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440 historiennes dénoncent "la domination masculine" dans leur discipline

Ces 440 historiennes exigent ni plus ni moins une discrimination positive, pour obtenir plus de femmes chercheurs. Mais alors, quid du niveau des nouvelles entrantes dans ce giron très masculin ?

« L’association Mnémosyne, qui milite pour l’histoire des femmes et du genre, a obtenu pour la première fois en 2010 de pouvoir organiser une table ronde. Mais la grandeur symbolique, elle, ne se partage pas au salon et elle est indubitablement masculine, comme l’est emblématiquement et quasi systématiquement le Grand prix des Rendez-vous de l’histoire de Blois (dix-huit hommes primés pour trois femmes, proportions comparables à celle du prix du livre d’histoire du Sénat, quatorze hommes primés pour deux femmes).
[...] Blois n’est qu’un symptôme, celui de la persistance de la prédominance masculine dans un contexte de féminisation progressive, mais fragile, du corps académique. Si elle s’articule solidairement à d’autres luttes dont l’urgence s’impose aujourd’hui avec force, contre le harcèlement sexuel notamment et contre toutes les discriminations, la résistance à cette forme de domination répond à une même nécessité. » (Extraits de l’appel)

On ne va pas refaire la critique du féminisme, mais en signant cet appel, ces 440 historiennes se tirent une balle dans le pied : la science, les sciences, se fichent de la couleur de la peau et du sexe. Si on est bon, on passe tous les barrages, même les plafonds de verre. Si on n’est pas bon, ou moins bon, ou moins motivé, on progressera moins vite. Certes, il y a les réseaux, ceux qui upgradent un chercheur pas forcément doué du moment qu’il sert le réseau en question, mais ça, c’est un autre problème, et un vrai problème : celui de la domination gauchiste dans l’université, et le mal que ça produit sur la qualité de la recherche et le niveau intellectuel de l’ensemble. Là il y a une vraie sclérose, une vraie préférence à l’embauche, une vraie discrimination. Et que demandent ces dames, probablement gauchistes car féministes ? Une nouvelle discrimination positive, la première ne suffisant apparemment pas à les upgrader au niveau de leurs ambitions !

Mais soyons précis, et analysons ce qu’elles demandent. Les deux premiers points de leurs exigences sont éloquents :

« Défendre la représentation égalitaire des femmes dans les comités de recrutement et jurys de concours, où la loi l’impose, ainsi que dans les différentes instances de sélection de la recherche. Cette parité doit aussi concerner les jurys de prix, les comités d’organisation des colloques et les ouvrages collectifs, sans rigidité mais avec vigilance.

Modifier les critères d’évaluation : nous défendons l’excellence, mais l’entendons qualitativement plus que quantitativement. Plutôt que le nombre d’articles publiés à une date donnée, valorisons leur qualité et leur originalité, ou encore la capacité à explorer de nouveaux sujets au fil d’une carrière. »

La suite est du pur vœu pieux :

« Lutter contre l’invisibilité à toutes les échelles : dans nos enseignements, en donnant à lire aux étudiantes et aux étudiants des textes d’historiennes ; dans les instances académiques, en encourageant les candidatures féminines ; dans les concours de recrutement, en veillant à ce que les jurys, à l’oral notamment, ne reproduisent pas systématiquement des réflexes anciens privilégiant l’assurance de soi sur l’expression du doute.

Encourager les jeunes femmes qui entrent dans la carrière : doctorantes, jeunes maîtresses de conférences et chercheuses ont besoin d’être soutenues, d’être insérées dans des réseaux, toujours si déterminants dans le champ, d’être encouragées à présenter des papiers dans des colloques et tout particulièrement à publier. »

Le facteur principal de cette discrimination, selon les historiennes en question, serait le temps. Les femmes, travaillant en plus à domicile, disposeraient de moins de temps pour leurs mémoires, recherches, études. La faute en incomberait donc aux hommes qui ne s’occuperaient pas assez des tâches domestiques et des enfants (ces autres tâches domestiques). Un argument curieux qui n’explique alors pas la surreprésentation des femmes dans certains secteurs d’activité, on pense à la presse, la communication, l’enseignement et... les sciences humaines !

