Les peuples n’en veulent pas, mais c’est pas grave : intoxiqués jusqu’à l’os, les employés – crédules ou cyniques, on ne saura jamais – du mondialisme pleurnichent dans les médias dominants (écoutez cette chronique de France Culture) – mondialistes, faut-il le rajouter – pour essayer de vider leurs cargaisons de migrants subsahariens destinés à mettre le feu et le chaos dans les pays d’accueil.
Pendant ce temps, les pays d’accueil, contaminés par la lucidité, un par un, basculent dans le populisme. Et les employés du mondialisme ne veulent toujours rien voir, aveuglés qu’ils sont par leur antiracisme de pacotille, leur dernière carte pour détruire les pays qui résistent au mondialisme...
La présidente de SOS Méditerranée a-t-elle conscience de la dictature mondialiste imposée aux peuples ? A-t-elle conscience d’être un rouage des destructions nationales programmées ?
Visiblement non, puisqu’elle continue à engueuler les « États », c’est-à-dire nous. On croit rêver.
Le navire Aquarius affrété par SOS Méditerranée, qui a secouru, vendredi 10 août, 141 personnes au large des côtes libyennes, est à la recherche d’un port où débarquer. Le bateau humanitaire fait route vers l’Europe, sans avoir reçu confirmation d’un lieu sûr où accoster. « On appelle l’ensemble des pays européens à prendre leurs responsabilités », a déclaré lundi 13 août sur franceinfo Sophie Beau, directrice générale de SOS Méditerranée.
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L’Aquarius ne verra jamais un port italien, a déclaré le ministre de l’Intérieur italien. Aucun pays européen ne veut vous accueillir ?
Pour l’instant, nous avons fait ces deux sauvetages sous la coordination des garde-côtes libyens et c’est normalement à eux de trouver ce port sûr. Ils nous ont confirmé, à deux reprises et par écrit, qu’ils ne pouvaient en aucun cas présenter eux-mêmes un port sûr et qu’il fallait que nous nous adressions à un autre centre de coordination des secours. Nous nous sommes donc adressés aux deux centres des pays les plus proches qui sont Malte et l’Italie. Pour l’instant, nous avons un refus de prendre cette responsabilité. Officiel de la part de Malte et pas encore officiel de la part de l’Italie.
Au moment du sauvetage, le port le plus proche se trouvait en Libye. Pourquoi ne pas avoir débarqué les migrants dans ce pays ?
Conformément au droit maritime international, un port sûr est un port dans lequel les personnes peuvent obtenir une protection, ce qui n’est absolument pas le cas en Libye dans la situation actuelle. Les autorités maritimes libyennes qui ont coordonné ce sauvetage ont reconnu elles-mêmes qu’elles ne pouvaient pas nous offrir un port sûr et qu’il fallait qu’on s’adresse à d’autres centres de coordination des secours.
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Ce n’est pas l’Aquarius qui décide du port de destination. Là, on est vraiment face à une espèce d’impasse face à la prise de responsabilités, ce qui est complètement inadmissible de la part des États.
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"La France doit apporter une réponse", le président du port de Sète propose d'accueillir l'Aquarius pic.twitter.com/wBzQJYebkR
— BFMTV (@BFMTV) 13 août 2018