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Déficit : dis, Barnier, le fric, tu le prends dans la poche des Français ou de la Banque ?

Réponse : des Français, mais en douceur. Il manque 20 ou 30 milliards dans les caisses, la Macronie a falsifié les comptes, en plus il faudra payer 50 milliards en intérêts de la dette (somme qui dépassera bientôt le budget de l’ÉducNat, le premier de tous), qui avoisine les 3 200 milliards, soit plus d’un an de PIB national.

 

 

Avec l’inflation, même si l’Institut national du mensonge (INSEE) nous fait croire qu’elle s’est effondrée, les salaires baissent continuellement. Augmenter les salaires relancerait la consommation, et donc l’activité. Mais ça, le grand patronat n’en veut pas : on ne touche pas au dieu profit, et surtout aux superprofits : 146 milliards en 2023 !

 

 

L’ami Kinsey, lui, ne paye pas d’impôts en France, c’est l’avantage de l’extraterritorialité. En plus ils vivent avec nos impôts, que la Macronie leur fournit gracieusement pour trouver des moyens de mieux nous racketter.

 

 

Il faut donc trouver du fric, c’est l’urgence pour le gouvernement Barnier. Mais où ? Hormis les 100 milliards de TVA, la manne de l’inflation, cet impôt du plus pauvre, plus grand-chose ne rentre dans les caisses. Les TPE rament ? L’État macroniste les exécute. Les Urssaf font la chasse aux autoentrepreneurs pauvres, Bercy traque les commerçants et les artisans, le tissu économique français est percé de partout : l’État, comme le seigneur avant lui, veut sa part du grain et rien à foutre des conséquences. Le politique grève l’économique.
Les Français planquent leur argent, redonnent le moins possible, quand c’est possible. Le paysan planque son grain quand le seigneur envoie ses sbires. Même méfiance dans l’URSS des années 20, sauf que les méthodes de la Tchéka étaient sacrément efficaces, et expéditives.

Pour Reynié, un pays aussi endetté ne peut plus être indépendant. Il dépend donc des forces du marché, soit les grands prêteurs. On ne vous fait pas un dessin, si ?

 

 

Alors où prendre le fric, si les grandes entreprises disent non – elles dictent leur loi à l’État néolib, qui est faible par définition, enfin, faible devant les forts – et que les petites sont exsangues ? France 3 Aquitaine parle d’une « hécatombe » de petites boîtes :

Depuis plusieurs semaines, les dépôts de bilan tombent en cascade au tribunal de commerce de Bordeaux. En cette rentrée, l’instance enregistre une hausse des liquidations judiciaires de 35 % par rapport à l’année dernière dans la métropole bordelaise. Une situation économique défavorable qui touche davantage certains secteurs. (...)

Les petits commerces sont les premiers concernés. « Les coiffeurs, boulangers, vendeurs de chaussures ou de vêtements... Le coût de l’énergie leur a fait du mal », constate Marc Salaun, président du tribunal de commerce de Bordeaux qui instruit actuellement 1 800 procédures collectives. Aux côtés des petits commerces, de nombreuses entreprises du bâtiment ont aussi déposé le bilan ces derniers mois, entraînées par les difficultés des promoteurs immobiliers à vendre leurs biens.

La crise sanitaire de 2020-2021 leur a fait très mal. Quand on pense que c’était une crise bidonnée pour créer de la dette en détruisant une partie de l’économie productive, passer à la dématérialisation, au tout numérique, au distanciel, toutes ces conneries et saloperies de l’agenda 2030, et ça, pendant que banques, assurances et fonds de pension nous bouffent la laine sur le dos... Eux font des fortunes en ne produisant rien pendant que la moitié des Français en chient. Le transfert de richesses, il est là.

On parle des entreprises, mais c’est le même engrenage pour les particuliers, sachant que 50 % des foyers fiscaux ne payent pas d’impôts. Ils ne gagnent tout simplement pas assez.

Les Français passent à peu près six mois de l’année à financer les budgets de l’État, des collectivités et de la sécurité sociale. Certes, on dira que cela finance les dépenses publiques d’éducation, de santé ou de retraite. Mais sommes-nous certains qu’ayant les prélèvements les plus élevés, nous avons la meilleure éducation, le meilleur système de santé ou les meilleures retraites ?

