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Piotr Tolstoï : "Nous ne voulons pas le territoire ukrainien, mais la sécurité de la Russie"

Les Russes ont beaucoup de patience, mais pas autant que ne le pensent certains leaders européens.

 

 

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15 Commentaires

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  • #3399922

    Quelle élégance, quelle droiture, quelle virilité… je pourrais continuer comme ça longtemps.
    La Russie est vraiment un modèle pour qui cherche le chemin de la dignité.

     

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  • #3399953

    Et il ne veut pas rencontrer Macron, mais Brigitte, oui.

     

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  • La voix de la sagesse.

     

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  • #3400075

    "Les Russes ont beaucoup de patience, mais pas autant que ne le pensent certains leaders européens. "

    Patience ou impuissance ? Combien faudra-t-il de morts (Russes) avant que la Russie ne règle définitivement ce "problème" ? Si la patience est sans conteste une vertu, en abuser peut aussi nuire définitivement à un objectif annoncé.
    Cqfd.

     

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  • #3400094

    Nous ne voulons pas de territoire ukrainien :

    = Les territoires ukrainiens ne suffiront pas à notre sécurité.
    = Nous devons mettre toujours plus de territoire entre nous et l’OTAN/Occident
    = sauf capitulation sans condition de l’OTAN /Occident nous irons toujours plus à l’Ouest
    = Celle-ci n’arrivera jamais et si, formellment elle advient, ce sera encore un bobard-piège de l’Occident/OTAN, constante dans ses mensonges depuis 2014
    = nous irons donc à Brest : heureusement c’est pas loin et on connait le chemin

    Moralité : la Russie est notre libérateur.

     

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  • Rendez à César ce qui appartient à Jules...

     

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  • #3400278

    Dommage qu’il n’ait personne en face pour lui apporter la contradiction. En toute démocrassie.
    Ils fabriquent du bon matériel (et pas seulement militaire ; je peux en témoigner), c’est indéniable.
    Mais question commandement, je ne leur confierais pas la prise de Gao. On est loin de Kadyrov ou de Wagner.

     

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  • #3400311
    Le 29 juillet à 12:30 par ProtégeonslaPalestine
    Piotr Tolstoï : "Nous ne voulons pas le territoire ukrainien, mais la (...)

    - Piotr Tolstoï nous rappelle que l’Opération Spéciale n’est pas une guerre de conquête, mais un combat pour le rétablissement du droit international.

    - Elle cessera sitôt que L’OTANazie agira en agent historique raisonnable : les hommes d’Ukraine ne sont pas des petits Playmobils nés pour crever pour les intérêts de Blackrock et la Russie est une nation-continent irréductiblement libre.

    - Le Deep State américain ne veut rien entendre ? Le massacre continuera, jusqu’à ce que la légendaire patience russe ne soit plus reconduite et que Poutine, ou son successeur, change d’avis et vise la prise de tout le territoire ukrainien.

     

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  • #3400342

    Qui sont les acteurs les plus capables d’assurer la sécurité du peuple russe ?
    Vladimir Poutine et son oligarchie, ou plutôt la France alliée à Kiev et donc à l’Ukraine ? La France et également celles et ceux qui soutiennent l’honnêteté ukrainienne.

     

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  • #3400795

    "Nous ne voulons pas du territoire de l’Ukraine". Pierre Ier et Catherine II ont sans doute dit la même chose, lors des guerres contre la Suède et l’empire ottoman. Il s’agissait encore et toujours de préserver la souveraineté de la Moscovie contre les appétits rapaces des envahisseurs ivres de conquête à l’Ets, tandis que la Russie cherchait désespérément à s’étendre vers l’Europe. La Moscovie, en tant que principauté ouralique, n’aurait jamais eu aucun rôle historique à jouer, si elle ne s’était pas fixée comme ambition tardive de devenir une puissance européenne, pour s’insérer dans le concert des nations civilisées en tant que "troisième Rome". En ce sens, les pays scandinaves et les Ottomans ont joué leur rôle de contradiction dialectique dans une recherche passionnée de réaliser un idéal christique sur le continent eurasiatique, même si cette idée n’avait qu’un lointain rapport avec les principes évangéliques, étant donné la structure du pouvoir en Russie et la domination d’une classe possédante sur des armées d’esclaves, tout à tour paysans ou soldats. La Russie est donc un messianisme devenu fou. L’Ukraine en a fait les frais, en tant que territoire attitré de confrontations entre l’Est et l’Ouest ou entre le Nord et le Sud, sans qu’un gagnant émerge clairement, sauf dans la confrontation dialectique entre le Bien et le Mal depuis le XXe siècle, où la Russie représente le Méchant appelé à être sacrifié pour que la cause du Bien triomphe dans le monde. It faut reconnaître qu’ils n’ont aucun mal à passer pour les méchants, vu que le respect de la vie humaine n’a jamais été le fort des dirigeants russes, trop enclins à considérer leur administrés comme des "consommables". Pour en revenir à l’Ukraine en tant que marche de l’Europe aux portes de la Moscovie, elle a une carte à jouer dans la défense de la civilisation contre la barbarie asiatique, même si l’Europe de Bruxelles représente une dystopie totalitaire dont les Ukrainiens n’ont pas encore totalement conscience. Il faut laisser du temps au temps : ils finiront tôt ou tard par comprendre l’ambivalence de l’engagement européen qui est plus servi par des intérêts économiques, que par la raison, en tant qu’elle porte une vision civilisationnelle digne des traditions slaves. Au temps des hommes machines, le drone sert de chair à canon à la place des survivants ukrainiens, ce qui prouve déjà une certaine adaptabilité du commandement ukrainien à la nouvelle donne démographique et technologique.

     

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