Essentiellement à destination des entreprises qui les fournissent à leurs salariés, certains modèles en tissus sont équipés de puces RFID, qui comptent le nombre de lavages pour respecter les normes fixées par l’Afnor. Mais cette puce n’est pas « cachée », et ces modèles sont loin de ceux vendus au grand public.
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[…] Surtout, il n’y a pas matière à s’inquiéter. La technologie RFID, si elle est souvent associé dans l’imaginaire collectif au « pistage » des citoyens, a aussi de nombreuses autres applications : c’est le cas ici.
En effet, cette puce n’a aucun objectif de traçage de ceux qui les portent : il s’agit de contrôler le nombre de lavages admis par ces dispositifs de protection, sans dépasser la limite pour lesquels ils sont certifiés, comme l’explique à France Inter l’entreprise française UBI Solutions, l’une de celles qui développe ce type de masques et qui est déjà spécialisée dans la traçabilité du linge hospitalier.
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Cela permet notamment aux employés de savoir quand le masque doit passer en machine et quand il n’est plus utilisable et aux entreprises qui gèrent le lavage de façon groupée en laverie industrielle de respecter les normes en vigueur fixées par l’Agence française de normalisation (Afnor).
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