Ben, pas vraiment. Le site d’obédience libérale contrepoints.org dénonce à raison la solution de facilité de la hausse d’impôts :

Au XIXe siècle les professeurs de finance publiques disaient déjà à leurs étudiants en droit « les hauts taux tuent les totaux » selon l’aphorisme emprunté à Barthélémy de Laffemas, ministre de Sully. Aujourd’hui on dit « l’impôt tue l’impôt » ! Mais on le savait déjà au XVIIIe siècle et Voltaire, pourtant peu féru d’économie, remarquait déjà, dans sa « Diatribe à l’auteur des éphémérides » de 1775, que lorsque Turgot diminua de moitié les impôts sur la « marée fraiche », il y eut l’année suivante trois fois plus de charriots et donc bien plus de rentrées fiscales. « Donc le vrai moyen d’enrichir le roi et l’État est de diminuer tous les impôts sur la consommation ; et le vrai moyen de tout perdre est de les augmenter. » Si Voltaire l’avait compris, il y a deux siècles et demi, peut-être les hommes politiques d’aujourd’hui peuvent-ils le comprendre ?

Un bémol cependant sur la solution proposée par ce site : la réduction des dépenses de l’État, avec l’idée que « beaucoup de “services publics” pourraient être assurés à moindre coût par le secteur privé, grâce à la concurrence ». Oulah, on y est déjà, les amis : vous avez vu l’état de l’hôpital public et la croissance des cliniques privées, tenues par des grands groupes ? Il y a aujourd’hui chez nous une santé pour riches et une santé pour pauvres ; idem avec l’éducation, et la sécurité. La société française s’américanise en douce, et c’est brutal pour les plus fragiles.

Ben alors, chez Soral, au lieu de pleurnicher, vous avez une solution ? Un début : baisser les charges sur les TPE (moins de 10 ou 20 salariés) et les indépendants (qui sont 4,3 millions aujourd’hui, dont plus de la moitié autoentrepreneurs), afin de renforcer le tissu économique et de créer des emplois, même si c’est un par un. Aujourd’hui, une entreprise « familiale » ne peut quasiment pas embaucher. Laisser croître les petits, les laisser grandir pour les charger un peu plus après, c’est un bon début.

Comme disait le Christ, si tu ne respectes pas le petit, on ne te confiera jamais le grand.

Nous finirons comme nous avons commencé, sur Barnier, avec son discours de politique générale du 1er octobre 2024 devant l’Assemblée. Il a donné sa solution pour mettre un terme à la dégradation des finances publiques. N’attachez pas vos ceintures, il n’y a rien de magique. On résume le topo de Public Sénat : rigueur.

Michel Barnier a indiqué que les « deux tiers de l’effort » pour redresser les finances publiques viendraient de la réduction des dépenses. « Réduire les dépenses, c’est renoncer à l’argent magique et à l’illusion du tout gratuit, à la tentation de toute subvention », a-t-il prévenu. Le Premier ministre a également appelé à porter une attention à « l’efficacité de la dépense publique ». « Nous ferons la chasse aux doublons inefficaces, aux fraudes, aux abus et aux rentes injustifiées », a-t-il expliqué.

Le reste de l’effort devra être « d’ordre fiscal », assure Michel Barnier. Le Premier ministre demande ainsi une « participation » des « grandes entreprises qui réalisent des profits importants », « sans remettre en cause notre compétitivité ». Il a aussi annoncé l’instauration d’une « contribution exceptionnelle aux Français les plus fortunés ».

 

Flûte, il a oublié la Banque. Pourquoi la Banque elle fait pas d’économies ? Elle est pourtant le symbole de la « rente injustifiée »...

Dette, récession, révolution

 






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19 Commentaires

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  • Macron aurait dit qu’ils se démerdent, surfant, avec l’appui des merdias, sur son immaturité. Or, la communication dans ce pays de demeurés étant tellement perverse, que Macron, par cet "écart de comportement", comme en 2015, lorsqu’il préparait sa campagne électorale de 2017 avec des consultants notamment de McKinsey, à l’occasion de nombreuses soirées "champagne, petits fours et macarons de chez Trogneux" à Bercy, se paie de nouveau le luxe, à nos depens, de préparer sa sortie et sa future carrière de consultant à parachute doré. Lui dispose de ce luxe, il dispose de 3 ans pour organiser sa sortie "royale au bar", d’ailleurs, qui a été négocié au démarrage de ses ambitions présidentielles, il faut arrêter d’être naïf, il n’y a pas d’accident pour ces gens de la république, aucun accident de parcours.
    Les français aiment avoir des maîtres, ils adorent ça, et en tirent un avantage certain, celui de l’irresponsabilité par aucune prise de décision synonyme de risque. Et puis, dans 2, 3 ans, il reviendra donner ses conseils sur les plateaux télé, comme l’escroc sanguinaire, Sarkozy, histoire de tâter l’opinion et le cul du bétail pour voir si, sur cet énième "malentendu", ce dernier ne pourrait pas lui remettre le costard et la gamelle qui va avec.
    Nb : ces pseudo journalistes comme cette Élise Lucet, bien muets durant le Covid, s’activent pour faire croire aux golmons que, finalement, il y a un peu de justice, en allant questionner les puissants accessibles et non intouchables, foutaise ! Et foutage de gueule : cela fait plus de 1000 ans que ce pouvoir se maintient, par la manière la plus sophistiquée, disposant d’une base de connaissances dans ce domaine qui ferait blêmir Machiavel. À ce titre, si la situation financière de ce pays était si catastrophique, je ne pense pas qu’ils auraient pris 3 mois pour se décider : "je suis à la tête d’un état en faillite", un propos alarmiste de Fillon au costards multiples et à l’emploi fictif de compensation pour sa bourgeoise ne produit plus aucun effet sur moi : nous n’en savons rien, de la situation des finances publiques, le seul truc que je vois est que les mêmes qui triment et qui se font rincer, les cochons payeurs commencent à s’énerver sérieusement voire à se détester entre eux, signe d’écroulement de ce système complètement pourri.

