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Ethel Kennedy est morte, plus de 50 ans après son mari Robert Kennedy

Ethel Skakel Kennedy, veuve de Robert F. Kennedy, est décédée le 10 octobre 2024 à l’âge de 96 ans. Matriarche d’une famille marquée par le destin tragique des Kennedy, elle laisse derrière elle un héritage de résilience et de dévouement, ayant consacré une grande partie de sa vie à la défense des valeurs pour lesquelles son mari s’était battu. Figure respectée des sphères politiques américaines, elle a traversé les épreuves avec une dignité rare, devenant un symbole d’engagement familial et d’activisme humanitaire.

 

Née Ethel Skakel le 11 avril 1928 à Chicago, elle a épousé Robert F. Kennedy en 1950, devenant ainsi membre de l’une des familles les plus influentes de la politique américaine. Tout au long de sa vie, Ethel Kennedy s’est distinguée par son engagement pour les droits humains et son soutien indéfectible aux causes progressistes.

L’assassinat brutal de Robert F. Kennedy, le 5 juin 1968 à Los Angeles alors qu’il faisait campagne pour l’élection présidentielle, fut un coup dévastateur pour Ethel et ses enfants. Bobby, fervent défenseur des droits civiques, s’apprêtait à poursuivre le rêve de son frère aîné, John, également assassiné en 1963. Ethel, qui se trouvait au cœur de cette campagne, devint alors la gardienne de la mémoire de son mari, refusant de céder à la douleur. Elle continua à soutenir les causes qu’il chérissait, notamment les droits des minorités et la lutte contre la pauvreté.

Malgré cette perte dévastatrice, Ethel Kennedy a continué à porter l’héritage de son mari et à élever leurs onze enfants. Elle est restée une figure respectée au sein du Parti démocrate et a poursuivi son engagement en faveur de la justice sociale et des droits civiques.

Ironiquement, la fin de sa vie a coïncidé avec une période tumultueuse pour la famille Kennedy. Son fils, Robert F. Kennedy Jr., a récemment fait les gros titres en suspendant sa campagne présidentielle indépendante et en apportant son soutien à Donald Trump pour l’élection de 2024. Cette décision a créé une onde de choc dans le paysage politique américain, marquant une rupture significative avec l’héritage politique traditionnel de la famille Kennedy.

Le décès d’Ethel Kennedy marque donc la fin d’une ère pour la dynastie Kennedy. Elle était la dernière représentante vivante de la génération qui a façonné l’histoire des États-Unis dans les années 1960.

Ethel Kennedy laisse derrière elle un héritage complexe, mêlant tragédie personnelle et engagement public. Sa vie témoigne de la résilience face à l’adversité et de l’importance de l’engagement civique.

Ethel Kennedy repose désormais aux côtés de son mari à Arlington, réunie avec Bobby après plus d’un demi-siècle de séparation. La flamme de leur engagement continue de briller, portée par les générations futures de Kennedy, malgré les chemins parfois divergents que ces derniers empruntent.

Incroyable famille Kennedy

 






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21 Commentaires

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  • #3436462
    Le 11 octobre à 06:09 par L’alpiniste
    Ethel Kennedy est morte, plus de 50 ans après son mari Robert (...)

    Une famille catholique composé d’un homme, d’une femme et de 11 enfants blancs….

    Se basant apriori sur les principes de travail, courage, humilité, discrétion, pardon….

    leurs valeurs sont en opposition complètement au programme des mondialistes.

    Paix à leurs âmes

     