« Prendre en compte les contraintes spécifiques des carrières féminines : le refus d’entrer dans la vie privée des femmes tout en soulignant les “trous” dans leurs CV est une attitude éminemment hypocrite et un choix politique. Les femmes ont particulièrement besoin de congés pour recherche (CRCT) au moment charnière de la préparation de l’HDR, et de résidences académiques où elles puissent se consacrer entièrement à la rédaction. Il pourrait être envisagé, au CNU et dans les universités, de flécher des congés spécialement sur les carrières féminines. »

Même si les historiennes obtiennent satisfaction sur tous ces points, il n’est pas sûr qu’on se retrouve avec 50% de femmes dans ce métier. Et puis, tous les historiens ne sont pas bons. Ce qui compte, c’est d’être un bon historien, pas un propagandiste. Et la propagande n’a pas de sexe.

Que l’homme soit plus porté vers le social depuis des centaines, voire des millions d’années, et la femme sur l’intime, même si ça change depuis le XXe siècle, n’effleure pas les oreilles de nos historiennes. C’est pourtant un point d’histoire intéressant : les modèles d’aujourd’hui ont des racines profondes, très profondes. Ce ne sont pas quelques furies LGBT qui vont changer ça, même avec l’appui de chefs de gouvernements corrompus ou pervertis.

- La Rédaction d’E&R -

 


 

En devenant la troisième scientifique à être récompensée du prix Nobel de physique, Donna Strickland a soulevé le problème du manque de représentativité des femmes dans le secteur des sciences. Mais comme en témoigne une tribune, publiée dans Le Monde, ce jeudi 4 octobre, la communauté historienne semble, elle aussi, pâtir de cette situation.

 

C’est la raison pour laquelle 440 chercheuses françaises de cette discipline ont signé le texte en question, à l’approche des Rendez-vous de l’histoire de Blois, une manifestation annuelle organisée entre le 10 et 14 octobre pour donner de la visibilité à la production et à la recherche historiques. Malgré quelques avancées, elles dénoncent une « domination masculine » lors de cet événement.

« Dans les sciences humaines, les femmes représentent près de la moitié du corps des maîtres de conférences mais ne sont plus que 29 % dans le rang professoral et 25,5 % au sein des directions de recherche au CNRS », explique le collectif.

Outre les différences de salaire, ce dernier alerte aussi sur la mainmise des hommes dans les directions de publication, de revues ou de collections.

Moins médiatisées, les femmes ont aussi, d’après le collectif de signataires, moins le temps de publier. En cause, un temps de répartition inégal des tâches domestiques au sein des ménages. Un argument qu’elles imputent, de façon plus générale, à la société actuelle.

[...]

Un plan d’action élaboré

Fortes de ce constat, les 440 historiennes proposent ainsi un plan d’action pour venir à bout de cette réalité. Elles demandent à leurs collègues masculins et aux instituions de tutelle de s’engager à défendre la représentation égalitaire des femmes dans les comités de recrutement, mais aussi à modifier les critères d’évaluation. Au lieu de juger de la quantité des productions, elles demandent à être évaluées sur la qualité de leurs travaux de recherche.

Lire l’article entier sur huffingtonpost.fr

 

Super Pépette, qui a l’air de souffrir beaucoup (probablement à cause des scarifications sur son bras droit), évoque les « oppressions » que les femmes subissent de la part des hommes :

 


 

Un an après l’affaire Weinstein, ce qui a changé
entre les hommes et les femmes

 

 

Sous l’effet du mouvement #MeToo, la hausse des plaintes et la « libération de la parole » sont réelles, selon les associations et les forces de l’ordre. Une majorité de Français reste cependant sceptique sur cette « révolution ».

 

C’est un phénomène mondial né il y a tout juste un an. Le 5 octobre 2017, le New York Times révèle une série d’accusations de harcèlement et de violences sexuelles à l’encontre du magnat de Hollywood Harvey Weinstein. Bien au-delà des États-Unis et du seul milieu du cinéma, cette affaire a entraîné une vague inédite de libération de la parole des femmes victimes de violences sexuelles. Portés par les hashtags #MeToo mais aussi #BalanceTonPorc en France, les témoignages ont déferlé sur des réseaux sociaux, transformés en arme de dénonciation massive. Dans les mois qui ont suivi, de nombreuses voix se sont élevées pour saluer la fin d’une omerta. « La honte a changé de camp », se sont réjouies les féministes qui ont appelé à une révolution des rapports hommes-femmes.

Cette révolution a-t-elle vraiment eu lieu dans les mentalités ? Les réseaux sociaux, parfois qualifiés de « tribunal populaire », ont-ils réussi à changer la donne sur le terrain ?