     

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    • "je suis à la tête d’un état en faillite", un propos alarmiste

      Il faut comprendre que la faillite ne vient pas progressivement. Les marchés financiers fonctionnent comme les mouvements de foule. Chaque hausse des taux provoquent des ventes qui provoquent une hausse des taux. Donc, dès que le sentiment devient négatif, l’effondrement est inévitable.

      L’autre chose, c’est que la dette est émise en Deutche Mark. Ce qui la soutient. comme le fait que l’Allemagne finance les achats de la BCE. Si elle avait été émise en Franc, elle se serait déjà éffondrée.

      Enfin, les français sont riches. Les investisseurs pensent , donc, que l’Etat peut se servir pour honorer sa dette.

       
    • La situation de la dette (de l’Etat, des collectivités, des services et des entreprises publiques) est parfaitement connue du système bancaire mondialisé. La discrétion des banques à ce sujet leur permet d’anticiper et d’arbitrer pour leur profit. Les vérités sont ensuite distillées au coup par coup, en accord avec les gouvernants de Wall Street, de la City, de Bâle, de Francfort, de Bruxelles et enfin de Paris, avec la complicité active des médias, en fonction des faits divers qui détournent, à point nommé, l’attention des citoyens grugés.

       
  • Au vu de son bilan , en deux mandats , ce président sera sans nul doute congratulé par ses patrons banquiers internationaux , et pourra passer une paisible retraite .
    Le pays dans le chaos sera aux abois, selon les vœux des commandeurs apatrides.

     

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  • #3431809

    "Peu féru d’économie", la fausse science.

     

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  • ..et oui , mais parce que la ’Banque’ fait partie d’ un système supranational , et ne peut donc être contrainte QUE par des institutions équivalentes (exception faite des USA qui impose leur "droit" à qui veut bien se laisser faire)..
    on ne peut pas non plus acheter de l’ argent sans le rembourser , on peut juste ne pas être dépendant des usuriers en ’adaptant les charges fixes à nos recettes’..
    les français dépensent en fonction des richesses qu’ ils ont ’acquis-produit’ , l’ état lui , dépensent en fonction des recettes qu’ il a voté !
    les élus , qui pour les 2 tiers ne connaissent pas le front économique , votent l’ argent qu’ ils vont distribuer à leurs conjoints , enfants , amis (politiques).. comme le dit C. Gave "tant que les fonctionnaires ne seront pas inéligibles , on ne s’ en sortira pas" .
    je vous recommande cet interview de J.P Beaufret (ancien inspecteur des finances et directeur général des impôts) tout frais sur Europe 1 , qui précise bien que l’ excès de notre dette , même s’ il est soigneusement flouté , est dû au traitement des fonctionnaires et notamment à leurs retraites non financées !
    (je joins le lien de l’ émission ci-dessous)

     

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  • " la france vit au dessus de ses moyens" raymond barre en septembre 1976, premier sinistre de valéry, comme le disait si bien Coluche, " je suis à la tête d’un état en faillite depuis plus de quinze ans" françois fillon, en 2007, autre premier sinistre sous nicolas sarkozy, et ça continue avec le dernier en date, le cher michel barnier, digne représentant du cac40.

     

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  • #3431828

    NB :

    Barnier n’a pas été nommé pour résoudre.
    Mais comme Necker, pour échouer.

    Car lorsqu’il aura échoué (avant même d’avoir pu commencer)
    Son échec préparera l’opinion publique au vif du sujet.

    "Le vif du sujet", c’est que tout ce qui fut construit après 1945 avec le CNR doit disparaitre.

