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Denis Rancourt : examen des rapports scientifiques sur les dommages causés par les masques faciaux

C’est un témoignage sur la puissance de la propagande, sur la capture institutionnelle et le désir de conformisme social que le masquage de la population générale a été imposé avec succès pendant l’ère de la Covid-19. Les préjudices de cette imposition sont palpables, gargantuesques et potentiellement à long terme, dont le moindre n’est pas la formation psychologique du public à se conformer à une mesure absurde qui a un impact négatif personnel direct. Je passe en revue les preuves de plus en plus nombreuses de l’évidence : le masquage universel nuit aux personnes et à la société, sans aucun avantage détectable.

 

Introduction : Il incombe au gouvernement d’évaluer la sécurité

Conformément au principe de précaution, il incombe au gouvernement de démontrer l’absence de dommage significatif anticipé avant d’imposer une mesure, en particulier dans le cas d’une mesure médicale personnelle appliquée à la population générale en bonne santé.

Le principe de précaution n’a pas été suivi pour les masques lors de la pandémie de Covid-19. La politique de mise en œuvre générale des masques dans les provinces canadiennes a été encore plus agressive que les recommandations qualifiées de l’OMS.

Les récents commentaires scientifiques n’ont pas manqué de faire état de cette imprudence du gouvernement. En voici quelques exemples.

• Dès le 20 avril 2020, Lazzarino et al. s’opposaient directement à une perversion de la logique autour du principe de précaution qui a été appliqué par certains scientifiques et de nombreux législateurs (à savoir que les gouvernements devraient agir « sans preuve définitive, juste au cas où ») :

Bien qu’aucune formulation unique de ce principe n’ait été universellement adoptée, le principe de précaution vise à empêcher les chercheurs et les décideurs politiques de négliger les effets secondaires potentiellement néfastes des interventions. […]

La plupart des articles scientifiques et des directives dans le contexte de la pandémie de Covid-19 mettent en évidence deux effets secondaires potentiels du port de masques chirurgicaux dans le public [faux sentiment de sécurité, utilisation inappropriée du masque], mais nous pensons qu’il y en a d’autres qui méritent d’être pris en considération avant la mise en œuvre de toute politique mondiale de santé publique impliquant des milliards de personnes. […]

[…] Il est nécessaire de quantifier les interactions complexes qui pourraient bien s’opérer entre les effets positifs et négatifs du port de masques chirurgicaux au niveau de la population. Ce n’est pas le moment d’agir sans preuves.

• Le 13 août 2020, les chirurgiens Frountzas et al. ont averti que l’enthousiasme autour de la Covid-19 pour imposer des équipements de protection individuelle (EPI) aux chirurgiens pourrait mettre en danger les patients opérés (on peut dire la même chose des conducteurs de train, de tram et de bus, et d’un large secteur de travailleurs au service du public) :

Que ce soit dans le cas d’un deuxième confinement ou non, la sécurité de l’utilisation des EPI contre la Covid-19 pour les chirurgiens devrait être étudiée. Tous les éléments de l’EPI augmentent la température corporelle et la transpiration du chirurgien, ce qui entraîne une diminution de son confort, en particulier lors d’interventions chirurgicales prolongées et compliquées. Comme mentionné ci-dessus, les EPI semblent être associés à des effets secondaires importants, comme des dermatoses et des maux de tête pour les travailleurs de la santé. L’inconfort et les effets secondaires associés aux EPI pendant l’opération peuvent accroître l’anxiété et la fatigue des chirurgiens lors d’opérations difficiles.

• Le 22 novembre 2020, le Dr Vainshelboim tenait des propos sans plus aucune ambiguïté :

Résumé : … Bien que les preuves scientifiques de l’efficacité des masques fassent défaut, les effets néfastes sur la physiologie, la psychologie et la santé sont établis. L’hypothèse a été émise que les masques faciaux ont un profil de sécurité et d’efficacité compromis et qu’il faut en éviter l’utilisation. L’article actuel résume de manière exhaustive les preuves scientifiques concernant le port des masques à l’époque de la Covid-19. …

Conséquences à long terme du port de masques sur la santé : La pratique à long terme du port de masques faciaux a un fort potentiel de conséquences sanitaires dévastatrices. L’état hypoxique-hypercapnique prolongé compromet l’équilibre physiologique et psychologique normal, détériore la santé et favorise le développement et la progression des maladies chroniques existantes (10 références).

Conclusion : … Il a été démontré que le port de masques a des effets physiologiques et psychologiques négatifs importants. Ces effets comprennent l’hypoxie, l’hypercapnie, l’essoufflement, l’augmentation de l’acidité et de la toxicité, l’activation de la peur et de la réaction au stress, l’augmentation des hormones de stress, l’immunosuppression, la fatigue, les maux de tête, la diminution des performances cognitives, la prédisposition aux maladies virales et infectieuses, le stress chronique, l’anxiété et la dépression. Les conséquences à long terme du port d’un masque facial peuvent entraîner une détérioration de la santé, le développement et la progression de maladies chroniques et une mort prématurée.

En effet, les méfaits du masquage prolongé sont de plus en plus documentés dans de nombreuses études scientifiques, en particulier dans les domaines des travailleurs de la santé, des écoliers, des nouveau-nés et des infections bactériennes dans la population générale, comme décrit ci-dessous.

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Denis Rancourt, sur E&R :

 






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13 Commentaires

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  • Il ne manque qu’une seule phrase à ce rapport : C’est pour provoquer ces dommages que l’Empire a décidé de nous faire porter des masques faciaux. "Le langage du pouvoir fonctionne en sens inverse des faits" - Arnaud-Aaron Upinsky, La tête coupée.

