C’est un témoignage sur la puissance de la propagande, sur la capture institutionnelle et le désir de conformisme social que le masquage de la population générale a été imposé avec succès pendant l’ère de la Covid-19. Les préjudices de cette imposition sont palpables, gargantuesques et potentiellement à long terme, dont le moindre n’est pas la formation psychologique du public à se conformer à une mesure absurde qui a un impact négatif personnel direct. Je passe en revue les preuves de plus en plus nombreuses de l’évidence : le masquage universel nuit aux personnes et à la société, sans aucun avantage détectable.
Introduction : Il incombe au gouvernement d’évaluer la sécurité
Conformément au principe de précaution, il incombe au gouvernement de démontrer l’absence de dommage significatif anticipé avant d’imposer une mesure, en particulier dans le cas d’une mesure médicale personnelle appliquée à la population générale en bonne santé.
Le principe de précaution n’a pas été suivi pour les masques lors de la pandémie de Covid-19. La politique de mise en œuvre générale des masques dans les provinces canadiennes a été encore plus agressive que les recommandations qualifiées de l’OMS.
Les récents commentaires scientifiques n’ont pas manqué de faire état de cette imprudence du gouvernement. En voici quelques exemples.
• Dès le 20 avril 2020, Lazzarino et al. s’opposaient directement à une perversion de la logique autour du principe de précaution qui a été appliqué par certains scientifiques et de nombreux législateurs (à savoir que les gouvernements devraient agir « sans preuve définitive, juste au cas où ») :
Bien qu’aucune formulation unique de ce principe n’ait été universellement adoptée, le principe de précaution vise à empêcher les chercheurs et les décideurs politiques de négliger les effets secondaires potentiellement néfastes des interventions. […]
La plupart des articles scientifiques et des directives dans le contexte de la pandémie de Covid-19 mettent en évidence deux effets secondaires potentiels du port de masques chirurgicaux dans le public [faux sentiment de sécurité, utilisation inappropriée du masque], mais nous pensons qu’il y en a d’autres qui méritent d’être pris en considération avant la mise en œuvre de toute politique mondiale de santé publique impliquant des milliards de personnes. […]
[…] Il est nécessaire de quantifier les interactions complexes qui pourraient bien s’opérer entre les effets positifs et négatifs du port de masques chirurgicaux au niveau de la population. Ce n’est pas le moment d’agir sans preuves.
• Le 13 août 2020, les chirurgiens Frountzas et al. ont averti que l’enthousiasme autour de la Covid-19 pour imposer des équipements de protection individuelle (EPI) aux chirurgiens pourrait mettre en danger les patients opérés (on peut dire la même chose des conducteurs de train, de tram et de bus, et d’un large secteur de travailleurs au service du public) :
Que ce soit dans le cas d’un deuxième confinement ou non, la sécurité de l’utilisation des EPI contre la Covid-19 pour les chirurgiens devrait être étudiée. Tous les éléments de l’EPI augmentent la température corporelle et la transpiration du chirurgien, ce qui entraîne une diminution de son confort, en particulier lors d’interventions chirurgicales prolongées et compliquées. Comme mentionné ci-dessus, les EPI semblent être associés à des effets secondaires importants, comme des dermatoses et des maux de tête pour les travailleurs de la santé. L’inconfort et les effets secondaires associés aux EPI pendant l’opération peuvent accroître l’anxiété et la fatigue des chirurgiens lors d’opérations difficiles.
• Le 22 novembre 2020, le Dr Vainshelboim tenait des propos sans plus aucune ambiguïté :
Résumé : … Bien que les preuves scientifiques de l’efficacité des masques fassent défaut, les effets néfastes sur la physiologie, la psychologie et la santé sont établis. L’hypothèse a été émise que les masques faciaux ont un profil de sécurité et d’efficacité compromis et qu’il faut en éviter l’utilisation. L’article actuel résume de manière exhaustive les preuves scientifiques concernant le port des masques à l’époque de la Covid-19. …
Conséquences à long terme du port de masques sur la santé : La pratique à long terme du port de masques faciaux a un fort potentiel de conséquences sanitaires dévastatrices. L’état hypoxique-hypercapnique prolongé compromet l’équilibre physiologique et psychologique normal, détériore la santé et favorise le développement et la progression des maladies chroniques existantes (10 références).
Conclusion : … Il a été démontré que le port de masques a des effets physiologiques et psychologiques négatifs importants. Ces effets comprennent l’hypoxie, l’hypercapnie, l’essoufflement, l’augmentation de l’acidité et de la toxicité, l’activation de la peur et de la réaction au stress, l’augmentation des hormones de stress, l’immunosuppression, la fatigue, les maux de tête, la diminution des performances cognitives, la prédisposition aux maladies virales et infectieuses, le stress chronique, l’anxiété et la dépression. Les conséquences à long terme du port d’un masque facial peuvent entraîner une détérioration de la santé, le développement et la progression de maladies chroniques et une mort prématurée.
En effet, les méfaits du masquage prolongé sont de plus en plus documentés dans de nombreuses études scientifiques, en particulier dans les domaines des travailleurs de la santé, des écoliers, des nouveau-nés et des infections bactériennes dans la population générale, comme décrit ci-dessous.
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