Dans son langage fleuri et très imagé, Bassem lance un avertissement à ses « frères » des banlieues. Selon lui, le gouvernement qui s’appuie sur des médias manipulateurs cherche à dévier le conflit social vers un pillage généralisé, un chaos d’où rien de bon ne sortira pour le peuple. Mais sa lucidité vaut pour tout le monde.
Bassem, quoi qu’on en dise, est un solide représentant des quartiers, un député non élu mais qui représente quelque chose : une réalité et un poids politique. Le Belattar d’en bas !