Pour les femmes victimes, #MeToo a indéniablement joué un rôle de déclencheur. Selon un sondage de la Fondation des femmes réalisé en septembre sur un échantillon de 1 169 femmes victimes de violences, 71 % d’entre elles ont décidé de témoigner d’agressions subies lors de cette campagne. La quasi-totalité (95,7 %) saluent un mouvement qui a joué un rôle bénéfique dans leur vie. Un constat que ne partagent pas forcément tous les Français, selon un sondage effectué sur une population moins ciblée. Un sur deux (53 %) estime en effet que ce phénomène n’a eu de conséquences ni positives ni négatives, indique un sondage Harris Interactive réalisé pour RTL Girls sur un échantillon de 1 862 Français.

 

 

En outre, seuls 8 % des sondés disent avoir changé de comportement dans l’espace public. Ce pourcentage s’avère cependant plus élevé dans la jeune génération puisqu’un homme de moins de 35 ans sur quatre déclare avoir aujourd’hui une autre perception du harcèlement sexuel.

 

Nouveau délit d’outrage sexiste

Sur le terrain, dans les commissariats et les brigades de gendarmerie, l’effet #MeToo est tangible, comment en témoigne l’augmentation du nombre des violences sexuelles enregistré par le Service statistique ministériel de la sécurité intérieure en un an. Il a bondi de 21,57 %, pour atteindre les 48.233 faits entre septembre 2017 et août 2018. Soit 132 agressions par jour ! Les viols ont augmenté quant à eux de 18,13 %, avec 19.283 agressions recensées dans la même période. Les harcèlements frisent la barre des 29.000 plaintes en douze mois, marquant une poussée inédite de 23,97 %. Gendarmes et policiers imputent cette flambée à la fameuse « libération de la parole ». À l’occasion d’un bilan de « sécurité publique » dressé le 6 septembre, Gérard Collomb avait insisté sur les moyens déployés au sein de son administration pour prendre en compte ce type de criminalité. Le ministère de l’Intérieur a ainsi formé spécifiquement ses effectifs au recueil des plaintes et installé des espaces dédiés animés par 74 psychologues et 261 intervenants sociaux. Sur les 225.000 femmes victimes de violences en 2016, moins d’une sur cinq avait déposé plainte.

Lire l’article entier sur lefigaro.fr

 

Marion Sigaut, une historienne pas comme les autres,
sur Kontre Kulture

Triangulation du féminisme
sur Kontre Kulture

 

Les victoires du féminisme, sur E&R :

 






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51 Commentaires

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  • #2056163

    Les personnes qui insistent a vouloir absolument etre reconnue et a s’identifier a un groupe, une catégorie ou minorité sont des personnes dont la formation de leur valeur et identité ont été perturbées dans leur enfance et adolescence. Ces personnes ne savent pas qui elles sont vraiment au plus pronfond d’elles et cherchent des solutions extérieures pour panser leur mal-être intérieur. Et ce genre de névrose ne va aller qu’en augmentant vu ce qu’on inflige à la jeunesse. Cette nouvelle génération aura besoin de pilliers solides pour se sortir de ce carcan, a nous de faire notre travail de solidification intérieure pour l’assister.

     

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  • #2056164

    Il n’est pas loin le temps où on va renommer les rois avec des noms de femmes, un genre de transsexualisme posthume... Ne rigolez pas malheureux, ça pourrait bien vraiment arriver !

     

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  • #2056227
    Le 5 octobre 2018 à 20:06 par Chose Binne
    440 historiennes dénoncent "la domination masculine" dans leur (...)

    La fille de mon patron a étudiée comme moi en histoire mais elle ne sait toujours pas comment lire le code du travail. Pas la première fois que je vois de tels raccourcis féminins.

     

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  • #2056407
    Le 6 octobre 2018 à 03:32 par Woo-Tong Pyjama
    440 historiennes dénoncent "la domination masculine" dans leur (...)

