Les miliciens racistes de la LDJ paniquent. L’étau se resserre sur ce groupuscule longtemps resté impuni.
La Ligue de défense juive, groupuscule d’extrême droite violent et raciste, est sous les feux des projecteurs. Cette médiatisation embarrasse nombre de responsables communautaires et de politiques communautaristes.
Fausse attaque de la synagogue, l’arroseur arrosé
Avatar avec le CRIF de l’importation du conflit israélo-palestinien en France, la milice suprémaciste voyait d’un mauvais oeil l’élan solidaire en faveur de Gaza en pleine agression israélienne.
Elle tenta alors dès la première manifestation parisienne de nuire à cette mobilisation en provoquant des manifestants en marge du rassemblement, puis en faisant croire, non sans complicité, à une attaque de la synagogue de la Roquette.
La publication sur Internet d’images démontrant l’implication directe de la LDJ, couverte par les forces de l’ordre, ruina cette fausse rumeur. En réfutant sur i-Télé toute attaque, Serge Benhaïm, président de la synagogue de La Roquette, asséna le coup de grâce.