Nous sommes au cœur de la perversion d’un monde ne fonctionnant plus que selon l’approche technocratique poussée jusqu’au délire. Toute situation, tout fait sont systématiquement passés au tricottage des machines à algorithmes censées régurgiter in fine des statistiques lesquelles autorisent ensuite des technocrates à en tirer des conclusions quasi définitives.
Là est le problème et par extension, le mensonge.
Le Vivant ne répond en aucun cas à une litanie de statistiques censées exprimer une articulation logique, procédurale et inamovible de la vérité. Malheureusement, c’est exactement ce que notre modernité finissante et délirante s’entête à pratiquer pour imposer via des médias univoques une unique vérité dans chaque domaine étudié.
Une constante peut cependant être observée dans ce systématisme pragmatique inquiétant... la fabrique de la peur comme instrument de manipulation majeure au sein de notre civilisaiton dont le langage n’est plus le logo mais... le nombre.
Tout comme l’homo economicus s’avère incapable de présentir le temps qu’il fera, il lui est désormais devenu impossible de sentir la réalité - à défaut de ne pouvoir y accéder. Le système a donc inventé un monde parfaitement artificiel dont le substrat est la numérisation intégrale du vivant.
Au cœur de ce monde artificiel, la divinité est la Statistique qui n’est rien d’autre que le jus technocratique de la Grande Machine appelée - par les plus délirants - à gérer l’intégralité de la vie humaine. Poussé à son extrême, on obtient un Ferguson dont les travaux statistiques sur une pandémie imaginaire et projetée a donné le plus grand délire planétaire qu’est le covid2019.
Dans un monde qui a litérallement achevé, par castration symbolique totale, la dynamique du "yang" (masculin, virilité, action, raison) et imposé à sa place le principe du "yin" (féminité, intériorité, protection, imaginaire sensitif), la Femme est devenu l’outil de destruction le plus redoutable de la Pensée et de la Raison au profit de l’Infantilisme et de l’’enveloppement maternant intégral.
Le féminisme n’est rien d’autre que la 1ère étape de ce mouvement planétaire dévastateur qui accouche toujours in fine d’une barbarie auto destructrice pour tous les peuples. L’instinct maternel, dans son expression omnipotente infantilise les hommes, empêche l’intégration des limites (la Loi du Père) et par conséquent, pousse au retour à du primaire.
C’est le spectacle qu’offrent les néo féministes...
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