Que tous ceux qui nous bassinent dans les médias (récemment avec Fogiel qui fait du prosélytisme en matière de PMA-GPA) avec « l’amour parental homosexuel » en prennent de la graine : deux pères ne peuvent pas s’occuper normalement d’un bébé. Il faut une femme pour cela.
Quant à un couple de deux femmes, le problème est différent, il tient à la structuration de l’enfant qui grandit sans père. Les sociologues sérieux en connaissent les conséquences : elles ne sont pas mortelles, évidemment, mais sans l’image d’un père, sans son autorité, sans sa présence, la colonne vertébrale morale de l’enfant est plus fragile.
La feinte tient à ce que ce sont des homosexuels occidentaux nantis qui s’achètent des bébés, arrachés contre argent à de pauvres mamans du tiers-monde, et qu’ils ne s’en occupent pas toujours personnellement comme une vraie mère pourrait le faire. Ils ont des nounous à leur service pour ça, et des nounous... femmes.
Les hommes n’ont pas la patience des femmes pour les enfants, ce ne sont pas spontanément des pourvoyeurs de tendresse, et ce n’est pas forcément leur rôle. Le rapport charnel qui unit la mère et l’enfant, le père ne le connaît pas. Le rapport est autre : moins tourné vers l’intime, plus tourné vers le monde.
Les défenseurs de l’homoparentalité masculine ont souvent utilisé la prétendue violence des couples hétérosexuels pour leur propre promotion, l’homoparentalité serait ainsi « tout amour ». Il est évident que quantitativement, il y a plus d’enfants maltraités chez les couples hétéros que chez les couples homos. Mais deux pères pour un bébé acheté, ça présente des risques à tous les niveaux... pour l’enfant.
Pourquoi tenter le Diable ?
Il aurait dû l’aimer et la chérir. Un Britannique de 31 ans est accusé de maltraitances répétées ayant entrainé la mort de la petite Elsie, qu’il venait d’accueillir dans son foyer.
Il avait mis entre parenthèses sa carrière de professeur de fitness pour être père au foyer et s’occuper de sa fille adoptive. C’est du moins l’image qu’aimait à donner de lui Matthew Scully-Hicks, Britannique de 31 ans, accusé de violences répétées ayant entraîné la mort de la petite Elsie, 18 mois. Depuis des mois, le père indigne « abusait de la fillette et l’agressait », ainsi que vient de l’établir la cour de Cardiff aujourd’hui chargée de le juger.
Avec son mari Craig, Matthew Scully-Hicks avait entamé les démarches en vue d’une adoption en septembre 2015. Une procédure officiellement reconnue huit mois plus tard. Mais moins de deux semaines après cette bonne nouvelle, la petite Elsie est morte des suites de traumatismes crâniens. L’enfant est décédée à l’hôpital universitaire de Wales, à Cardiff, ainsi que le rapporte le Daily Mail. Ses chances de survie étant nulles, son appareil de respiration artificielle a été débranché.
« Cette gamine est psychopathe. C’est Satan en grenouillère »
Après le décès tragique de la fillette, la police a saisi les appareils électroniques qui appartenaient à Matthew Scully-Hicks, notamment son iPad. Sur la tablette, les enquêteurs ont retrouvé des messages troublants, envoyés douze jours à peine après l’arrivée d’Elsie. À un de ses amis, l’accusé écrivait :
« Je vis l’enfer avec Elsie ! Les repas et le coucher sont mon pire cauchemar en ce moment. Là, elle hurlait non-stop depuis dix minutes. Elle vient d’arrêter mais je doute que ce soit la dernière fois où je l’entendrai crier ce soir. »
Le même jour, le 22 septembre 2015, Scully-Hicks envoyait à son mari Craig, un message où il traitait la petite de « psychopathe ». Le lendemain, s’adressant encore à son conjoint, il décrivait l’enfant comme « Satan en grenouillère ». Sans antécédents judiciaires, l’accusé s’était marié au Portugal en 2012. La même année, le couple avait décidé de demander l’agrément en vue d’une future adoption.
« Il mettait la musique à fond pour couvrir ses cris »
Interrogés par la police, les voisins du couple se souviennent des hurlements de la petite Elsie, de la musique poussée à plein volume pour couvrir ses cris et des insultes qui fusaient, quand Craig était au travail et que Matthew Scully-Hicks restait seul avec l’enfant. « Je l’ai entendu crier : ’Tu vas fermer ta putain de gueule, petite conne ! » raconte l’un d’eux.
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