d’une Amérique ivre de culpabilité.
Ainsi, la chanteuse multimillionnaire de confession juive Barbra Streisand – qui avait sorti au sujet de Michael Jackson « ses besoins sexuels étaient ce qu’ils étaient, que ce soit à cause de son enfance ou de son ADN », et de ses jeunes victimes « ça ne les a pas tués » – a-t-elle offert des actions Disney à la pauvrette.
Le chanteur Kanye West, quant à lui, a couvert d’avance toutes ses dépenses éducatives à venir.
Si vous avez un jeton à mettre aujourd’hui, c’est sur Gianna qu’il faut miser, médiatiquement.
Partie comme elle est, elle va finir major de promo via la filière affirmative action (discrimination positive) à Harvard et Bill Gates va lui offrir tous ses vaccins annuels à l’aluminium... et même la piquer en personne, avec Melinda qui tient les bras et les jambes de la petite... On attend d’ailleurs toujours la déclaration des Fourniret de la seringue sur la mort de Floyd.
Puisqu’on est dans l’amour des enfants (de) pauvres, il ne manque plus que le cadeau du très démocrate (un euphémisme) tonton Biden, dont la décence nous interdit de décrire le contenu.
« Merci pour le colis, Barbra Streisand. Je suis maintenant actionnaire de Disney grâce à toi »
Ces rattrapages post-mortem d’une justice vérolée et verrouillée qui s’acharne positivement sur une gosse au père corrompu et à la mère obèse, couple symbole d’une Amérique des bas-fonds, qu’ils soient noirs ou blancs, ne changeront rien à la fracturation sociale de l’Amérique, avec en haut une Amérique jeune, mince et triomphante, et tout en bas une Amérique obèse et sombre qui ne décolle pas de son merdier et qui entretient par ignorance les conditions de son merdier.
Espérons que Barbra donnera d’autres actions Disney à toutes les petites filles noires sans père des États-Unis, et qu’elle trouve un job à Gianna, pourquoi pas femme de ménage dans l’une de ses demeures de multimillionnaire, car Barbra est à la tête d’une fortune évaluée à 390 millions de dollars.
Jetez un œil à la villa de barbra à Malibu, estimée à 150 millions de dollars en 2016, et à son goût de chiottes atomique :
Nous savons aussi que Barbra a cloné sa chienne Samantha, qu’elle adorait, pour la modique somme de 60 000 dollars. Une idée surgit : la chanteuse généreuse de confession juive peut-elle cloner le papa de Gianna, mais dans une version vertueuse ? Stephen King a la réponse, il en a fait un livre et un film : Simetierre.
Finalement, il ne faut peut-être pas cloner George Floyd... Humour noir, on a le droit ?