C’était latent, ça devient évident : le Système, incarné par le président déchu Emmanuel Macron, fait appel à toutes les vieilles ficelles trotskistes pour sauver ses fesses. Il s’agit de fasciser l’adversaire, le populiste, qu’il soit de droite ou de gauche, mais surtout de droite.
75 ans après...ils se structurent...il se préparent et ils reviennent ! Vous ne pourrez plus dire : "je ne savais pas...je n'y suis pour rien..." pic.twitter.com/mMHAJ0f1NI
— CELLULE DE RIPOSTE LaREM93 (@CelluleL) 20 mai 2019
Car le nationalisme de gauche a presque disparu avec Chevènement au début des années 2000. Une espèce en voie d’extinction grâce au chasseur Cohn-Bendit, qui a bien nettoyé la gauche de ses éléments proudhoniens et soreliens. Comme on n’efface pas une partie de l’électorat comme ça, les électeurs souverainistes de gauche se sont retrouvés au FN, la seule maison qui défendait encore la France. Tous les autres partis étant passés du côté de l’anti-France : l’UMP devenue LR, le PS devenu Place publique et Génération.s, la LCR devenue NPA, même le PCF devenu fantôme.
⚡️Clash entre @IanBrossat et @DanielRiolo : "C'est honteux ce que vous dîtes. C'est une insulte aux 75 000 fusillés membres du @PCF qui ont participé à la résistance. Vous arrêtez de dire n'importe quoi ! Ça suffit !" #GGRMC pic.twitter.com/XsEOtlJDmW
— Les Grandes Gueules (@GG_RMC) 21 mai 2019
Quant aux écolos, le ménage des écolos-natios – les vrais, les attachés à la Terre, pas les nomades – a été fait par les gauchistes bien avant la mise au pas du paysage politique dans sa totalité. Sauf le FN, qui résistait sous Jean-Marie Le Pen. Aujourd’hui, le RN de sa fille est toujours nationaliste, mais d’un nationalisme compatible avec le sionisme.
Et comme le sionisme ne se discute pas, c’est le grand tabou des partis soumis, alors on parle de choses et d’autres, on effleure le problème fondamental. Forcément, mentir sur le fond fait dire beaucoup de conneries, on passe son temps à rafistoler l’édifice. Quand une idéologie est fondée sur une tromperie, cela ne peut générer que de la tromperie. Il y a des mensongers comme il y a des pommiers : ça donne des fruits qu’on appelle mensonges.
La campagne des européennes 2019 n’y déroge pas : c’est pourquoi le niveau de débat idéologique est aussi bas. Les têtes de liste jouent leur partition trompeuse, et les éditorialistes grassement payés ajoutent leur petit son de flûte. On va commencer par la girouette du Système, celui qui donne le sens du vent, l’incorrigible Jean-Michel Aphatie, qui reprend mot pour mot les éléments de langage établis par BHL lors de sa rencontre avec Macron mardi 21 mai :
A quelques jours des élections, Emmanuel Macron affirme être "un patriote européen" :
"Je n’ai pas souvent entendu cette formule. A un moment où l’Europe est aussi décriée, c’est une forme de panache qu’il faut saluer ce matin !" #européennes @jmaphatie @nikosaliagas #europe1 pic.twitter.com/jgNSFWM2el
— Europe 1 (@Europe1) 21 mai 2019
Dans la famille Sionos, on a le petit Demorand, qui est à la fois animateur et commissaire politique de la tranche matinale de France Inter, la radio socialo-sioniste. À J – 4, le juge Demorand et ses assesseurs ont godwiné leur tête de Turc, le jeune Bardella.
On rappelle que le trio sioniste formé par les Demorand, Yaël Goosz et Alexandra Bensaïd est l’application rigoureuse du pluralisme des opinions inscrit dans la charte déontologie du service public audiovisuel...
Je comparaissais ce matin devant le tribunal médiatique de @franceinter
L'agressivité d'adversaires ou de médias privés, c'est de bonne guerre.
Mais la partialité du "service public" est insupportable. Rappelons-leur qu'ils fonctionnent avec l'argent des Français ! pic.twitter.com/nBqdx69S3S
— Jordan Bardella (@J_Bardella) 21 mai 2019
Dans la même maison, mais dans la chambre Politique cette fois-ci, on trouve le petit Glucksmann, très en difficulté, tellement en difficulté qu’une main mystérieuse mais ferme a été réveiller les éléphants qui pionçaient pour dynamiser une campagne mort-née. La force du lobby, et ça tient du miracle, c’est d’arriver à réveiller un éléphant mort pour sauver les fesses d’un membre du Parti sioniste (le vrai PS).
Fier du soutien de Lionel Jospin, grand homme d’Etat, immense figure socialiste et, aux yeux de tous, incarnation de la rigueur morale en politique. Ses mots sont d’autant plus importants que sa parole est si rare.#enviedEurope
— Raphael Glucksmann (@rglucks1) 22 mai 2019
Vue comme ça, la politique c’est tout de suite moins rigolo, on sent que le verrouillage est quasi complet. Il manque peut-être encore deux ou trois boulons et tout sera sous contrôle.
En face de France Inter, RTL n’est pas en reste pour essayer de sauver la toupie désaxée du Président, la pauvre Loiseau. Heureusement, Martichoux vole à son secours avec ses questions qui dégoulinent d’indépendance professionnelle :
#Europeennees2019 : les prises de position du Président Macron traduisent-elles de l'inquiétude ? Y a-t-il un risque de mobilisation contre LaREM ? Comment peut-elle contrer le RN dans la dernière ligne droite ? #RTLMatin 7h45 je reçois @NathalieLoiseau la tête de liste LaREM pic.twitter.com/NS46iLCLpQ
— Elizabeth Martichoux (@EliMartichoux) 22 mai 2019
Rien que pour ce genre de trahison du journalisme, on a envie que France Inter continue à distancer RTL. Mais on se ravise aussitôt, quand on voit l’équipe aux commandes de la matinale du service public...
Au-dessus de tous ces employés soumis et terrorisés par le sionisme, il y a la maison mère, les grossistes en antisémitisme et en sionisme, deux produits maison qui finissent par se croiser, se décroiser et se confondre. Là, à cause de cette production oxymorique et schizoïde, pour beaucoup d’agents sionistes de faible niveau intellectuel, la raison commence à défaillir : on voit des Waffen SS partout.
Qui est l'ex compagne de Bardella ? Une jeune fille juive de père israélien. Le Mossad à dû changer le biberon à la naissance ...
— Henri LOTRO (@hlotro) 22 mai 2019
Encore deux jours à ce rythme et le Sacha va nous retrouver une photo de Jordan Bardella en Waffen SS sur le front russe en 43 !
Mais ce qui inquiète très sérieusement les internautes qui sont habitués à ces délires godwiniens, c’est, devant la claque annoncée (par les sondages non publiés) pour LREM et Macron, qui s’est impliqué comme aucun autre président dans la campagne, la possibilité de fraude massive venue d’en haut, c’est-à-dire de l’Intérieur. Castaner a le niveau en maths d’un migrant sahélien déraciné importé par la Soros Inc. :
Quand on voit comment @CCastaner compte les #GiletsJaunes on se demande comment on peut le laisser compter les bulletins de #votes du 26 mai ! #fraudemassive #Européennes2019
— Avner Solal (@avnersolal2) 22 mai 2019