Régis Debray fait partie de ces intellectuels de gauche dont la médiasphère décrète qu’ils ont glissé à droite, voire à l’extrême droite.
Pourtant, dans le discours de Debray face à Patrick Liste Noire Cohen (PLNC), rien de révolutionnairement bouleversant, et encore moins de fasciste, rien que du bon sens. Combien de temps la gauche culturelle au pouvoir va-t-elle ignorer le bon sens ? Dès qu’un penseur s’échappe du carré autorisé, il est marqué à vie et se fait tirer dessus.
Cette semaine, après Onfray et ses mots pas très doux glissés à l’oreille de BHL, c’est au tour de Debray de prendre une petite raclée généralisée. Ce qui devient, somme toute banal. On attend avec impatience le moment où il ne restera plus que le carré des grognards sionistes, entre BHL, Attali, et autres courroies de transmission du netanyahisme, bouclés dans leur mirador paranoïaque, à tirer sur tout ce qui bouge et surtout, sur tout ce qui pense.
L’image n’est pas anodine, on en est là : dans le petit camp français des idées, les miradors sionistes surveillent la moindre parole déviante, et les larbins du lobby balayent en permanence le terrain de leurs projecteurs inquisiteurs. Un jour, on fera la liste des punis et des bannis, et on se rendra compte qu’ils sont devenus la majorité. Et là, ça deviendra intéressant. Mais ça l’est déjà, quand on écoute les cinq morceaux choisis (par France Inter) de la matinale du 7 octobre....
Petite question à PLNC, en passant : à partir de quand peut-on dire qu’un cerveau est malade, et ne l’est plus ? Et quand on a affaire à un cerveau malade, c’est quoi le remède ? Le cohénisme ?
Debray répond aux questions :
Morceau numéro un, laïcité et islam :
Patriote, mais pas nationaliste :
La fierté d’être français :
Les politiques ne font plus leur travail :
L’intellectuel ne travaille pas assez :