Depuis l’offensive humanitaire dite au plomb durci, destinée à éduquer au « vivre ensemble », les populations palestiniennes rétives, on n’avait pas vu pareille opération aérienne à Gaza. Aussitôt les terroristes palestiniens ivres de sang n’ont pas mâché leur Roquette.
Résultats : côté israélien des dizaines de crises de nerf. Côté terroriste une petite vingtaine de tués palestiniens, des civils essentiellement, dont quelques enfants.
Mais tout le monde sait depuis l’hiver 2009-2010 que les mères palestiniennes « mettent exprès leurs enfants en avant », pour jouer les martyres après. Plus personne n’est dupe.
Et certainement pas Susan Rice, ambassadrice ou ambassadeusE, à moins que ce ne soit embassadante, des States auprès des Nations-Unies. Après la délicieuse Condoleeza de Bush, c’est Susan leur nouvelle Rice élue.
Cette personne, en tant que Femme, en tant que Noire, possède un sens humanitaire doublement développé : elle est aussi la créature de la Mègère Albright, c’est vous dire.
Or donc, madame Rice a exprimé fermement que ce qui la défrise c’est la roquette. « Nous condamnons les tirs terroristes de roquettes depuis Gaza sur les villes israéliennes et nous appelons les deux parties à restaurer le calme. »
Et les civils, et les enfants palestiniens ?
Pas un mot. Pas un seul mot.
Il y a peu, on feignait encore, hypocritement, de mettre bourreaux et victimes dans le même sac ; on condamnait « les violences » des deux bords. Depuis l’élection du Polichinelle de la maison blanche, on a franchi un nouveau cap dans la soumission.
Comme disait Ramatoullaye Yade en 2008, quand l’Obama fut intronisé : « Ce qui s’est passé là, c’est une chute du mur de Berlin fois dix ! »
Au moins. Et aussi de celui des lamentations sur le sort des victimes palestiniennes visiblement.
félix niesche