« "La question n’est pas de fermer, ou non, les écoles, mais comment on les maintient ouvertes", déclare-t-il. Pour lui, le déploiement à grande échelle dans les établissements d’autotests, qui permettraient aux élèves de se dépister eux-mêmes de façon suivie et répétée, est indispensable. "Les enfants qui sont à l’école et qui pourraient être testés seront moins dangereux que dans la nature ou enfermés chez eux", lance-t-il. Et alors que certains parents se refusent à ce que leurs enfants soient testés, Nicolas Dupont-Aignan propose une solution radicale : "Je pense qu’il faut interdire l’accès à l’école aux enfants dont les parents refusent qu’ils soient testés". » (LCI)
Nous avons eu Mélenchon et ses Insoumis masqués en masse, lors de leur université d’été 2020, insoumis, masqués, ça ne vous fait pas tilt ? ; on a eu Marine Le Pen qui s’est déclarée pour la vaccination de tous les Français, sans parler d’obligation, bien sûr ; et voici qu’on a Dupont-Aignan qui dérape gravement sur l’école et les enfants.
Alors comme ça, Monsieur @dupontaignan veut INTERDIRE l'accès à l'école aux enfants dont les parents refusent qu'ils soient testés !!! NON MAIS ARRÊTEZ VOTRE DELIRE DE CONTRÔLE SANITAIRE !!! MERDE !!!
(voir à 4'35) @ADv_in21 @ComploTisss https://t.co/ty0UsA3q6B— JDLM (@NicolasPichot6) March 26, 2021
Politique sanitaire : après Marine et Mélenchon, au tour de Dupont-Aignan de se soumettre
On peut dire qu’en trois coups de cuillère à pot, les trois leaders de l’opposition qui ont totalisé près de 50 % à au 1er tour de l’élection présidentielle 2017, soit 4,7 % des suffrages exprimés pour NDA, 21,3 pour Marine et 19,58 pour Méluche) ont perdu une bonne partie de leur crédit oppositionnel.
Ne nous demandez pas pourquoi. Mais se pourrait-il que l’arrêt des poursuites ou de la pression mise par la Macronie, via la justice, sur les finances du RN et de LFI soit à l’origine de cet alignement sur la politique sanitaire gouvernementale ? On ne voit effectivement plus d’opposants véritables à l’horizon. Que messieurs Asselineau et Lassalle nous pardonnent, mais ils pèsent pour l’instant assez peu dans le jeu politique par rapport aux ténors précités.
Aujourd’hui, tous sont plus ou moins d’accord avec la répression sanitaire, et en dénoncer les conséquences semble inconséquent. Certes, NDA a fustigé les protocoles choisis par le gouvernement, sous l’influence du Big Pharma, mais en arriver à conditionner l’entrée dans les classes à des tests sur les enfants, c’est tout bonnement incompréhensible.
Cependant, quand on regarde les titres de la presse mainstream, qui fonctionne comme un chœur du pouvoir profond, on comprend que c’est l’étape suivante. Le Parisien et Libé, dans l’ordre, talonnés par Paris Match et Ouest-France, sont en première ligne pour collaborer avec l’Occupant.
Comme de plus en plus de Français vont finir par comprendre qu’on leur ment et qu’on leur injecte des choses étranges dans le corps, nos trois amis de l’opposition désormais contrôlée, ou auto-contrôlée, seront éjectés de la sphère politique sérieuse. Ils deviendront des acteurs, dans le sens artistique du terme. Car s’ils veulent tous les trois prendre le pouvoir, il ne s’agit que du pouvoir visible, pas du pouvoir profond, le seul qui vaille.
Le rétropédalage de NDA
Ce matin, pour éviter la fermeture des écoles, je proposais chez LCI de généraliser les tests salivaires. J’ai reçu depuis de nombreux témoignages, et notamment cette lettre poignante d’une professeure, qui m’ont fait regretter cette déclaration. Je tiens à vous la partager :
— N. Dupont-Aignan (@dupontaignan) March 26, 2021
Voici cette lettre, reconstituée à partie de 23 tweets.
Grâce au succès des tests salivaires, la prochaine étape sera sans aucun doute la vaccination des enfants à l’école. Dire non aux tests, c’est dire non à toutes ces restrictions absolument aberrantes que nous subissons depuis un an.
Dans quelques jours, l’infirmière scolaire devra faire passer des tests dans mon école. En tant qu’enseignante, je m’inquiète à ce sujet et je souhaitais partager avec vous le fond de ma pensée.
Professeur des écoles depuis bientôt une quinzaine d’années, j’ai d’abord pu observer les effets catastrophiques du masque chez les enfants depuis son instauration en novembre 2020. Les enfants sont très fatigués, ont beaucoup de mal à se concentrer en classe, m’avouent avoir soit des difficultés à bien dormir, soit avoir un gros besoin de sommeil.
J’ai aussi remarqué que certains étaient très angoissés à l’idée de pouvoir attraper le virus. Nul doute que le port du masque chez les enfants aura des répercussions psychologiques chez certains d’entre eux. Pourquoi est-ce que je fais le lien avec les tests salivaires ?