    Les notions mêmes de "statut de la fonction publique" ; "droit à la retraite" ; droit à la santé ; la CAF ; la Sécu ; les ASSEDICS ; la politique de la ville ; de l’enfance ; du logement ; des études gratuites ; de l’hôpital public ; de l’immigration ; de "service public" (quelle ânerie ! ) ; absolument tout ce qui coute doit disparaitre.

    Car ces "coûts" sont des empêchements au remboursement de la dette.

    Le concept même d’économie keynesienne (relance par la demande donc par l’emprunt) va être proscrit.

    Pourquoi ?

    Parce que le rapport de la dette sur les actifs réalisables des Français est égal à 1.

    C’est tout.

    Vous allez dire : c’est atroce, les pauvres et les plus démunis vont mourir !

    Ils (les banquiers) vous répondront :

    "ce qu’il y a de bien avec les morts c’est qu’ils ne se plaignent jamais de leur sort"

    Ils rajouteront :

    "c’est pour cela, quitte à les tuer, autant les tuer rapidement".

     

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  • "Augmenter les salaires relancerait la consommation, et donc l’activité."

    Depuis bientôt 100 ans, à chaque petite correction économique, on a droit à une relance keynésienne qui ne fait que creuser la dette.
    Evidemment, c’est comme faire bombance au restaurant, après on mange des pâtes jusqu’à la fin du mois. Eh bien, la France va manger des pâtes, jusqu’à ce que les gens arrêtent de régurgiter ces théories économiques écrient par des employés de la Banque.

    Reynié dit que l’Etat a failli. Non, non, les dirigeants ont fait exactement ce que on leur a dit de faire.
    Evidemment, il est facile de convaincre les peuples qui sont persuadés de vivre dans une économie capitaliste dont le remède serait le socialisme. Alors qu’ils vivent dans des économies dirigées et que le remède est l’économie de marché. Demandez aux russes !

    Quand cette gauchiste déclare que les entreprises se plaignent de la demande et pas des charges, ça ne lui vient pas à l’idée que si les charges étaient plus faibles, l’entreprise pourrait baisser ses prix et ainsi augmenter la demande, la production et donc, l’emploi et les salaires.
    Car les lois économiques sont simples. L’entrepreneur augmente sa production tant que sa marge est supérieur au coût du capital.

     

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  • La dirigeante de Maquereau Kinsey France, c’est une Brigitte aussi ?

     

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  • #3431880

    Dur pour les TPE-PME car le patron une fois sur le carreau n’a droit à aucune aide sociale !!!
    _
    « Les Français passent à peu près six mois de l’année à financer les budgets de l’État, des collectivités et de la sécurité sociale. »

    - Dit plus symboliquement : à partir du 17 juillet le salarié travaille gratuitement jusqu’à la fin de l’année car étant imposé à 57% (record mondial !) ça revient à dire que tous ses impôts payés cumulés sur 1 an correspondent en proportion à 5 mois de salaire !
    L’ensemble amassé par ses efforts ne représente donc que l’équivalent de 7 mois de salaire net, et non 12 !!!

    Pendant les 5 mois suivants il reste présent mais il bosse non pour être payé mais uniquement pour payer. Ça en fait du temps de vie de perdu !

    Donc au vu du rapport qualité/prix de cette société, le compte n’y est pas du tout : nous devrions avoir beaucoup plus que 5 pauvres semaines de congés - sans parler du progrès technique facilitant.

     

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  • Décision qui suit d’un chef de file de notre République :

    M. CHIRAC.- Oui, cela, je le comprends très bien. La disparition d’une monnaie qui est aussi ancienne que le franc pour un pays comme le nôtre, c’est un vrai sacrifice £ de la même nature d’ailleurs que celui qu’assument les Allemands ou les autres. J’entends ici ou là que c’est une catastrophe, mais on ne peut pas indéfiniment mener les batailles du passé, c’est le meilleur moyen de perdre les guerres. Le Monde change, il évolue, il faut s’adapter. Et nous ne pouvions pas rester avec un grand marché unique et des petites monnaies qui risquaient de temps en temps de se battre entre elles, ce qui nous a coûté très cher. Donc, c’est l’évolution. Il faut être conscients de la nécessité de se moderniser, de s’adapter.

    Interview de M. Jacques Chirac, Président de la République, à TF1 le 3 mai 1998, sur la mise en place de l’euro, la présidence de la Banque centrale européenne et les conflits politiques au sein de l’opposition. | Élysée

    On a tendance à oublier et se déconcentrer sur le crucial et vouloir se faire la charcutière !

     

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