« L’affaire commence vers 23 heures, square de Montferrand, à Marly-le-Roi, lorsqu’un riverain alerte la police après avoir surpris des personnes qui s’affairent de manière suspecte sur une moto.
Arrivés sur place, les policiers de la brigade anticriminalité aperçoivent un groupe charger un deux-roues dans un fourgon blanc, avant de prendre la fuite. La camionnette est repérée au Port-Marly et une patrouille de police la prend en chasse. Le fourgon continue sa route, avant de s’immobiliser route de Versailles. Le conducteur sort du véhicule et s’enfuit sur la passerelle qui mène à l’île de la Loge.
À l’intérieur du véhicule, les fonctionnaires trouvent deux motos volées. Ils mènent des recherches sur l’île car le suspect s’est lui-même engagé dans ce site sans issue. Les forces de l’ordre le repèrent près des locaux de l’association Emmaüs. Selon la police, se sentant pris au piège, l’homme se serait alors jeté dans le fleuve pour échapper à l’arrestation. » (Le Parisien)
- Le lieu de l’incident
La différence entre le policier français et le policier américain est simple : aux USA, ce cousin Traoré aurait été truffé de plomb avant d’entrer dans l’eau. En France, le policier se jette à l’eau pour essayer de sauver le voleur présumé qui fuyait la présence policière.
Maintenant, on va retrouver la hurleuse haineuse chaque jour dans les médias. Quand cette comédie finira-t-elle ? Combien de Traoré vont-ils encore donner du fil à retordre à la police française ? Le lobby sioniste va-t-il lâcher Assa, devenue contre-productive avec sa haine chevillée au corps ?
Justement, le site du NPA (les trotskistes de Besancenot) a relaté l’incident et laissé supposer que le cousin Traoré était mort d’avoir « croisé la police », ce qui est autre chose qu’une noyade. De là à dire ou laisser sous-entendre que la police a volontairement noyé le cousin, il y a un pas que les gauchistes semblent franchir allègrement, tout en s’affranchissant des règles journalistiques.
Non au traoricide !
Oui mais quand on fait de l’idéologie et qu’on espère récupérer la militance racialiste noire, on ne fait pas dans le détail : on tire dans le tas, et tant pis s’il y a la vérité dedans ! C’est donc NPA contre police, parole contre parole, dans cette nouvelle affaire Traoré, et des affaires Traoré, il commence à y en avoir beaucoup.
D’abord la version du Parisien, donc de la police, ne nous voilons pas la face :
« Il aurait nagé un peu en direction de la berge avant de tenter de faire demi-tour et de couler à pic, visiblement épuisé. Un policier aurait plongé pour lui porter secours. Le fonctionnaire parvenant à le récupérer et à le remonter sur la berge.
Le voleur présumé est inconscient : les policiers lui prodiguent un massage cardiaque. Les pompiers et le Samu arrivent en renfort et tentent de le ranimer mais l’homme ne revient pas à la vie. Il n’avait aucun papier sur lui. Son corps a été conduit à l’institut médical de Garches (Hauts-de-Seine) pour y subir une autopsie. »
Maintenant la version de ceux qui détestent la police (ils le chantent dans toutes leurs maigres manifestations), qu’ils soient besancenistes blancs ou racialistes noirs :
« Une version mise en cause par les proches du défunt nommé Mahamadou qui pointent qu’aucun témoin n’a assisté à la scène. C’est ce qu’explique un militant du comité Vérité pour Adama pendant un direct Facebook devant le domicile de la famille à Noisy-le-Grand (93), où il était venu témoigner ses condoléances. Le militant explique aussi que l’homme âgé de 35 ans, était père de deux enfants, et le cousin de Assa Traoré.
Elle aussi présente pour apporter ses condoléances à la famille, la sœur d’Adama Traoré dénonçait quelques minutes plus tôt sur un autre live Facebook la présence d’une dizaine de policiers à ce moment là devant le domicile du père de famille. Elle interpelle l’un d’eux qui venait de braquer un jeune homme présent avec son LBD en lui demandant “c’est normal de nous braquer avec un flashball ?”. Ce à quoi le policier répond “oui, monsieur avait un bâton”, et ajoute “je n’ai pas de compte à vous rendre”... » (Révolution permanente [1])
Quand même, le sale policier blanc raciste donne du « vous » à une jeune femme de couleur ! On dira ce qu’on voudra, mais on n’est pas aux USA. Passons à la réaction d’Assa, la petite employée du lobby qui incarne la haine anti-Blancs en France :
« Voilà, on est à Noisy-le-Grand, y a mon cousin qui s’est fait tuer par la police, dans le 78 »
Nous sommes tous des Traoré
Comme prévu par les automatismes gauchistes, c’est le jeune franco-algérien Taha Bouhafs, un autre hater (de la France bien sûr, pas de l’Algérie) qui a laissé entendre que la police avait éliminé un second Traoré.
Hier soir, Mamadou, cousin d’Assa Traoré, a perdu la vie lors d’une intervention policière. Selon la police, il s’est jeté dans la Seine pour leur échapper et s’est noyé. Sa soeur, Kangne, ne croit pas à la version policière. APPEL À TEMOINS :
— Taha Bouhafs (@T_Bouhafs) September 14, 2020
On rappelle que chez les frères de cette grande et noble fratrie, cinq sont des truands ou sont passés par la case prison. Hélas, notre Assa nationale ne communique pas dessus, on ne sait pas trop pourquoi. Car le contexte familial peut expliquer bien des choses : un père (mort aujourd’hui, mais pas assa-ssiné par la police), quatre mères et 17 enfants, ça peut avoir une influence.
Pour info, Là-bas si j’y suis est l’émission du site de Daniel Mermet, le gauchiste parti de France Inter qui a monté son site.
Post scriptum :
Message aux militants racialistes antiblancs de la bande à Assa : ne mettez surtout pas de gilet jaune si vous manifestez !