Le port du masque était déjà quelque chose de très compliqué à vivre pour eux, les tests salivaires seront une nouvelle étape beaucoup plus difficile à surmonter. Je vous vois déjà sourire en vous disant « En quoi cracher dans un gobelet serait traumatisant pour des enfants ? ».
Tout d’abord, il faut savoir que si l’enfant est déclaré positif, il devra passer un test PCR pour confirmer le résultat. Mais une chose me semble bien plus importante encore. Jusqu’à présent, les enfants de moins de 12 ans n’étaient, dans leur immense majorité, que cas contacts.
Un parent ou l’aîné de la fratrie avait pu être infecté par le virus et le ramener à la maison, MAIS les jeunes enfants n’étaient pas les responsables directs de la propagation. Avec les tests salivaires, alors qu’ils seront en parfaite santé, sans aucun signe apparent d’une quelconque maladie, les enfants deviendront directement responsables. Pour certains enfants, qui auront compris que ce n’est qu’un virus parmi tant d’autres ou qui auront des parents compréhensifs, cela se passera certainement bien.
Mais pour d’autres enfants qui sont déjà extrêmement angoissés à l’idée de l’attraper et de le transmettre, ou qui ont une pression énorme de la part de leur famille de ne surtout pas rapporter le virus à la maison (parce que papa ou maman ou mamie est très fragile), avez-vous une seule seconde pensé à ces enfants qui vont être traumatisés quand ils vont connaître leur résultat s’il est positif ? Un de mes élèves de 7 ans m’a avoué un jour « De toute façon, je sais que je vais mourir du COVID ».
Pensez-vous que s’il est testé positif, il va bien le vivre ? Une autre élève de 8 ans qui était contrariée qu’on ne veuille pas jouer avec elle en récréation a sorti récemment « J’en ai marre, je vais me suicider ». J’ai eu le culot de dire à mes élèves en rentrant en classe qu’ils ne savaient pas ce que cela voulait dire. Et bien détrompez-vous, ils m’ont donné au moins 5 façons différentes de se suicider en quelques instants, à même pas 8 ans !! À méditer…
Déjà que certains adultes voient la COVID19 comme Ebola, imaginez un enfant de 4 ou 5 ans… Vous ne réalisez pas comment un enfant peut transformer la réalité, et faire de cette simple situation un immense problème impossible à surmonter. J’espère de tout mon cœur me tromper mais je pense que les conséquences vont être encore une fois, comme pour les masques, dévastatrices pour ces enfants plus sensibles.
Faudra-t-il qu’il arrive un drame pour que les parents ouvrent les yeux sur cette aberration de tester des enfants en pleine santé ? Renseignez-vous sur les troubles pédopsychiatriques qui explosent ces derniers mois en France, ce n’est que le début… Certains diront que les enfants d’aujourd’hui sont des êtres intouchables, qu’en 1940 ils avaient vécu bien pire. Mais à cette époque, ils n’étaient responsables de rien et on leur fichait la paix ! Ils vivaient leur vie d’enfant comme ils le pouvaient malgré la guerre
Aujourd’hui en 2021, on veut les rendre coupables et rejeter sur eux notre responsabilité d’adulte concernant cette situation sanitaire catastrophique dans laquelle nous sommes. Alors que si nous en sommes là, c’est surtout que trop de mauvaises décisions ont été prises, à l’encontre du bien-être de la population. Il est urgent que les parents prennent leurs responsabilités et réfléchissent aux conséquences de ces tests. Accepter les tests salivaires, c’est accepter d’augmenter le taux d’incidence et de continuer à voir nos libertés bafouées.
C’est aussi accepter de rendre responsable son propre enfant de la propagation du virus alors que c’est à nous, les adultes, de les protéger de tout cela. Il faut aussi avoir conscience que c’est un moyen pour le gouvernement de vérifier l’approbation de la population concernant les mesures restrictives. Grâce au succès des tests salivaires, la prochaine étape sera sans aucun doute la vaccination des enfants à l’école.
Dire non aux tests, c’est dire non à toutes ces restrictions absolument aberrantes que nous subissons depuis un an et qui n’ont aucun effet visible sur l’épidémie. Les enfants sont probablement porteurs, j’en ai d’ailleurs fait les frais l’année dernière avec ma fille au début du premier confinement. Mais elle avait des symptômes (fièvre et toux) et j’étais en contact avec elle 24h/24.
Laissons tranquille les asymptomatiques, renforçons notre système immunitaire, protégeons et prenons soin des personnes âgées et vulnérables, arrêtons de supprimer des lits mais donnons des moyens aux hôpitaux. Et surtout, laissons nos enfants vivre en dehors de toute cette folie.
Une enseignante anonyme
Une lettre forte et vraie, mais pour NDA, le mal est fait :
Le parti de Dupont-Aignan à changé de nom , maintenant c'est "A Genoux La France". Après avoir obligé les enfants porter des masques pathogènes il veut continuer la maltraitance avec les tests PCR bidons qui sont faux à 90%. Young Leader un jour Young Leader toujours !
— Benoit Philippe (@BenoitPhilipp12) March 26, 2021
Le 1er mars 2021, le ministre Blanquer lance la campagne de tests salivaires dans les écoles.