En ce neuvième anniversaire du 11 septembre 2001, voici un court-métrage qui « synthétise le débat sur le 11 Septembre depuis 9 ans et dans lequel on voit s’opposer les défenseurs de l’histoire officielle et ceux qui la contestent. 12 questions cruciales sont posées de façon documentée aux défenseurs de l’histoire officielle. » voici le lien
La fumeuse théorie officielle du complot a vraiment perdu la partie.

Car, n’est ce pas, c’est la version officielle qui est une théorie du complot.
Un ahurissant complot à la James Bond, ou le diabolique Docteur No, alias Ben Laden (qui émarge toujours à la CIA), dirige depuis le fond d’une grotte ultra secrète, l’ Axe du Mal.
Cet Axe, comme l’autre avant lui, possède la particularité significative de pouvoir violer impunément toutes les lois de la physique, et de la chimie. Ne conviendrait-il pas alors d’appliquer aux Trois Tours effondrées l’immortelle injonction de monsieur Vidal-Naquet : « Il ne faut pas se demander comment, techniquement, un tel effondrement des Tours a été possible. Il a été possible techniquement puisqu’il a eu lieu.[...] Il n’y a pas, il ne peut pas y avoir de débat sur leur effondrement. »

Mais le viol des lois physiques et thermodynamiques n’est pas la seule faculté de l’organisation criminelle du Docteur Laden Ben : elle est aussi remplie d’extraordinaires antihéros, capables après 2 semaines d’entrainement sur de tout petits avions monomoteurs, d’exploits aériens qui laissent pantelant d’admiration les pilotes de ligne les plus chevronnés, n’en croyant ni leurs yeux, ni leurs oreilles.
Quel dommage que de pareils pilotes, hors pairs, soient décédés dans l’holocauste du fameux Vol 93, cette disparition d’un avion de ligne dans un Trou Noir, d’où nuls débrits ne sortirent jamais.
Sauf, miraculeusement inentamés, les passeports et cartes d’identité, avec leur photo intacte de sales gueules de terroristes, avec en sus un testament rédigé en arabe (ce qui constitue un aveu par Allah), et même un reçu de pressing pour le nettoyage de quatre keffieh.

Ce scénario pour demeurés, avec ces avions sans queue ni ailes, avec ces tours qui s’effondrent d’une pichenette, est une histoire pleine de fumée et de fureur, racontée par des flics et des putains. Elle ne fait plus recette.

Mais les forces réelles qui soutiennent cette fable, ne sont pas vaincues. Les forces qui n’ont pas hésité à assassiner plus de trois mille travailleurs américains, les puissances décidées à renforcer leur domination grâce à ces milliers de cadavres, sont loin d’être terrassées.
Quelle que soit la Mafia à l’origine de cette monstrueuse et spectaculaire mise en scène, elle tient toujours d’une main de plomb durci le Pouvoir.
L’Irak détruite : plus de 200 000 morts, en majorité des civils, la moitié de la population vivant dans une misère sans nom, sans eau, sans électricité, sans médicaments, sans écoles toutes les infrastructures détruites, pillées, l’Afghanistan qui prend le même chemin de malheur et de ruine, le long martyre de la Palestine ; et demain la Syrie, la Libye...
Et pour finir : l’Iran ?
On est certes pas sorti de cette sale « guerre sans fin » promise aux populations du monde, tétanisées par le montage spectaculaire du World Trade Center.
Félix Niesche