Non content d’avoir détruit la florissante congrégation des Franciscains de l’Immaculée, le sans culotte Volpi, nommé par le pape François, s’acharne à en persécuter individuellement les membres.
Accusés de « crypto-lefebvrisme » pour avoir commencé à émettre de sérieuses réserves au sujet du concile Vatican II, les Franciscains de l’Immaculée se sont vu suspendre les ordinations, fermer leurs séminaires ainsi que leurs œuvres apostoliques. Plusieurs de leurs maisons ont été fermées, le supérieur fondateur le père Stefano Maria Manelli déposé et sali.
Mais détruire l’œuvre n’est pas assez pour les hommes de main du pape François : désormais ils poursuivent les membres, les personnes. Présent – et on se demande au nom de quoi – à l’assemblée des évêques italiens qui s’est tenue à Assise, le commissaire apostolique Volpi a imposé aux évêques italiens de refuser et de le prévenir de toute demande d’incardination dans un diocèse provenant d’un membre des Franciscains de l’Immaculée. Cet ordre, visiblement voulu par le pape, a été notifié par écrit à chaque évêque par le Secrétaire général de la Conférence épiscopale italienne, Mgr Galantino (cf. en photo principale avec le pape François – NdR).
À Rome, qu’on le sache, on peut promouvoir le divorce, vouloir la communion pour les divorcés remariés et faire la promotion de l’homosexualité. Mais il y a un crime qui est inacceptable : celui de remettre en cause l’orthodoxie du concile Vatican II, crime ultime de « crypto-lefebvrisme ».
Voilà qui, même si le café de Mgr Pozzo est bon, sonne comme un avertissement supplémentaire pour ceux de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie-X qui souhaiteraient se mettre sous le joug du pape François.