On va commencer par une nouvelle alarmante, mais bonne, si vous le voulez bien. Le canard de balançoires sionardes StreetPress est en train de tirer la langue fourchue : il a besoin de 40 000 balles d’ici au 15 novembre (comme pour les impôts locaux et la redevance télé sioniste) pour ne pas mettre la clé sous la porte.
« Officiellement, StreetPress vit de la publicité. Le directeur du site, Johan Weisz-Myara, évoque des partenariats avec des annonceurs qui, au lieu d’acheter des espaces publicitaires comme cela se fait régulièrement, paieraient pour des lots d’articles mettant en valeur leurs produits ou leur cause. Le tout sans droit de regard sur le contenu produit. À la lecture du site, la réussite ne saute pas aux yeux, tant on peine à trouver ces articles publicitaires. » (Source : L’OJIM)
Cette officine de délation antinationale qui ne survivrait pas sans fric oligarchique (Xavier Niel, Evens, Metronews, So Foot, radio Campus, Soros) découvre en dernière minute qu’elle est tragiquement impopulaire et que personne en bas ne risquerait un shekel pour la soutenir. Prions quand même pour la pluralité de l’information – qu’eux-mêmes nous refusent – et pour que ce Mediapart du pauvre trouve son financement et continue à dénoncer notre popularité et notre succès.
Les parasites font partie de la vie des grands animaux, c’est Dieu qui l’a voulu !
On leur aurait bien lâché trois deniers mais les grands frères (de StreetPress) nous font les poches régulièrement avec des procès léonins : des centaines de milliers d’euros et des années de prison en cumulé pour trois vannes, clips et dessins. Voyez, chers Justes, où mène l’intolérance : ce sont les intolérants qui crèvent les premiers.
Quand le hasard rencontre le sens...
Cette semaine restera quand même celle de la séquence très intrigante « convention de Zemmour-manif de flics-attaque au couteau », comme si les hasards de l’actu voulaient nous dire quelque chose, comme si l’actu – qui est muette – cherchait à nous parler en signes... C’est là où l’on s’interroge sur le sens des choses, sur l’existence de Dieu ou sur les organisateurs d’une bonne vieille ingénierie sociale, c’est-à-dire une fabrication de réalité à des fins de pouvoir.
En apparence, Zemmour est la victime de cette séquence puisque RTL vient de signifier au bonapartiste maréchaliste qu’il ne pourra plus faire sa rubrique dans la matinale d’Yves Calvi. Heureusement, la propagande calviniste n’en souffrira pas trop : il reste l’immense conscience de gauche socialo-sioniste Nicolas Domenach et l’incroyable Anne Rosencher pour édifier les consciences des petits goyos qui croient écouter une radio d’information.
En 5 jours, du samedi 28 septembre au jeudi 3 octobre, on a eu droit au combo « Zemmour-attentat », où l’islam tapi derrière un sourd-muet redevient encore une fois le grand Satan, ce qui est son rôle objectif dans la République sioniste. On ne commentera pas cet événement, largement commenté chez les mainstreameurs, à la place on vous laisse réfléchir à cette coupure de presse :
Le tueur de policiers n’était peut-être que sourd, et pas muet, allez savoir. Ce qui est sûr, c’est que les journées de la France sont bien chargées, et que la douceur ambiante a laissé place à une certaine fébrilité.
Aujourd’hui, ce n’est plus aussi enchanteur, bien que le contexte de la jeunesse de Charles n’ait pas été aussi tendre que ses chansons : né en 1913, il est mobilisé en 40, à 27 ans donc, et survit à la campagne de France puisque la guerre, déclenchée le 18 mai 1940, s’arrêtera officiellement le 22 juin.
Charles, qui aurait eu 106 ans cette année, aurait du mal à reconnaître sa France dans ce petit reportage volé au cœur d’une cité française (désolés, il y a un morceau d’Aphatie dedans qu’on n’a pas pu enlever) :
venez habitez ici une semaine... pic.twitter.com/FOAgOLwGxF
— jean-luc (@gelleejeanluc) October 2, 2019
Les modèles ne sont plus ceux d’autrefois. La jeunesse ne choisit plus ses modèles, on les lui fournit sur mesure. Et toujours avec une petite arrière-pensée, si l’on peut parler de pensée...
