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Le président de la fédération espagnole de foot sur la sellette pour un baiser de victoire

 

Nous sommes le 20 août 2023 en début d’après-midi à Sidney, l’équipe féminine espagnole vient de remporter la finale de la Coupe du monde. Victoire méritée, premier titre pour ces footballeuses après celui des hommes en 2010. C’est alors que le drame survient.

 

En pleine euphorie, le président de la FEF embrasse sur la bouche, « de force » !, la capitaine de l’équipe. Le monde entier, soumis à l’injonction MeToo, est sous le choc. C’est presque un viol en direct. Les médias s’emparent de l’affaire.

 

 

Selon les observateurs, qui ont regardé la scène « ultrachoquante » plusieurs fois, il n’y a pas eu pénétration. On parle bien sûr de la langue. Il s’agit donc d’un baiser à la russe, que même les hommes pratiquent, là-bas. C’est une forme de joie, de récompense, d’exaltation, rien de sexuel. Ce sont donc les médias mainstream tordus qui y ont vu, et injecté, une dimension sexuelle, pour en faire un délit, presque un viol buccal.

 

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La footballeuse lesbienne américaine Rapinoe aurait sûrement mordu Rubiales

 

La joie transmissible du président de la FEF devenant sous la pression médiatique une agression sexuelle, la FIFA, jamais en reste d’un progressisme à la con, vient d’ouvrir une procédure disciplinaire contre Luis Rubiales. On écoute le communiqué de l’organisation mondialiste championne de la corruption :

« La Commission de discipline de la Fifa a informé ce jour M. Luis Rubiales, président de la Fédération espagnole de football (RFEF), qu’une procédure disciplinaire a été ouverte à son encontre pour les faits qui se sont déroulés le 20 août 2023, au terme de la finale de la Coupe du monde féminine. Ces faits pourraient constituer une violation des alinéas 1 et 2 de l’article 13 du Code disciplinaire de la Fifa. »

Luis s’est rendu coupable d’une « infraction aux règles de base de la décence », ou d’un « comportement portant atteinte à l’image du football ou de la Fifa », poursuit l’entité orwellienne qui s’enrichit sur le dos des fédérations nationales grâce aux droits de diffusions des compétitions internationales.

Chez nous, le Luis Rubiales national s’appelle Pierre Ménès, le journaliste qui a longtemps défrayé la chronique politico-sexuelle : le pilier du Canal Football Club a été viré de la chaîne Canal+, l’émission a périclité, le vieux Blanc de plus de 50 ans (et 150 kilos) a été remplacé par une séductrice aux dents longues, qui a été ensuite embauchée par M6, et qui a disparu, tant ses analyses footballistiques sont confondantes de nullité.

Pierrot avait été puni, entre autres, pour avoir, lors de la 100e de l’émission, embrassé sur la bouche la chroniqueuse Isabelle Moreau. C’est sûr que c’était pas Brad Pitt.

 

 

Luis a fini par s’excuser, tout en expliquant qu’il s’agissait d’un « geste affectueux ». Jennifer Hermoso, qui a déclaré sur Instagram que le baiser ne lui avait « pas plu », est, selon nos informations, toujours en vie.

Pour clore cette tempête féministe dans un verre d’eau, la mère de Jennifer est intervenue pour éteindre la polémique en minimisant l’importance de geste de Rubiales :

« Il faut voir qu’elles sont championnes du monde, le reste n’est pas important. »

Si le delirium tremens progressiste continue sur cette lancée, avec la criminalisation de tout geste hétérosexuel, bientôt, seul le baiser homosexuel sera autorisé. Lesbien, cela va sans dire.

 

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