@ alderic-dit-le-microbe
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Il y a des solutions déterminantes à ces problèmes, des solutions qui sont en germe dans les fondements de l’informatique — la science du traitement de l’information —, lentement muries conceptuellement, qui vont éclore progressivement et rentrer en production, qui induiront la convergence des points de vue vers un consensus plus vaste sur base rationnelle :
Cette convergence accrue des points de vue vers un consensus plus vaste (sur le diagnostique et, in fine, sur les solutions à adopter), sur base rationnelle, impliquera :
la capacité d’exprimer une requête auprès d’une communauté déterminée, induisant l’accès à l’information avec un niveau d’approfondissement paramétrable (et minimisable), via la production automatisée d’une réponse adaptée à la requête, non seulement en terme sémantique, mais aussi en terme de modalité (texte, vidéo) et de temps que l’utilisateur veut bien accorder pour consulter la réponse ;
la capacité de parcourir l’espace de la connaissance par :
—> des requêtes en langage naturel (et par un processus de désambiguïsation de la requête, dans un dialogue homme / machine) ;
—> un parcours indexé via sélection de l’extrait (texte / vidéo) sur lequel on veut un niveau d’approfondissement différent ;
la capacité de croiser les points de vue, en adressant une requête auprès d’une collection déterminée de communautés de journalistes-citoyens, pour obtenir ce qui fait consensus ou ce qui diverge entre elles sur le sujet considéré ;
la capacité à s’informer auprès de sources de confiance, la confiance s’obtenant par :
—> la transparence des processus de validation de l’information (impliquant la traçabilité) ;
—> des règles épistémo-démocratiques de fonctionnement ;
—> des contributions signées numériquement ;
—> des audits opérés par des tiers et relayés sur les réseaux sociaux, induisant la transitivité de la confiance.
[ Sur la résilience des système de guidage des missiles hyper-soniques ]
Les systèmes de guidage des missiles hyper-soniques (possiblement autonomes en fin de course), dont l’électronique est protégée par le blindage d’une cage faraday, alors que le vecteur parcours 1 km en 0,4 secondes, ne sont pas aisément trompés ni détruits.