"Je me détesterais si je commençais par parler de mon livre. La première chose que je veux faire c'est de demander pardon" Yann Moix #ONPC pic.twitter.com/2WlSgimPB0
— On n'est pas couché (@ONPCofficiel) August 31, 2019
Comment parler du mois d’août sans parler de l’homme du moment, de l’écrivain SM qui se flagelle tout seul et qui accuse ses parents (30 ans après) et les antiBHListes primaires du Net ? Pour un peu on aurait dit un chiite qui célèbre l’Achoura, (et pas l’Achourave, cette fête sioniste), ce mélange de sang et de larmes qui commémore la mort de Hussein, le petit-fils du prophète. Ce samedi soir sur France 2, la chaîne qui nous vole notre redevance pour faire la propagande de Sion, Yann commémore BHL, petit-fils de Satan.
Vous allez voir ce qu’est la ferveur, ce truc qu’on a un peu perdu en Occident et qui permet de ressouder un peuple et de faire trembler ses ennemis :
L’explication de ces lamentations et flagellations :
Nous voici à Kerbala, en Irak, ou en Iraq, au choix, comme ça le correcteur nous fera pas chier :
La ferveur, la foi, l’union dans la foi, ces choses importantissimes qui sont en train de partir en sucette en France, sur décision du pouvoir profond et de ses réseaux occultes destructeurs. Destructeurs de l’unité de la nation et de la foi qui soude.
En bout de chaîne, ça produit des Yann Moix en série, des porteurs du virus de la Haine (formule chimique sur demande au Grand Sanhédrin), au plus grand bonheur du grand Diviseur, que nous ne nommerons pas, vous n’avez qu’à jeter un œil prudent dans un dictionnaire des synonymes.
- Rassembleur contre Diviseur
Moix va donc pleurnicher sa race sur ONPC ce samedi 31 août que ses parents et la soralosphère c’est des méssants et que BHL il est zentil. Le Parisien a assisté à l’enregistrement :
« Yann Moix commence, profil bas : “Mon cher Laurent, je me détesterais si je parlais de mon livre. La première chose, je demande pardon pour les dessins abjects, choquants que j’ai commis à 20 ans (NDLR : une série de caricatures et textes antisémites dans la revue artisanale ’Ushoahiah, le magazine de l’extrême’). Le jeune homme que j’étais, je lui cracherais dessus aujourd’hui”. Et il enchaîne, la voix chevrotante : “Je demande pardon à Bernard Henry-Lévy, (NDLR : insulté dans ce même fanzine et aujourd’hui proche de Moix) et à tous ceux que j’ai blessés du plus profond de mon être. Pardon pour ces bandes dessinées”.
Moix déroule : “Quant à Marc-Édouard Nabe, (NDLR : écrivain accusé d’antisémitisme qu’il a fréquenté à une époque) Bern, Ardisson, ou même Pivot l’ont invité. Moi, je lui ai envoyé un SMS en 2007 pour lui dire Va te faire enc… après ses attaques contre l’État d’Israël. Je n’ai rien à cacher. Je veux en finir avec ce chantage”. Pendant des années, Yann Moix assure avoir vécu avec la peur que son passé resurgisse : “J’en ai crevé de trouille”.
S’ensuit sur le plateau une séance d’autoflagellation, quand il revient sur ses 20 ans. “Je n’avais pas les épaules assez larges pour me suicider physiquement alors je me suis suicidé moralement. J’ai un dégoût de moi-même, ce raté, cet être méprisé et méprisable. Je me vomissais”. Ou encore “Je suis un lâche”, “J’ai été une ordure”. Et il ajoute : “Mais j’ai essayé de m’arracher de ce trou noir, de ce cauchemar grâce à des gens lumineux comme BHL qui m’ont permis de me construire intellectuellement. J’ai essayé de me racheter toute ma vie, de combattre la xénophobie”. »
Un ONPC nouvelle formule enrichie en supersionisme !
Un petit tuto pour que Yann, ce shabbat goy qui ramasse miettes et crottes du banquet des princes (de ce monde), réussisse sa conversion au sionisme :
Breaking news !
Écoutons le commissaire politique de cette pauvre goyette d’Élisabeth Quin, Claude l’indéboulonnable, qui a un imprononçable nom de camp :
Verdict de la Communauté de loupiote : carton jaune pour Yann, mais faut pas recommencer sinon c’est le rouge !
Ouf sa race comment qu’il a dû flipper le pauvre goy ! Sa (nouvelle) foi l’a sauvé, mais il a frisé la correctionnelle, selon l’expression consacrée de Thierry Roland, qui soit dit en passant n’était pas raciste puisqu’il a eu un enfant de couleur (bleu, blanc, rouge), justice lui est donc rendue ici.