C’est un sujet tabou chez les tenants des droits des homosexuels, du mariage pour tous, de l’utérus en location : les dommages psychiques chez les enfants élevés dans des couples de même sexe. Ces pourfendeurs de la famille traditionnelle qui veulent imposer, mus par des concepts totalement idéologiques et égoïstes, une égalité arbitraire et anti-naturelle à toute l’humanité, ferment les yeux consciemment sur les réalités naturelles.
Pourtant des données scientifiques sont là pour appuyer le bon sens : « On ne peut exclure que vivre avec deux parents de même sexe n’ait pas des retombées négatives sur les processus psychiques et relationnels dans l’âge évolutif » affirme, à propos des adoptions par des invertis, le président de la Société Italienne de Pédiatrie, Giovanni Corsello.
Le débat sur la Loi Cirinnà qui a lieu au Sénat italien actuellement « s’est maintenu dans une sphère politique et idéologique » alors que selon le médecin-pédiatre Corsello il faudrait « que la discussion comprenne aussi les aperçus cliniques et psychologiques de l’enfant et de l’adolescent ».
Ce sont là des considérations de sagesse et d’équilibre que les théoriciens du gender et de la stepchild adoption, relayés par les politiciens du système, ne veulent pas entendre tout à leur volonté de changer mondialement la société, anciennement bâtie sur des règles chrétiennes et naturelles, à partir des nouveaux critères idéologiques anti-naturels patronnés par les loges maçonniques et imposés grâce au politiquement correct.