Pourquoi ne pas mettre la nationalité française dans ces petits canards en plastique jaune que l’on pêche lors des fêtes foraines ?
Ce serait moins risqué pour les bébés.

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Grotesque !
Un gamin de 4 ans tombe dans le vide du 6e, fait une chute verticale de 6 mètres à 20 de hauteur et se rattrape miraculeusement à la barre du 4e !
Ensuite il tient dans le vide en attendant les secours ?
Même pas besoin de demander si il a des contusions, il devrait être ne morceaux 20 m plus bas.
Même pour un athlète en barres parallèles ce serait un exploit ! Alors un gamin qui sait à peine marcher...
Je ne vois même pas comment il aurait pu enjamber la garde.
Le barbu sur la terrasse qui n’est pas capable de l’aider ?! Il faut attendre l’arrivée du "bon migrant" ?
Et le bon migrant escalade au lieu de prendre l’escalier ?! Un show spectaculaire pour le monde entier.
Tout ce que je vois c’est un homme escalader. Après, entre hologramme et mannequin, l’illusionnisme me semble envisageable.
Ensuite le voisin interviewé n’est pas celui de la terrasse. Ce n’est pas sans me rappeler le faux couple Turinge de l’affaire du Rainbow Warrior.
Le nom du gamin ? Au moins son prénom !
Pas de photo du héro avec le sauvé ?!
Ou se trouvait le héro avant de grimper ? Comment à t’il passé la grille de la rue pour accéder au mur ? Comment le gamin a enjambé la garde ?
Tout cela est du cinéma, et du mauvais cinéma.
Ce n’est pas la première fois qu’on nous enfumera avec de l’ingénierie sociale pour nous faire passer le mythe "du bon migrant" dans une Europe en crise qui commence à les rejeter.

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Dans le quartier, personne n’a vu le gamin tomber. Un homme détonnant dans cet environnement (il est blanc, entre 40 et 50 ans) qui dit être tout le temps dans cette rue, affirme avoir vu Gassama grimper, rien d’autre.
L’immeuble d’où les enfants s’envolent semble appartenir à l’Etat ou à la Ville de Paris (HLM) et héberger des fonctionnaires pour des séjours temporaires. L’organisation en étages n’est pas bien claire, un entresol pouvant être compté ou non comme étage. Cet immeuble est très bien sécurisé, proche d’une école maternelle et d’une administration.
Le grillage des balcons est extrêmement serré. Difficile d’y glisser un pied, mais il peut y avoir des accroches en relief.
L’enfant du balcon peut très bien être un de ces automates utilisés dans les films, ou un nain cascadeur. On ne voit jamais son profil, qui devrait être tourné vers l’adulte qui serait en train de le raisonner ("lâche ta main, avance vers moi petit à petit, comme si tu faisais un très difficile exercice d’entraînement chez les pompiers..."). Ce voisin pourrait passer par dessus la paroi de séparation entre les balcons, laisser sa femme tenter de calmer et saisir l’enfant. Il a la tête qui change beaucoup.
On ne voit pas comment le petit superman lâcherait une main sur injonction d’un adulte éloigné (le voisin va le ramener peu à peu vers lui, comme avec une corde), alors qu’il est déjà très angoissant et douloureux pour un petit d’être accroché par les deux mains plus de quelques secondes. Il y a comme un carré en relief sous le t-shirt de l’enfant.
On ne voit pas comment l’ongle du pied de l’enfant, qui a des chaussures en bon état, pourrait être arraché.
La mère en vacances au loin ne rapplique pas illico, bouleversée, mais excuse le père un peu tête en l’air mais les hommes c’est comme ça, pauvres petites bêtes, et dit merci, sympa, je poursuis mes vacances ! à Gassama.
Cette prestation s’adresse à des gens émotionnels sans cervelle, avec des complexes de QI. Ils veulent y croire et vous gifleront plutôt que voir les faits et vous écouter. Le scénario n’a pas été très travaillé.
Gaston Lagaffe avait déjà fait le coup : son effigie en latex pendue au balcon, et les voisins dans la rue, le nez en l’air, admiratifs : mais comment fait ce Gaston pour tenir aussi longtemps ?