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  • #3436463

    Qu’elle repose en paix.
    Heureux temps que le sien, quand Robert son époux était encore en vie !
    Tous ces beaux enfants. Sa gloire.
    Sur la photo on constate que les maternités n’enlaidissent pas une femme sportive et disciplinée ; au contraire. Tant pis pour les avortées par souci vergetures.
    Mais quelle idée de "défendre les minorités" !
    Les mêmes qui la détestent et les détesteront, elle et sa famille.
    Les minorités sont jalouses, car pas bien belles, pas bien riches et frustes, en général. C’est un fait.
    Elles arrivent pour chercher fortune.
    Les vraies élites leur donnent des boutons.
    Elles pensent : vases communicants.
    Elles ont déjà un pied sur votre territoire.
    Elles veulent y poser les deux.
    Un territoire ; c’est réduit question espace.
    Il n’y a pas la place pour les onze enfants d’Ethel et les sept enfants de la future famille Minorités.
    Ces onze enfants gênent la famille Minorités.
    Et puis ils sont bien élevés, bien choyés, trop beaux. Le contraste déplaît à la famille M.
    Faut leur faire la guerre, à ces onze-là, en permanence, sournoise d’abord, ouverte ensuite.
    Faut qu’ils disparaissent ces autochtones jolis, instruits, soignés et catholiques !
    Ethel, de là-haut, protège ton fiston !

     

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    • #3436531

      Certes. Je préfère la conclusion que la première formule, car en effet l’âme monte au Ciel (ou monde céleste, ce n’est pas le ciel à proprement dit, celui qu’on voit bardé de chemtrails !)

      Cette formule qu’il ou elle repose en paix veut faire croire que c’est la personne qui est là sous terre, alors que ça n’est qu’un corps se dégradant, tandis que l’âme est au ciel.

      Il n’y a pas de corps qui se repose puisque ça n’est plus que de la matière inerte, et d’ailleurs d’après ce que j’ai lu, là haut on se repose pas mais on travaille à influer sur les âmes restées en bas, entre autres.

      C’est comme si cette formule qu’il ou elle repose en paix voulait nous faire oublier l’existence de l’âme. Et ça a marché, l’âme est un sujet secondaire, une question métaphysique ou théologique pour les spécialistes - alors quid du salut de l’âme ? question dépassée ?

      D’autre part le recueillement au cimetière m’a toujours paru un peu curieux (et maintenant contradictoire) puisque la personne est toujours là dans notre coeur, dans notre esprit et nos souvenirs.

      C’est culturel et puis c’est aussi un marché - énorme : 7000 balles un cercueil, sans parler du reste, mais c’est là une question bassement matérielle, on devrait plutôt dire bassement spirituelle.

       
    • #3436544

      Requiem aeternam donna eis Domine ! Seigneur, accorde leur le repos éternel. ( R.I.P : requiescat in pace, qu’il repose en paix). Les formules liturgiques de l’Eglise catholique, les messes des morts et la fête du 2 novembre s’adressent bien à Dieu dans l’intention du repos des défunts et dans le but d’abréger les peines des âmes en Purgatoire.

       
    • #3436576
      Le 11 octobre à 10:36 par ProtégeonslaPalestine
      Ethel Kennedy est morte, plus de 50 ans après son mari Robert (...)

      @croix de fiel : Votre message n’est ni beau ni édifiant ; il suinte l’amertume et la maladresse : vos louanges pour ce que représente cette femme sont paradoxales, car rédigées à travers le prisme négatif de minorités laides, envieuses et saccageuses, au lieu de focaliser sur la grandeur du destin de mère de famille nombreuse et sur la dimension prolifique du catholicisme irlandais, que son anti-malthusianisme rapproche précisément des traditions reproductives du Tiers-Monde.

      Les minorités raciales n’ont jamais été ennemies des Kennedy. Les adversaires des Kennedy furent le féminisme carriériste, qui percevait Ethel comme le prototype de l’épouse soumise au joug patriarcal et de la pondeuse sérielle. Voyez la vidéo où Robert Kennedy, connu pour son dépassement typiquement irlandais du clivage racial et son affinité avec les déshérités, demande à un petit Noir s’il a mangé. L’enfant noir répond : « Non, peut-être plus tard. » C’est à ce moment que Robert Kennedy se retient de fondre en larmes, comprenant que ce gosse ne mangera vraisemblablement pas du reste de la journée. C’est à ce moment qu’il comprend pourquoi il fait campagne : pour que tous ces morts de faim, ces Irlandais symboliques affamés par la broyeuse, puissent recevoir leur part du Rêve Américain.

