À mon avis Seul contre tous serait plutôt un film anti-français, anti FN, et non un film FN (je ne vois pas comment c’est possible puisque tout le cinéma est d’État, gauchiste, mondialiste) qui en projetant sur son héros tous les vices et, pour finir, des pulsions tueuses et incestueuses, donne dans l’inversion accusatoire. Je renvoie aux livres d’Hervé Ryssen.
Vu sa filmographie, Gaspard Noé a l’air de quelqu’un qui a l’esprit troublé, un chouchou de la société du spectacle qui jouit de renvoyer à son public des images dégradantes, comme s’il n’était pas lui-même éclaboussé par sa propre production, comme s’il se sentait au-dessus… Pour une raison ou une autre… 

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Pour aller dans le sens d’A.S. quant aux chaussures rouges :
https://www.nbcnews.com/feature/nbc...
Il y a également une photo ou l’on voit derrière lui un tableau très MK-Ultra.

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"
Vous avez raison mr Soral. C’est vrai qu’il y eut une époque où le journal "libération" jouissait encore d’une certaine considération, surtout quand il s’agissait de promouvoir la pédophilie.

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Noé est un personnage inclassable. Bobo mondialiste crasseux en mission pour ses maîtres ? Franc tireur qui emmerde le monde ?

"Seul Contre Tous" est effectivement oubliable. Faussement célinien. Photographie immonde. Quant au fond : A.S en a suffisamment parlé et avec bon sens chirurgical.

"Irréversible" ? Le seul mérite de ce film est d’avoir provoqué un bordel monstre chez les cols blancs de la croisette. C’était "Yacht People" sans les flingues. Reste que le film est assez bancal. Et ce dans son montage initial inversé comme remis à l’endroit.

Puis vint "Enter The Void" en 2010. Le film que Noé souhaitait réaliser depuis ses débuts. D’où les épisodes précédents. Et là, je dois dire que c’est excellent. D’accord, il laisse encore une place à sa provoc à base de sexe : mais l’essentiel n’est pas là. Si son objectif était de mettre en scène un trip fantastique sur fond d’exploration d’un monde "civilisé" qui sombre dans les abîmes du consumérisme et des plaisirs immédiats dégradants au point de ressembler à un purgatoire à néons ... avec la réincarnation qui finalement permet une seconde chance : c’est une réussite, visuelle comme thématique.

Je n’ai pas suivi la filmographie de Noé après "Enter The Void", qui à mon sens demeure le dernier grand film français à avoir été proposé. J’aurais bien aimé que ce soit "Vaincre Ou Mourir" qui obtienne ce titre. Mais l’absence criminelle du catholicisme ("Braveheart" savait au moins le mettre en avant et se permettait même de tailler en pièce l’infâme église d’Angleterre) comme l’amateurisme du bidule qui ressemble plus à une pub xxl pour reconquête qu’à un réel hommage aux chouans ou à un pamphlet anti république, m’empêche de le lui décerner.

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On nous explique que l’accès à la sexualité entre adultes consentants n’a jamais été aussi facile qu’à notre époque ! Eh bien soit, même si je serais bien incapable de vérifier cette affirmation. A partir de là, la condamnation de la pédocriminalité et même de la pédophilie n’en devrait être que plus unanime et plus sévère encore, sans équivoque et sans nuance. Car oui, cela devient un caprice d’adulte et non une nécessité puisque "rencontrer c’est facile". Mais non, il se trouve encore des gens, toujours les mêmes conformistes, pour tenter de noyer le poisson à ce sujet.

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De toutes façons la gauche, depuis les années 90 a souvent été associée à la pédophilie, l’inceste, l’escroquerie intellectuelle et croulait sous les insultes des anti-gauche....Mais qu’est-ce la gauche et est-elle vraiment la même partout dans le monde ?

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Il y a une base de courroux dans une anthropologie de vengeance devant la frustration d’un orgueil suprématiste. Tu dois souffrir pour réparer l’outrage insupportable fait à l’idole de moi-mème. Là on n’est pas dans le pardon qui transfuse la grâce à partir de sa plénitude, mais dans l’annihilation de tout ce qui refuse la courbette et la provocation de la souffrance pour se repaître de la grâce innocente, parce qu’on en est irrémédiablement dépourvu. Une inversion fondamentale est nécessaire au maintien de l’idole sur son piédestal, dans une novlangue déjà bien présente chez non seulement Sade, mais aussi Chanderlos de Laclos, et que Pascal avait déjà combattue dans son pari, et dans ses Provinciales contre les captieuses pirouettes verbales jésuitiques qui blanchissaient la noirceur. Depuis le temps des usagers de l’hôpital général, et certainement depuis bien avant, cette humanité sans affect avait défini les modes inversés de l’apaisement de son courroux, pour se donner bonne conscience, quand même, mais sans trêve.

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Oui c’est juste ! D’ailleurs Bowie a écrit une chanson á propos des chaussures rouges :
(...) Put your red shoes on (...) and "Let’s dance’ !

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Y a-t-il encore des filmes qui élèvent l’esprit, inspirent des sentiments nobles et courageux ?

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Une fois de plus, très grande analyse d’Alain Soral. Merci de nous avoir fait remarquer les travers incestueux des gauchistes dans leur ensemble, qui aiment assouvir sans retenu leurs fantasmes sexuels les plus criminels, quitte à briser des vies. Ils sont protégés par la juridiction parce que de gauche.
Un type d’ultra droite n’est certainement pas pédocriminels ou pédophile. Ces travers fait parti du travail de destruction de l’humanité incarné par la gauche.

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