     

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  • Merci pour ce travail de mise en lumière.
    Parce que c’est bien le but : affaiblir les défenses immunitaires d’un côté, pour permettre un effet dévastateur par les vaccinations de l’autre.
    Et pourtant, je suis de nature optimiste, mais je ne doute plus une seconde de la malveillance des dirigeants de ce monde et de leurs agents exécutants (les gouvernements pour faire simple).
    C’est pourquoi je préfère prendre mille prunes que de porter cette merde dans la rue. J’en suis à une, et les pervenches qui m’ont verbalisé en ont pris pour leurs grades quand ils ont fait leur sale besogne. Ces ignares ignoraient même les conséquences prévues en cas de récidives (je les ai invité à me passer les menottes puisque je ne porterai jamais ce masque dehors).
    Plus que jamais, le courage est de rigueur en ces temps particuliers. Qu’ils nous mettent dans des camps pour non-port du masque et refus des vaccins, et là on va sérieusement commencer à rigoler...

     

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  • Si Biden se vautre trois fois pour monter douze marches, c’est peut-être juste parce qu’il porte deux masques l’un sur l’autre, rien à voir avec la sénilité ou alzheimer ou un excès de boisson à base de jus de bébé. Gardons espoir !

     

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  • Le masque est une mesure ridicule obligé des gens à le porté est une forme de torture psychologique , en fait le gouvernement est en train de crée une société de psychotique et même les hommes politiques sont obligé de porté cette merde toute la journée sur la tronche ont est dans le délire totale

     

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  • #2691623

    Le port du masque a pour conséquence que ceux qui le portent vont inhaler 20 à 50 fois plus de CO2 que naturellement, ce qui va entraîner une acidose du sang, et pour les enfants cette acidose va générer une décalcification osseuse. Vous allez remarquer autour de vous de nombreux gamins qui vont se casser, un poignet, une jambe..etc...plus tard certains seront dans dans des chaises roulantes, sans compter les problèmes reinaux...etc...c’est une catastrophe pour les enfants, et son obligation dés 6ans a été habilement noyée par l’hommage au soi-disant décapité au cutter, tellement c’est une mesure barbare !

     

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  • L’Occident va disparaitre, en premier lieu parce que, sous la constante pression subversive et déconstructive de ces dernières décennies, il a rompu avec le logos / la ratio / la raison.

    En voici une preuve terrible :
    - Même le Pr Raoult n’a pas eu l’idée de répondre, à ceux qui le faisaient chier avec les études en double aveugle, que la croyance en l’origine anthropique du changement climatique n’est pas le fruit d’une étude en double aveugle, et pire, même pas celui d’une étude observationnelle.

    > L’aptitude à jongler rapidement et habilement avec les arguments, à force de blablas, de persiflages hystériques, de bien-pensance, de police de la pensée, n’existe plus en Occident.

    L’Occident d’aujourd’hui est comme suspendu au-dessus du réel, en lévitation dans un monde d’illusions.

    En Occident, le bon sens n’est plus, la logique n’est plus. Seuls règnent les affects, les ressentis féminins, et les rapports de force rhétoriques.

    Il faudrait qu’émerge un virtuose du logos, capable de répondre toujours de façon ultra concise, en deux phrases maximum, la première pour parer, et la seconde pour frapper, faire tomber, ou immobiliser.

    ...

     

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    • Il faudrait qu’émerge un virtuose du logos, capable de répondre toujours de façon ultra concise, en deux phrases maximum, la première pour parer, et la seconde pour frapper, faire tomber, ou immobiliser.

      Ca s’appelle des slogans, qi sont le règne de l’affect.
      Je vous invite à lire le dernier livre du patron pour sortir de votre carcan idéologique rationaliste. Toute l’histoire occidentale moderne est une épopée rationaliste. Le sentimentalisme est son effet second. Dixit Guénon.

       
  • Pas besoin d’études scientifiques pour réaliser par simple bon sens, qu’un bout de tissu devant les voies respiratoires altère l’oxygénation et le rejet du Co2. Mesure permettant par graduation de tester l’acceptation ou non, puis de continuer par la vidéosurveillance et le contrôle total des populations. Les gens ayant l’amour de leur servitude grâce à la consommation et aux divertissements,les murs de leur prison étant invisibles,de faire abstraction à leur liberté pour une sécurité toute relative.(1984)

     

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    • le plus simple pour juger c’est d’en porter un. personnellement je ne le supporte pas plus d’une minute, au delà j’ai une sensation de gène respiratoire, chaleur , humidité, et puis ça commence à gratter et tout ça qui ne fait qu’empirer, donc c’est tout vu : les masques c’est de la merde , même sous le menton ça gratte et ça tire sur les oreilles. et il y a des masos qui acceptent çà depuis un an ?. Heureusement que je ne vis plus en France. courage à vous.

       
  • #2691920

    Et en prime , il y a des tonnes de masques puants qui commencent à polluer partout , et ça va prendre 200 ans avant qu’ils se réduisent en poussières bien polluantes !!!

    Même si je suis perso pour un usage limité de masques en tissu dans des lieux clos du style transports en commun , ou supermarchés etc ... ( à cause des postillions ) ...

    Mais je suis surtout pour brumatiser des huiles essentielles dans les lieux clos !!!

     

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  • Juste à titre indicatif, pour revenir aux mathématiques de base :

    Dans la question Quel est le risque lié à la covid ? au niveau des risques ajustés, il y est mis le nombre de la perte globale d’années de vie par an (6,68 millions) sur le pool global d’années de vie (327 milliards).
    Le risque ajusté est de 6,68 millions / 327 milliards, soit 0.002% est-il mis.

    Si on met tout en millions, cela nous fait 6,68 / 327.000
    Résultat : 0,00002%, non ?

     

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