Qu’est-ce que l’ancien danseur étoile n’a pas dit là ! Le pied dans le plat de la bienpensance homosexualiste !
Si tonton Bergé était encore de ce monde, il aurait morigéné avec force les propos scandaleux de cette « danseuse », comme diraient avec mépris les homophobes, ou ce qu’il en reste.
Mais Patrick Dupond ne parle que de son expérience, et les perroquets des réseaux sociaux ne devraient pas s’affoler pour si peu.
En tous les cas, ça prouve que tous les homosexuels ne le sont pas, ce que les psy savent depuis toujours...
Alors qu’il file aujourd’hui le parfait amour avec Leïla Da Rocha, une ancienne joueuse de basket devenue spécialiste de danse sacrée orientale, Patrick Dupond s’est confié sur sa vie d’avant.
L’ancien danseur étoile a notamment évoqué la solitude sentimentale qui était la sienne, expliquant que ses relations homosexuelles n’avaient servi qu’à cacher la réalité de cet isolement.
« Ça m’arrangeait de me mentir à moi-même »
« En ce qui me concerne, l’homosexualité a été une erreur », estime ainsi Patrick Dupond dans un entretien à Paris Match publié ce jeudi. L’ancien directeur de ballet de l’Opéra de Paris explique avoir vécu « dans un mensonge », « une parodie de l’amour ». « Ça m’arrangeait de me mentir à moi-même », raconte-t-il.
Ces propos ont indigné de nombreux internautes qui expriment depuis leur colère sur les réseaux sociaux. Certains estiment que les mots choisis par le danseur peuvent s’avérer dévastateurs, notamment chez les jeunes homosexuels.
Pour Patrick Dupond, « l'homosexualité a été une erreur » https://t.co/NNDmPRMl4T Se rend-il compte de l'effet dévastateur de ces mots ? pic.twitter.com/2aNGEFovZY
— Fabien Randanne (@fabrandanne) 7 septembre 2017
Terrible et irresponsable, le message véhiculé par Patrick #Dupond dans les colonnes de Paris Match : mon "homosexualité a été une erreur" pic.twitter.com/Q1l1k49RFo
— Flore Galaud (@floregalaud) 7 septembre 2017
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Patrick Dupond a avoué ne pas aimer la personne qu’il était à cette période de sa vie. Les choses ont bien changé depuis qu’il a trouvé le bonheur avec Leïla Da Rocha à la suite d’une rencontre qui aurait pu ne jamais avoir lieu.
« Je venais de prendre la décision de tout quitter pour me reconstruire au Japon. J’avais déjà acheté mon billet d’avion. (…) Ma valise était prête. Leïla m’a téléphoné la veille du départ. (…) Elle dirigeait une école de danse, à Soissons, pour laquelle elle souhaitait me rencontrer. Parce qu’elle a su trouver les mots, j’ai accepté un rendez-vous. L’entrevue devait durer trente minutes. À 3 h du matin, nous n’arrivions pas à nous quitter. »