Belle vidéo, Noah dénoncait cela il y a déjà 25 ans, il a gagné une fois mais propre.

Le dopage montre parfaitement la bête sauvage qu´est le capitalisme. Il faut se doper et investir en détruisant sa santé pour réussir de 1, et seuls les riches auront accès au dopage d´élite ; et ils seront protégés si ils sont pris de 2.

Le cas du tennis est intéressant, car seul les 100 premiers gagnent leur vie, et très bien. Un joueur de 25 ans 200ème mondial - ce qui est déjà énorme -, perd de l´argent ; sera plus que tenté, surtout s´il est argentin ou espagnol de se charger, car l accès au 100 premiers va lui assurer des revenus colossaux quelques années.
L´hypocrisie bancaires a créé la moralité avec la Tenis Integrity Unit, rire, qui n´a jamais pris de Top 10 ou de finalistes de Grand Chelem. On sait que Cilic s´est fait prendre 2 fois, que Söderling a pris sa retraite en 2010 à 26 ans pour une mononucléose, que Nadal ne boit que de l´eau, comme Serena. De temps en temps on prend un belge 300ème mondial pour dopage ou paris truqués... comme disait Céline au moins du temps des romains on ne foutait pas les gens en esclavage pour des prétextes humanistes.

Même au niveau amateur, où il n´y a rien gagner les mecs se chargent, pour finir 80 au lieu 100ème à un triathlon.
On peut appliquer ces phénomènes à l´ensemble de la société, même si la France offre une petite résistance, dûe à sa tradition de panache, de chevalerie, de gratuité, il n´y a pas grand-chose à faire face à cette lame de fond.

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On pourrait gloser pendant des heures sur ce problème mais à vrai dire, la question à se poser n’est-elle pas plutôt : qu’est-ce qu’une vie réussie ?
Certainement pas d’être immergé dans un monde artificiel où la compétition se généralise au point de n’être plus imposée par l’extérieur mais carrément consentie par les individus comme étant la norme à acceptée.
Dieu merci, il reste encore des millions de personnes (et non plus des "individus") dont le Sens est l’axe naturel de leur vie !

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Malheuresement, cela existe même dans l’armée lorsqu’il y a besoin ponctuellement d’un résultat au dessus de ses capacités...

Le paroxysme, c’est la couche culotte pampers pour les soldats d’élites israhelliens ?... On veut des « whinners* », ou on veut des mecs qui ne se chient pas dessus ? My fear of inadequacy, once again...

* whining : gémissements, pleurnichages, geindre...

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L’ère de l’Homme poulpe.

Celui qui est partout, sur tout les fronts, mais à l’ image du poulpe... Sorti de l’eau, il n’ est plu qu’un mollusque.

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Oui, ils sont tous dopés. On vit dans la société de l’image, de l’espectacle, du paraître. C’est cela qui est triste. Ne pas avoir la maturité d’assumer qu’on nous a vendu, et ce depuis les années 70, un modèle physique basé sur le « canon » homosexuel de la beauté qui s’inspire de l’art classique. La société de consommation a fait le reste : elle a hypertrophié le « modèle » pour nous vendre des jeans et des voitures. Pareil pour les performances sportives.
Personnellement, j’ai été victime de tout cela. J’ai passé 6 ans en salle de sport à faire ce que l’on appelle « de la gonflette » et je me suis dopé. Sauf que c’est plus compliqué que cela. Je suis assez partagé... S’agit-il de la triche ? Je n’en suis pas sûr car je ne faisais pas de la compétition ; se doper veut dire que l’on peut faire n’importe quoi à côté ? Non. Lorsqu’on a mis 300/400€ dans un « cycle » on a pas envie de bouffer de la merde ou de s’envoyer plusieurs gin-tonics ; c’était un physique artificiel ? Non, je ne faisais pas “armoire normande”, mon taux de gras était ridicule et je pouvais faire de l’aérobie sans m’essoufler. C’était dangereux ? Oui, surtout pour le foie, les reins et le cœur, mais je savais prendre les anabolisants à doses très raisonnables. Conclusion, c’était mensonger : il y avait une apparence de vie saine et j’étais victime du paraître, mais à mon niveau je n’ai jamais considéré cela comme un truc de pédé ou quelque chose de facile. Ce qui est sûr ce que tous ceux qui bossent comme je l’ai fait en salle de sport ont un problème de confiance en soi, et pourtant je n’avais pas le physique -compliqué- du “raptor dissident”...
En gros, on se dope (benzodiacepines, bêtabloquants, antidépresseurs, anabolisants et etc) pour supporter la société de l’espectacle.

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Il y a plus d’un siècle dans les 1ers tour de France,les cyclistes avaient déjà recourt à tout ce qui était envisageable par leurs toubibs.
Pour le sport à haut niveau,qui plus est ,pro,sans ’’dopage’’ tu n’arriveras à rien,autant tenter de gagner le 24h du Mans avec une R5 face à des GT de 500 cv.

Le 19 juin à 19:28 par Seifeldiin,
tu as bien résumé Kamarade.

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Il n’y a que les Communistes qui se dopent. Le monde libre est propre. Dieu bénisse l’Amérique.

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Je vois qu’on ramène encore et toujours tout à l’individu ici... comme d’hab’..comme si tout ça n’était pas le fait des institutions scientifiques et de l’armée, produit et étudié par elles seules (cames et dopants= sécurité et optimisation).

Même si on a toujours absorbé telle ou telle substance non vitale, je vous invite à essayer de préparer de l’érythropoïétine, du piracetam, du méthandrosténolone ou de l’alpha-méthyl-phénéthylamine dans votre cuisine.

Bref, l’idiot 3.0 regarde encore et toujours le doigt.

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Si tu prends les bonnes pilules, tu seras un homme, mon fils.

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des futurs gros en train de sucer des milkshakes pour compenser leurs états depressifs (aprés les années de mythomanies et d’exaltations prétentieuses).
un gachis.

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