    Je peux témoigner de mon passage en fac d’histoire :
    2002, fin de DEA (50%-50% répartition), début du doctorat, 4 doctorants chez ma directrice de thèse, dont c’est la 1ere promotion. Elle choisit ses candidats sur entretien/dossier/travaux antérieurs : 4 mâles. L’année d’après, ma directrice de thèse (de droite modérée, et pas féministe du tout) féminise étrangement son groupe de doctorants. Elle m’explique que l’on l’y a "invitée", et en quelques années, elle fait monter la proportion de filles, qui deviennent majoritaires (6 garçons, 8-10 filles, puis 15).
    En 6 ans, tous les garçons ont fini leur thèse, pas une seule fille ne l’a menée à bien. Pas mal de filles craquent et abandonnent, certaines "disparaissent" littéralement dans la nature, ne donnent plus signe de vie. Elles passent dans la vie active, et finissent dans l’enseignement secondaire.
    En 10 ans, d’après ce que m’a raconté ma directrice, 3/4 de "ses" thèses soutenues l’ont été par des garçons, alors qu’ils ne représentent qu’1/3 de son écurie. Elle stressait parce qu’on lui demandait des comptes : quand sa première fille allait soutenir, enfin ?!
    Sur un exercice aussi ingrat que l’écriture d’une thèse d’histoire (1000-1500 pages sur 4+++ années), il faut un mental particulier, une aptitude à la violence sur soi-même, à encaisser le stress et la fatigue psychique, à s’infliger une sorte de flétrissement bien peu naturel : probablement que l’exercice de la thèse est un travail sexiste, et une abomination pour l’être féminin.
    Ce sera probablement réformé un jour.
    Pendant ma thèse et puis mon post-doctorat, j’ai aussi pu constater la féminisation progressive du corps enseignant et administratif (les nouvelles recrues sont quasiment toujours femelles). Et bien sûr, les sujets d’étude susceptibles de recevoir des allocations de recherche sont également devenues de plus en plus genderisés.

     

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    • #2056574

      ’exercice de la thèse est un travail sexiste, et une abomination pour l’être féminin.
      Ce sera probablement réformé un jour



      Je crains,hélas aussi que la thèse ne finisse par rejoindre les fameux "80% de bacheliers" obtenu grâce au nivellement par le bas pour complaire à l’idéologie dominante féministe LGBT qui se permet de toucher et dégrader tout ce qui ne la regarde pas...Le sens de l’Histoire vers l’idiocratie généralisée,quoi !

       
  • #2056461

    A 2:33 "Le manterrupting"

    Et en français Madame Clinton ?

     

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  • #2056492
    Le 6 octobre 2018 à 10:32 par Combattre l’Empire
    440 historiennes dénoncent "la domination masculine" dans leur (...)

    Elles feraient mieux de dénoncer la domination du mensonge, ça nous rendrait service.

     

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  • #2056531
    Le 6 octobre 2018 à 11:49 par VaeVictis80
    440 historiennes dénoncent "la domination masculine" dans leur (...)

    Quand les historiens ne retiennent pas les leçons de l’histoire...

     

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  • #2056554
    Le 6 octobre 2018 à 12:31 par argiotalus
    440 historiennes dénoncent "la domination masculine" dans leur (...)

    si les historiens sont sexués , l’histoire ne l’est pas !

     

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  • #2057584
    Le 7 octobre 2018 à 22:45 par Gérard Verner
    440 historiennes dénoncent "la domination masculine" dans leur (...)

    "Super pepette" se trompe quand elle dit que "dans les transports en commun, etc, les femmes, etc, 100% victimes de harcèlement ou d’agression sexuelle."

    Bon alors mensonge direct : cette étude ne concerne que le 93 et n’a été réalisée que sur un axe RER bien précis.

    Dire ça, c’est donc pleinement mentir aux Français. Comment voulez-vous qu’on accorde le moindre crédit à ce qui suit ?...

     

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  • #2057678

    90% des SDF sont des hommes,
    97% des humains morts à la guerre sont des hommes,
    80% des suicides sont des hommes,
    94% des accidents / morts au travail sont des hommes.
    52.5 % des chômeurs sont des hommes
    85 % des additions sont réglé par les hommes lors du premier rdv
    80.3 % des alcooliques sont des hommes
    95.4 % des éboueurs sont des hommes
    96.4% des détenus sont des hommes
    8% des hommes obtiennent la garde des enfants après un divorce
    65.5% des tribunaux sont présidé par des femmes
    62 % des victimes d’homicide sont des hommes
    92.1 % du chiffre d’affaire des sites de rencontre est généré par les hommes

    et après les femmes nous disent que leur vie est dur...

     

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    • #2057781
      Le Octobre 2018 à 12:04 par La fin des haricots
      440 historiennes dénoncent "la domination masculine" dans leur (...)

      C’est ce que l’on essaie de leur faire croire, et ça marche tellement bien qu’elles le croient vraiment. Elles n’ont jamais été aussi protégées qu’aujourd’hui, tellement que la plupart se sentent pousser des ailes. Mais comme m’a dit un ami corse à l’époque, un jour viendra le retour de bâton et ce jour là leurs ailes seront coupées en plein vol, dure sera la chute.

       
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