Bonsoir Messieurs,
Je mérite vos appréciations ou plutôt vos manques d’appréciations dans le mesure où quand on désire s’inscrire dans le collectif, on se doit de se comporter suivant des valeurs et règles morales.
Maintenant, permettez-moi de nuancer deux points essentiels :
A) Je suis un grand amoureux des femmes (et en cela du romantisme). Si je devais me référer à Weininger, je dirais que j’ai une part de F très importante ; ce qui se marque entre autre par des discussions sur l’amour, le couple, les enfants (oui, oui), le fait d’apprécier les efforts que fait une femme pour se rendre belle, etc.
Soral dans son livre "Sociologie du dragueur" décrivait ce type de dragueur comme suit (et encore une fois il tape juste car c’est précisément mon cas !). La mère faible p36 : s’il s’agit d’une mère faible et de l’interruption brutale d’une relation privilégiée, par exemple à la suite d’un remariage où l’enfant a été sacrifié au nouveau conjoint, le dragueur sera plutôt passif et mélancolique. Le genre amoureux permanent, pâmé en série, esthète et peu critique dans son regard sur les femmes.
En reprenant le discours de Valmy avec le slogan : " de la France, je prends tout" !, je l’ai légèrement adapté à ma sauce en affirmant que de la femme je prends tout !
Il n’y a rien d’honorables je l’avoue mais sachez néanmoins une chose est que la femme est exclusivement sexuelle ; tout chez elle est portée sur le coït et que la pudeur que j’ai (oui !) compense l’absence totale de pudeur que mes aventures m’ont fait connaître. Leur sexualité est une ode à la pénétration et un désir total de soumission. Ayant investigué sur cette voie, il me reste deux axes d’attaques ; l’accepter ou le célibat.
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