Après l’attentat au camion de ce 14 juillet à Nice qui a tué plus de 80 personnes, le profil de l’auteur présumé se précise. Né en Tunisie il y a 31 ans, Mohamed Lahouaiej Bouhlel avait déjà eu affaire à la justice en France mais il n’avait jamais fait l’objet de la moindre fiche et du moindre signalement de radicalisation.
Qui est l’auteur de l’attentat de Nice ce 14 juillet ? Au fil des heures, les informations se précisent sur l’homme neutralisé jeudi soir par la police au volant d’un camion blanc frigorifique de 19 tonnes, au terme d’une course meurtrière de 2 kilomètres sur la Promenade des Anglais qui a fait plus de 80 morts et des dizaines de blessés. Des papiers d’identité et une carte de crédit ont été retrouvés dans la cabine du poids lourd. Lesquels ont permis, croisés avec des tests scientifiques, de l’identifier.
Âgé de 31 ans, Mohamed Lahouaiej Bouhlel était chauffeur-livreur à Nice, domicilié dans un appartement de l’est de la ville. Celui-ci a été perquisitionné par la police ce vendredi matin. Lors d’une conférence de presse en fin d’après-midi, le procureur de la République de Paris François Molins a précisé que l’homme était de nationalité tunisienne, né en Tunisie le 3 janvier 1985. Il était père de famille. Son ex-femme a été placée en garde à vue.
Comme l’a également confirmé le procureur, Mohamed L-B était connu des services de police et de justice pour menaces, violences, vols et dégradation commis entre 2010 et 2016. Il avait été condamné une seule fois, le 24 mars dernier à Nice, à 6 mois de prison avec sursis pour violence volontaire avec arme, pour des faits remontant à janvier. Des violences commises dans une altercation en raison d’un accident de la circulation, avec une « palette », selon un communiqué du ministre de la Justice Jean-Jacques Urvoas. Il n’était depuis plus sous contrôle judiciaire, a précisé le ministre. Il n’a « jamais été incarcéré » et « ne faisait plus l’objet d’aucun suivi de la part de l’autorité judiciaire au moment de l’attentat », a-t-il ajouté.
En revanche, contrairement aux auteurs des attentats de Paris et Bruxelles, le procureur a précisé que l’homme était « totalement inconnu des services de renseignement, tant au niveau national qu’au niveau local, et n’avait jamais fait l’objet de la moindre fiche ni du moindre signalement de radicalisation ».
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Déséquilibré ou terroriste ?
Homme fragile qui buvait et se foutait de la religion, en proie à un divorce difficile et en rage contre toute la société, qui aurait choisi de se suicider par policier interposé pour les uns, suppôt de Daech sous couverture occidentale qui obéirait au mot d’ordre lancé par son organisation via les réseaux sociaux pour les autres, le cas du chauffeur fou partage.
Voici le tunisien auteur du carnage à Nice
Il s’appelle Mohamed Lahouaiej Bouhlel, originaire de Mseken et fils d’un membre du parti islamiste Ennahda connu pour son extrémisme. Il n’est donc pas franco-tunisien mais tunisien vivant en France depuis six ans avec une carte de séjour, des aides sociales et tout le tralala. Par reconnaissance à la France, il vient de prendre la vie à 84 innocents.
Le terroriste qui conduisait le camion qui a écrasé 84 victimes à Nice n’est pas Franco-tunisien comme cela a été annoncé par les médias français mais un émigré tunisien âgé de 31 ans, qui vivait en France depuis 2011 et qui a obtenu le séjour à la suite de son mariage avec une Franco-tunisienne, sa propre cousine (elle s’appelle Hajer) qui est installée à Nice et dont il a eu trois enfants.
Il s’appelait Mohamed Lahouaiej Bouhlel et il est originaire de la ville sahélienne de Mseken (Gouvernorat de Sousse) où il est né le 3 janvier 1985. Selon nos sources policières en Tunisie, sa mère s’appelle Cherifa et son père est membre du parti islamiste Ennahda et il est connu à Mseken comme étant un extrémiste violent que la police de Ben Ali surveillait de près et qui est devenu après janvier 2011 l’un des leaders locaux d’Ennahda à Mseken. Le criminel de Nice ne s’est donc pas improvisé terroriste, mais il né et a baigné dans un milieu familial favorable à la violence et au radicalisme. Il en va de même de sa belle famille.
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Selon certaines sources, cette crapule terroriste était mariée et père de 3 enfants. Son voisinage interrogé le décrit comme « pas très religieux, (qui) ne fait pas la prière, aime les filles et la salsa ». Des propos habituels qui montrent combien un intégriste daéchien peut dissimuler son vrai visage avant de passer à l’action. Et des criminels pareils, il y en a des centaines et des milliers en France. Pour nous, ce terroriste est né dans un milieu intégriste et il était « culturellement » prédisposé à devenir un terroriste. Les services de police devraient d’ailleurs s’inquiéter du fait que l’un de ses proches travaille à l’aéroport de Nice !
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Après analyse et enquête, le corps de cette crapule sera expédié en Tunisie, où sa famille, ses amis, ses voisins l’enterreront probablement en « martyr », comme tous les criminels que ce pays autrefois civilisé et moderne a produits depuis la « révolution » dite du jasmin qu’on avait fait faire à la populace tunisienne et que l’ensemble des politiciens et journalistes français avaient à l’époque saluée, acclamée et exaltée.
Il y a à peine un mois, la France de Monsieur Hollande recevait en grande pompe le chef des Frères musulmans tunisiens, Rached Ghannouchi. Parmi les objectifs non avoués à l’égard d’un tel doctrinaire de l’islamo-terrorisme, encadrer, contenir et empêcher la jeunesse française de confession musulmane de basculer dans le radicalisme !