@alf31
Les loups, les chiens, les coyotes appartiennent tous au genre Canis et descendent certainement tous d’un même ancêtre commun : un loup. C’est de l’adaptation et de la diversification. Cela n’a rien à voir avec les métamorphoses délirantes que prévoient la théorie de l’évolution. On peut faire des croisements de chiens pour obtenir des races aux caractéristiques différentes, mais on n’obtiendra jamais un chien avec des ailes ou avec des branchies ! Idem pour les animaux d’élevages : on peut faire des races de poule plus ou moins productives, mais on n’obtiendra jamais des poulets avec quatre cuisses.
« Par contre quand on remarque que l’homme a pris un taille et volume crânien depuis 100 ans c’est bien qu’il y a une évolution. »
Non, parce que l’Homme est resté l’Homme. Il y a des hommes grands, nains, noirs, jaunes, etc. mais ce sont tous des Hommes. Donc pas d’évolution.
« Et tu sais aussi vite on a dans nos gènes le code pour faire des nageoire mais ce dernier n’est peut être pas actif comme beaucoup de nos gènes . »
N’importe quoi. C’est la première fois que je lis une ânerie pareille.
« Enfin j’ai pris l’exemple de l’appendice pcq c’est le plus connu et il reste vestigiale pour l’homme ce n’est pas vital même si utile. »
La définition d’un organe vestigial est un organe qui n’a aucune de fonction. Ça n’existe tout simplement pas. On a longtemps pensé que l’appendice était une structure vestigiale parce qu’on n’en connaissait pas la fonction. Et plutôt que de l’avouer, on a préféré maquiller cette ignorance en preuve de la théorie de l’évolution - démarche contraire à l’esprit scientifique.
Le fait que toute structure ait une fonction est d’ailleurs une preuve de l’existence d’un créateur intelligent. Car si les espèces se transformaient en permanence au gré des mutations, toutes les espèces vivantes compteraient une très grande proportion de mutants indéfinissables. On ne pourrait même plus parler d’espèce. Darwin avait admis cette faille, entres autres, dans ses écrits.