Si l’agression au couteau par un Afghan à Paris dimanche 9 septembre 2018 au soir n’a fait « que » 7 blessés et aucun mort, c’est peut-être grâce à Farid et Boudjema, qui jouaient aux boules dans le coin.
Au fait, où étaient Papacito et le Raptor, ceux qui « portent leurs couilles » et qui veulent ratonner les Arabes et les Noirs ? Et les forces de l’ordre, les soldats de Sentinelle, les milliers de réservistes de la gendarmerie, sans oublier ceux qui sont restés l’arme au pied devant le Bataclan, attendant les ordres d’engagement qui ne viendront jamais ? Tous devant les synagogues et les écoles communautaires ?
La sécurité est à la fois l’affaire et le bien de tous. Pas besoin d’être des professionnels pour défendre des victimes, même si ça aide : un sportif entraîné aux arts martiaux pourra utiliser 30% de ses moyens en face d’une attaque, les autres beaucoup moins, voire rien du tout. Laisser faire ou attendre la police, c’est bien, mais parfois, le mal est fait. Et la police ne peut pas tout, surtout devant les agressions de basse intensité, qui sont légion.
Dans tous les cas, un peu de solidarité, beaucoup de courage et d’esprit d’initiative seront toujours les bienvenus dans la population pour protéger les femmes, les enfants, les anciens et les homos, qui ne pratiquent pas tous en salle la gonflette... et la dégonflette à la Raptor.
Les Français n’ont pas perdu le goût du combat, mais il a été progressivement encadré puis réduit par l’autorité étatique qui pénalise toute intervention de légitime défense. Aujourd’hui, poursuivre un voleur ou un agresseur peut se retourner contre les justiciers.
On espère que les lanceurs de boules de pétanque ne se feront pas attaquer en justice par les avocats d’extrême gauche qui ne manqueront pas, migrantophilie oblige, de défendre le pauvre Afghan qui a poignardé de dangereux passants un soir, le long du canal de l’Ourcq...
La leçon du jour : la défense contre couteau