Bon ben y a du taf. Y compris malheureusement chez Arnauld de Tocquesaint qui ne semble pas avoir compris que le privé sous contrat est l’antichambre cachée de la juiverie, surtout chez les surveillants généraux et chef d’établissement tels que j’ai pu m’en rendre compte quand j’y étais, cf mes messages anciens.
Ha les hymnes nationaux, la belle affaire. Quel hymne apprend on à l’école française déjà ? Vous savez, celui qu’il faut connaître par coeur, la main sur le coeur, sans couac. Cet hymne silencieux mais assourdissant à la fois ? Faut un dessin ? On est bien sur E&R ?
A de Tocquesaint fait de la division public/privé, ce qu’adore le système en place, système que par ailleurs il semble dénoncer. C’est tout de même curieux...
Beau couplet sur l’autorité et la discipline, mais l’ennui c’est que certains confondent autorité avec brutalité, ce qui détruit la notion de discipline. Car on peut être une grosse brute exigeant la discipline, et chier dessus quand on est chef d’établissement, comme faire du rodéo sur le terrain de sport avec sa voiture.
Vous croyez que j’exagère ? Non non, c’est du vécu. Et à l’école privée. J’avais en effet quitté le public pour laxisme au niveau de la surveillance, et violence. Voilà d’ailleurs pourquoi Farida Belghoul n’aime pas trop le privé sous contrat non plus, d’après ce que j’ai cru comprendre venant d’elle.
Il nous parle enfin de résistance, il parle de la FAPEC et même de ceux qui font l’école à la maison. C’est bien, ça détonne quand même par rapport à cette flagornerie de l’école privée sous contrat. Mais là encore je m’interroge. Il semble passer d’un extrême - l’école - à l’autre, la maison. I aurait dû expliquer que c’est l’instruction qui compte, pas le fait d’être physiquement présent à l’école.
Pourtant il y a de bonnes choses dans son livre, surtout dans les propositions finales, du genre que j’aurais voulu voir appliquées réellement quand j’étais au collège et au lycée. Je me rappelle comment j’étais quand j’y étais. Ce serait trop long pour tout énumérer mais je pense notamment à l’enseignement du corps humain et le sport associé. On pourrait d’ailleurs aussi y associer - c’est mon opinion chevillée au corps - les sciences physiques - sport = mouvement = forces = accélérations = trajectoires = centre de gravité = dynamique = lois de Newton -, car dans EPS il y a physique = "physis" = nature en grec. Faire du sport, c’est donc se confronter à la "physis". Non en revanche au culte de l’anglais
Hervé
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