Les américains ces donneurs de leçons.
Le saviez-vous ? Pendant les guerres indiennes ,ou conquête de l’ouest, euphémismes pour dissimuler l’extermination des peaux rouges. Les autorités US proposaient de signer un document officiel avec les indiens, qui stipulait la promesse de ne pas faire l’ acquisition de territoire et l’installation de colons sur les terres ancestrales des tribus indiennes.une fois le document signé, le pacte scellé, donc des indiens en confiance baissant leur vigilance, les armées US les attaquaient, au fusil, au revolver à la Gatling et au canon.les affamaient en exterminant touts les bisons ( des millions notamment par Buffalo Bill) les repoussant plus au nord pour qu’ils meurent aussi froid.Les indiens indignés par cette infâme félonie rappelaient aux américains les pactes signés, et bien les américains déclarèrent aux malheureux indiens que ce n’était que des bouts de papier sans valeur , et que les sauvages ont été bien stupides de compter sur ça. Alors quand j’entends Franklin Delano Roosevelt dire : " Hier 7 décembre 1941 – une date qui restera marquée par l’infamie" après l’attaque de Pearl Harbor, il sait de quoi il parle en tant que professionnel.Ou quand les américains reproche à Hitler de ne pas respecter les traités conclus , je me dis qu’un tel culot c’est affligeant.
Terrorisme maintenant cela fait plus de 20 ans qu’on nous rabâche les oreilles avec ce fléau mondial. Lors de la lecture du magazine NAM sur la guerre du Vietnam, un béret vert (Special Force) américain, œuvrant pour les basses besognes de la CIA ( certainement durant le programme Phoenix ce programme consistait à recueillir du renseignement sur les personne soupçonné de soutenir le vietcong de rédiger une liste et de les enlever pour les torturer et ou les assassiner , les collecteurs d’impôt révolutionnaire, ceux qui fournissaient de la nourriture étaient exécutés sommairement. Les prisonniers faits dans les opérations militaires, étaient envoyés à la "corvée de bois" comme on disait pendant la guerre d’Algérie. Le béret vert disait : " on avait une liste de gens ,le boulot était de venir la nuit d’ accroché une grenade à la porte de la hutte,et dès que quelqu’un sortait, boum ! On tuait les chefs de villages qui étaient suspecté d’indulgence avec les vietcongs,on tuait les membres de leur famille pour les dissuader d’aider l’ennemi, il vivaient sous la menace permanente, en gros mon job au Vietnam , c’était de faire du terrorisme.
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