      En regardant l’histoire des États-Unis au-delà de votre réaction épidermique, nous constatons que :
      - John Kennedy fut éliminé en novembre 1963
      - Malcom X fut éliminé en février 1965
      - Martin Luther King fut éliminé en avril 1968
      - Robert Kennedy fut éliminé en juin 1968.
      Cette concaténation meurtrière montre que l’État Profond, la CIA, savait que rien ne sépare fondamentalement un Noir d’un Irlandais (tous deux étant les nègres du Capital) et qu’il fallait empêcher le rapprochement des Gauches authentiques pour sauver la Banque, qu’il fallait tous les assassiner pour éviter la convergence des luttes entre le racial et le social : l’imbrication tragique des destinées des Noirs de haute envergure qui revendiquaient l’équité inter-ethnique et des Blancs de haute conscience qui réclamaient la justice économique, est une réalité, qui reste un angle mort de votre focale identitaire, malgré tout le travail réalisé par Alain Soral.

      Par conséquent, la comparaison avec les minorités sous cet angle dépréciatif ternit votre éloge et prouve que l’optique ethno-identitaire est non seulement une contre-vérité historique, mais une impasse du raisonnement et une aporie politique. De grâce, élevez le discours.

       
  • #3436473
    Le 11 octobre à 06:43 par liberatefratras
    Ethel Kennedy est morte, plus de 50 ans après son mari Robert (...)

    Une rectification Kennedy est assassiné à Dallas, une erreur de concentration avec tous le travail que vous faites c’est normal.

     

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  • #3436522

    L’assassinat des deux Kennedy (JFK et JFK junior) a scellé le destin des USA et aussi celui du monde, qui ne pourra jamais s’en remettre.

     

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  • De vrais catholiques, mariés et avec une multitude d’enfants ! Pas comme chez nous où tout le monde fait semblant —d’être catholique, patriote ou dieu sait quoi d’autre…

     

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  • #3436537

    Les images de cette femme auprès de son mari agonisant sont terribles... J’avais 11 ans en ce mois de mai 1968 et je devais recevoir le sacrement de confirmation 3 jours plus tard... C’est fou comme une information peut faire ressurgir tout un passé déjà très lointain et, en ce qui me concerne, de belles années auprès de parents aimants dans une jolie ville de France, Auxerre, une paroisse sympathique, des copains, des cabanes... Un univers, je m’en rends compte aujourd’hui, très protégé, pas de drogue ni de pornographie, pas d’émissions en après-midi ou dans la nuit à la télévision, une France encore assez chrétienne en province où presque tous les commerçants de mon quartier mettaient une crèche en vitrine à Noël, bref, la fin d’un monde...
    Qu’elle repose en paix dans la Joie et la Lumière éternelle, elle l’a vraiment mérité !

     

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  • #3436558

    Les américains vont-ils se réveiller de leur long endormissement (sexe, drogue rock’n roll et shoah)...
    On pourrait dire la même chose des français !

     

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  • #3436682
    Le 11 octobre à 14:31 par La charrue après les boeufs
    Ethel Kennedy est morte, plus de 50 ans après son mari Robert (...)

    Ethel Kennedy, comme la majorité des femmes de sa génération, était une épouse et une mère. Les enfants étaient pour elle, comme pour tous ceux qui ont la foi, un cadeau de Dieu. Religion, famille, travail : la formule gagnante.
    Que Dieu l’accueille auprès de Lui.

     

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  • #3436794

    cet article n’est pas signé, dommage..

     

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  • #3437057

    Ethel a eu un frère accusé injustement selon toute apparence.
    Accusé du crime crapuleux d’un autre.
    Une autre victime Kennedy. Il a fait des années de taule.
    Ses frères et lui avaient organisé une soirée Halloween pour les amis adolescents, comme il était souvent d’usage aux US en ces temps-là.
    Une petite Irlandaise de 15 ans au visage candide y fut sauvagement assassinée à coups de canne de golf à bout métallique, près de la maison de ses parents.
    Le frère d’Ethel avait 17 ans, une bonne tête, une famille aisée, pas de mère, des frères joyeusement turbulents.
    Pas du tout le profil du sadique.
    Il eut la malchance d’être vu avec elle en dernier, à chahuter.
    Il finit par être innocenté, ou du moins relâché.
    Pour ses souffrances, aucune compensation.

     

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