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Quelqu’un peut-il m’expliquer la scène, telle qu’on la voit sur les photos ci-dessus (je n’ai pas la télé) ?
En effet, je ne comprends pas pourquoi un homme doit escalader trois étages (sous l’œil d’une caméra...), alors qu’un autre homme se trouve à 1m 50 de l’enfant, et qu’il n’a qu’à enjamber la balustrade séparant les balcons pour tendre le main au garçon. La balustrade est moins haute que la porte fenêtre, donc doit mesurer à tout casser 1m80 (cela se voit parfaitement à l’étage du bas, situé sous les pieds du Malien) : n’importe quelle chaise posée à côté permet de la franchir...

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Le héros clandestin

La mort telle un vautour attendait patiemment
La chute de l’enfant laissé sans surveillance ;
Sa chance était si nulle au vu de la distance
Séparant le balcon du trottoir inquiétant.

À vue d’œil, le petit allait perdre ses forces,
Agrippé par deux doigts au rebord du balcon,
Le corps dans le vide dans une position
Extrême qui vidait le peu d’air dans son torse.

Déjà quelques passants, armés de leur portable
Suivaient le spectacle et filmaient l’évènement
Pendant qu’apparaissait en noir sur leur écran
L’ultime seconde d’une mort très probable.

C’est alors que l’on vit, semblable à Spiderman,
Un homme s’accrochant aux parois des murs lisses,
S’élancer vers le môme et tenter une esquisse
Tout d’abord sans succès, puis agripper l’enfant.

La foule en contre-bas a pu pousser un ouf ;
Oui, la mort est vaincue ! Et voici que la France
Toute entière découvre ébahie et en transe,
Que le héros du jour est immigré de souche.

Un clandestin, un noir, comme une anomalie,
Un paumé du Mali familier des errances,
Un vrai miraculé des dunes du désert,
Enfermé en Libye, rescapé de la mer.

Petit fils peut-être des fameux tirailleurs
Qui avaient combattu pour libérer la France,
Revenu en ces lieux pour y tenter sa chance,
Trouver quelques euros et un peu de bonheur.

L’Histoire joue des tours quand elle suit son cours ;
La pierre rejetée devient la pierre d’angle ;
Hamoudou Gassama, un héros qui étrangle
De par sa bravoure les préjugés du jour.

Sans demande d’audience, Macron le reçoit !
Il ne porte qu’un jean puisqu’il n’a rien d’autre,
Si ce n’est le sourire, à la façon des nôtres
Quand ils comparaissent innocents chez le roi.

Le héros a gagné haut-les-mains ses papiers,
Et peut-être un logis en plus d’une pitance ;
Il aura l’occasion de montrer à la France
Qu’on peut compter sur lui dans l’habit d’un pompier.

Joseph Kokou Koffigoh
Poème inédit
Lomé le 29 mai 2018

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Ce petit garçon est un yamakasi, la gravité est relative, trop de questionnement Monsieur Bercoff !!!

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Je veux bien applaudir à l’acte « rédempteur » de ce clandestin. Mais pas au point de dire benoîtement amen à cette histoire charliesque. L’instrumentalisation médiatico-politique autour de ce Mamourdoux ne vise-t-elle pas à changer (un tant soit peu) le regard rétif des français vis-à-vis des dits migrants ? De voir en eux nos sauveurs…

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Cette meuf dégoûte, elle souffle le chaud et le froid et dit tout et son contraire. Un numéro d’équilibriste qui lui vaudra une sacré chute.

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Avis à ceux qui crachent sur les migrants à longueur de journée.

Par ici comme elles oeuvrent dès soleil couchant, malgré les différentes interdictions, on dira « Avis à ceux qui crachent DANS les migrantes à longueur de NUIT ». Et pas une aux pompiers de Paris : et pourtant !

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ahahaha Mamoudou Gassama a refusé de participer à l’émission de Ruquier "on n’est pas couché", Catherine Barma dans tous ses états !!!!

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