Les initiés le savent : le retour en force des réseaux sarkozystes réouvre la voie à l’option « terrorisme » en terme d’ingénierie. Nouvelle illustration avec cet événement « grave » (selon les propos de Jean Castex) ?
La simple présence du « journaliste-réalisateur » Paul Moreira sur les lieux du crime peut interroger : cet ancien trotskyste passé par RFI, TF1, Canal + et l’agence de presse CAPA (fondée par le sarkozyste et ex-trotskyste Hervé Chabalier et désormais aux mains de Bernard Zekri et de Fabrice Larue), actuellement à la tête de Premières Lignes Télévision (société de production très liée à Arte et Canal +) et vice-président de l’ONG Reporters sans frontières, n’a-t-il pas le profil du parfait agent au service du pouvoir profond ?
Castex, Moreira, Weil, Charlie Hebdo : un bon casting chargé de faire avaler – de force – la pilule du reconfinement pour cette rentrée 2020 à deux doigts de l’explosion de colère sociale.
Au moins un individu armé d’une machette a attaqué plusieurs personnes ce vendredi matin près des anciens locaux du journal satirique, théâtre d’un attentat en janvier 2015, dans le XIe arrondissement de Paris.
Alors que le procès des attentats de janvier 2015 se poursuit à la cour d’assises spécialement composée de Paris, une attaque à la machette s’est produite ce vendredi matin, rue Nicolas-Appert, près des anciens locaux de Charlie Hebdo, dans le XIe arrondissement de la capitale.
Une enquête a été ouverte pour « tentative d’assassinat », selon les déclarations du procureur de Paris en ce début d’après-midi. Le point sur ce que l’on sait.
D’après des sources concordantes, deux blessés, dont le pronostic vital ne serait plus engagé, ont été transférés à l’hôpital de la Salpêtrière et à l’Hôpital européen Georges Pompidou.
Elise Lucet, interrogée sur France 2, a indiqué que deux salariés de l’agence Premières Lignes avaient été blessés dans l’attaque d’aujourd’hui. Paul Moreira, de la même société de production, nous a également confirmé que plusieurs personnes avaient été touchées dans cette attaque « devant nos locaux avec une feuille de boucher » peu avant midi.
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En ce début d’après-midi, les écoles du 11e, 3e et 4e arrondissements étaient confinées par mesure de sécurité. « Cinq écoles du XIe arrondissement et toutes les écoles des 3e et 4e arrondissements ont été confinées. Ça représente des milliers d’élèves, de la crèche au lycée. On se met en sécurité. On est en train de fermer les équipements municipaux et les gymnases aussi », a précisé le maire de Paris Centre Ariel Weil.
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