La plupart des iceux&icelles abonnés à BFM&Cie du matin au soir, scotchés au 20h, déjà des morts-vivants spirituels : ils ne sont plus des Vivants – l’ont-ils jamais été Vivants ? – à savoir morts en ce monde mais Vivants dans le Royaume.
« Soyez donc à la recherche de la mort comme les morts qui cherchent la Vie, car à ceux-là se révèle ce qu’ils cherchent. Mais de quoi se soucient-ils ? Si vous examinez la mort, elle vous enseignera l’élection. En vérité je vous le dis : personne ne sera sauvé de ceux qui craignent la mort. En effet, le royaume de la mort appartient à ceux qui se tuent. Soyez meilleurs que moi, rendez-vous semblables au Fils de l’Esprit saint ! » (Ép. apocryphe de Jacques, chap. 6, vers 1-20.).
La peur de la mort physique a entraîné chez la plupart la précipitation vers le précipice de l’inoculation dite « vaccinale » pour les conduire désormais vers une lente agonie : à ceux qui se tuent, se turent !
Les cobayes-vaccinés sont allés vers la mort l’ayant intimement schoazie en leur âme voire conscience ??? l’euthanasie, le suicide comme ils acceptent la servitude volontaire !
Aussi « Les princes sont des apprentis sorciers que leur pouvoir occulte dépasse presque toujours et qui ne peuvent se mouvoir sans risquer de briser le monde qui les entoure. Imbus de leur origine semi-divine, ils ont tendance à se.
croire entièrement des dieux. Mais leur partie charnelle les soumet aux mêmes désirs que leurs sujets, multipliés par la facilité qu’ils rencontrent à les satisfaire, d’où les cataclysmes engendrés par la faiblesse ou l’inconduite des rois.
Et comment en serait-il autrement de ces divinités incomplètes, dans un monde où les dieux eux-mêmes ne seraient pas exempts de tentation. La mythologie nous montre les Immortels soumis à de singulières défaillances et la Genèse
dit expressément que les filles des hommes séduisirent les Fils de Dieu. » op. ci-dessous
« Un prince, quel qu’il soit, est toujours explicitement ou implicitement, l’expression de ses propres peuples. C’est des gouvernements des rois qu’on peut dire que leurs sujets les méritent. Et c’est au moyen des princes bons ou méchants, justes ou injustes, que le sort récompense ou châtie les nations. » Georges Barbarin - Le Destin occulte de l’Humanité (1948) - p.36
« C’est .l’oppression qui forge les hommes en mûrissant leurs caractères et les conduit à un nouvel étage de civilisation. » opus cité
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