Ils possèdent 100% des médias mainstream, 98% des postes d’éditorialistes, c’est-à-dire d’agents de surveillance médiatlque, et il leur faudrait en plus l’assentiment des foules et notre admiration.
Sonia Devillers est l’archétype de la collabo du service public audiovisuel : balayée en tous sens par les injonctions de l’idéologie dominante – on les rappelle pour ceux qui ont séché quelques cours sur E&R : féminisme, LGBTisme, sionisme, sociétalisme (ce faux socialisme), maçonnisme, américanisme, antiracisme –, la responsable du mirador médiatique « France Inter », du haut de son totalitarisme inconscient, lance ses accusations de « pluralisme » à qui ne lui ressemble pas et à qui ne marche pas droit. Car le pluralisme des opinions, dans sa bouche, c’est un danger, un truc qui ne devrait pas être.
Ce coup-ci, Sonia s’en prend à Praud, le journaliste foot devenu organisateur de combats de chiens dans l’enceinte L’Heure des Pros, la seule émission regardable de CNews, la chaîne qui a récupéré les morceaux d’i>Télé dans le groupe Canal+. Ce qu’elle reproche à Praud ? D’inviter André Bercoff, ce trumpiste français, très à droite de la droite, et Élisabeth Lévy, la patronne de Causeur. On pourrait reprocher une chose à Praud dans son ouverture idéologique aux « extrêmes », c’est d’ouvrir la porte à la droite nationale sioniste plutôt qu’à la droite nationale antisioniste.
Le pluralisme authentique voudrait que si l’on invite un bercoffiste, on invite aussi un antibercoffiste (il y en a mais un peu trop gentillets pour ce gaillard rompu à toutes les ficelles). Mais ne demandons pas la lune : le débat 100% ouvert à toutes les tendances n’existe pas en France, du moins dans les médias dominants. Il est complètement interdit sur France Inter, qui distille son poison progressiste chaque jour sur son antenne à travers ses agents collaborateurs ; il est sous contrôle sur CNews, comme on le voit avec l’irruption du nationalisme français pro-sioniste.
Le débat réel se retrouve donc sur le Net, et c’est E&R qui en tient l’agenda. De la même façon que Nicolas Sarkozy avait mis la main sur le débat politique public dans les années 2004-2007, avant de devenir président de la République, E&R lance les thèmes chauds qui font débat. Ce n’est pas faire offense aux autres sites d’information alternative ou de réinformation que de dire ça : on peut juger de l’acuité de nos thèmes et débats en mesurant la violence en retour du Système (DILCRAH, LICRA, CRIF, gouvernement). C’est qu’il est sensible, notre petit Système : il n’a pas l’habitude d’être analysé, décortiqué, étudié en profondeur !
Disons-le tout net : on le fout à poil, on lui baisse son slip en public, et ce que le public voit est moins reluisant que ce que la propagande lui raconte du matin au soir, chez France Inter ou Canal+, via Sonia Devillers et consœurs...
- La dernière couverture de Causeur ou comment lier le nationalisme français au sionisme, car si l’antisémitisme est une idéologie antifrançaise, alors le sionisme est une idéologie française...
Voici donc l’article de Causeur qui commence à défoncer la censure de France Inter, et ça en dit long sur le changement qui s’opère dans les médias dominants. D’après nous, la gauche sourde et aveugle à la Devillers devrait à terme laisser la place à une version plus « nationale », plus adaptée aux besoins de la dominance. Celle de Causeur, par exemple. On en a eu un aperçu avec la visite de la grande dame Badinter sur la même antenne, quand elle s’est écriée qu’on avait le droit d’être « islamophobe ». Sur France Inter, ça n’a pas trop moufté. Toujours du côté du manche, les collabos ! Sauf que là, le manche est en train de changer de côté.
Question : Sonia avec son logiciel de gauche retardée restera-t-elle en place quand il s’agira de faire la promo du nationalisme français sioniste à la sauce Zemmour ? On lui pose la question...
On le sait, France Inter a du mal avec le pluralisme. Alors quand l’animateur de CNews, Pascal Praud, ose inviter le journaliste André Bercoff dans son émission, l’occasion est trop belle de dénoncer cet affront fait à la liberté d’expression. Et, en passant, de crier au Bolloré…
Du lundi au vendredi de 9h à 10h, Pascal Praud anime – attention jeu de mots – L’heure des pros sur CNews. De Vincent Lagaf’ à Élizabeth Martichoux, toute la profession salue l’excellence de ce titre. Ce n’est toutefois pas assez pour dérider France Inter. En lançant, jeudi dernier, sa chronique « médias », Léa Salamé a précisé que l’émission « marchait bien ». Et visiblement, c’est un problème.
« Pascal Praud et CNews permettent tout désormais ! C’est inquiétant. »
Le contenu de L’heure des pros fait débat. S’il prend la forme d’un joyeux pugilat façon village d’Astérix, ce « talk » accepte les opinions les plus diverses. Pour tout vous dire, Pascal Praud a même l’outrecuidance d’inviter régulièrement Élisabeth Lévy, et de la laisser parler avec toute la sérénité qui la caractérise. Vous voyez un peu le genre…
Sonia Devillers, qui lui reproche ces vilaines choses, est la décrypteuse de médias de la station. Comme Jean-Marc Morandini, mais en plus féminin, plus chic, et sur le service public. Consciente qu’elle fait sonner son réveil chaque matin pour remplir le noble devoir d’informer le citoyen, elle dénonce sans ambages les dérives de L’heure des pros : « Pascal Praud et CNews permettent tout désormais ! C’est inquiétant. » Bigre, ça a l’air grave. Tendons l’oreille, ma bonne dame…
« Un verrou vient de sauter »
Ce qu’elle reproche à son confrère ? Avoir mis en place un « grand déversoir » de fake news et de théories du complot. Original. En cause, une séquence sur Mamoudou Gassama où le journaliste droitier, André Bercoff, a déversé façon camion poubelle les théories traînant sur le Net au sujet du jeune Malien sauveur d’enfant. Si la rumeur relayée chez Praud par Bercoff est complotiste, elle était à la mesure de l’intense campagne pro-migrants coproduite par l’Élysée et les médias la semaine dernière.
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France Inter, la gauche singulière
En République, il n’y a pas de sujets interdits. Mais il existe une liste noire… Avec des invités qui discutent, au hasard, de l’opportunité de l’immigration en France ou qui qualifient d’ « islamiste » le terrorisme, Praud et son turbulent village gaulois ont franchi la ligne jaune tracée par certains pisse-froid. Panique à bord dans les magistères médiatiques ! Partout, l’idéologie France Inter prend l’eau façon Titanic. Quand l’exaltée Nicole Ferroni reproche à sa station de ne parler que des attentats un lendemain d’attentats, elle se fait remonter les bretelles en direct. Comme disent les jeunes, gênance absolue…
On peut reconnaitre que l’émission de Praud ne vole pas toujours très haut. Mais elle a le mérite du débat contradictoire spontané, ce qui n’est pas si fréquent. Les centurions de notre Rome médiatique pourraient balayer devant leurs portes et « s’inquiéter » du pluralisme relatif sur leur antenne. Heureusement pour Sonia Devillers, l’émission de Pascal Praud étant programmée en même temps que la sienne, elle ne doit pas se l’infliger si souvent.
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