Les attaques contre Greta Thunberg montrent que « les gens ne se rendent pas compte de ce qu’est réellement l’autisme ». | Entretien avec Danièle Langloys, présidente de @Autisme_France. https://t.co/rOFxXwsC26
— Le Monde (@lemondefr) October 3, 2019
Le Monde cherche à nous dire que Greta est protégée par son autisme, que si on l’attaque, sur sa conception du climat, eh bien on torture une autiste. Cette technique d’autodéfense nous rappelle François Hollande qui avait très bien compris qu’en choisissant une meuf et une Noire en même temps, il protégeait de deux boucliers inattaquables sa justice socialiste qui met les ouvriers à la rue et les remplace par des migrants.
Toujours à propos de Greta, il est plein d’intellectuels de gauche qui la défendent parce qu’en face, c’est que des sales fascistes refroidistes. Il y a ainsi eu une polémiquette relevée par le site de Dan (Daniel Schneidermann, on va pas tout vous dire quand même !), l’histoire tragique de ce dessinateur qui hurle à la censure parce que ses dessins pro-Greta (et pro-gressistes) ont été zappés en direct à l’antenne de LCI ! L’horrible et sale censure de droite ! Comment peut-on ?!
Ce dessinateur maudit par l’oligarchie fasciste de droite s’appelle Erwann Terrier, et ça va être notre vedette de la semaine. On commence par un dessin « politique » pour vous situer le gars :
Houla, Erwann, il va falloir qu’on t’explique deux trois trucs rapidement.
La Marion, ce n’est pas exactement une nazie, même si ton idée est tentante. Parfois, tu sais, la tentation peut être mauvaise conseillère, comme Zemmour avec Marion justement (oui, Zemmour est « la conseillère », pose pas de questions idiotes). Donc, comme Marion est cornaquée par Zemmour, qui préfère les blondes, elle ne peut pas être nazie, Erwann, elle peut être sioniste, mais pas nazie, sauf si le sionisme est une espèce de nazisme, auquel cas tu aurais pu la coiffer de la kippa ou l’habiller d’un tee-shirt « I love Bibi », Netanyahou, oui, le gros leader raciste et fasciste de l’entité israélienne.
Tu vois, un chouia d’analyse et ton dessin, une quintessence de la bien-pensance, tombe à plat. On se croirait chez la vilaine Ruquier qui diffuse un dessin de Charlie Hebdo avec un étron à la place de Marine Le Pen. Excuse-nous, mais ça ne pisse pas très loin. Non, le dessin qui nous intéresse c’est celui sur la Greta.
Oh, tous les méchants salauds de droite qui crachent sur la pauvre fillette innocente et tous leurs crachats forment une espèce d’océan de crachats dont le niveau monte, monte, monte à cause de la fonte des glaces du vilain réchauffement fasciste et elle, elle trône sur son île comme la petite sirène gentille qu’elle est... C’est bien cela que tu as voulu dire, hein.
Erwann, comment dire, c’est pas comme ça que tu vas faire rire la planète et surtout la sauver des pattes griffues des refroidistes. Savais-tu qu’on peut dire quelque chose de vrai avec de l’humour ? C’est ça, le principe du dessin de presse, pas une petite vengeance personnelle. On va te donner un exemple maison, volé à la Rédaction. Regarde bien et suis notre raisonnement...
Tu vois, on a là quelque chose de pas méchant, de pas anti-humain, de pas vulgaire, de pas scatologique, de pas Charlie, mais il y a une pointe d’asperge d’humour. Tu trouves pas, Erwann ? On se moque gentiment de Panamza qui est un peu chipie avec nous, mais ça reste pas gravissime. Jamais il ne nous viendrait à l’idée de le nazifier, de le salir ou de merdir. On attaque sur le terrain des idées ! Loi numéro un !
Quant à cette pauvre Greta, qui va très mal finir sa carrière de marionnette climato-autiste – on mise notre tapis les yeux fermés là-dessus –, elle a été choisie blanche et nous on demande pourquoi elle est pas noire. T’es raciste, Erwann ? Pourquoi tu défends une Blanche ? Tu es pour l’esclavage ? La lutte intersectionnelle des sororités lesbo-africaines discriminées par le patriarcat christiano-capitaliste rochedyste, ça te parle ? T’es sourd ou tu la joues sourd ? Allo ? Bernardo ?
Hélas, Erwann est parti. Incapable de prononcer une seule parole, il nous a laissé ses œuvres. Nous ne t’oublierons jamais, Erwann.
Tiens, v’là la Obono. Elle nous présente son travail, ça a l’air d’être du solide :
Oh, Erwann, reviens, il n’y a plus de sexes, plus de frontières, plus de couleurs, tout le monde s’aime, c’est la grande partouze noire mondialiste ! Ben oui, quand tu mélanges toutes les couleurs, eh bien les couleurs disparaissent et il reste du noir.
C’est ballot.