Beaucoup des commentaires sont assez tristes.
Mais j’imagine que tout cela dépend de ce qu’on a reçu comme éducation, et de ce qu’on souhaite dans la vie dès l’adolescence : je n’ai jamais voulu qu’une seule femme pour la vie, et je ne l’ai rencontrée qu’au-delà de mes trente ans, alors que le monde entier me disait depuis très longtemps que je ne trouverais jamais une femme comme celle que je voulais.
Mais le monde se trompait comme toujours. Je suis marié, père de cinq enfants pour l’instant, heureux moi-même mais toujours désemparé devant le malheur des hommes que je vois bien et dont je peux voir les causes sans pouvoir y remédier.
J’ai beaucoup de mal à imaginer ces cas de violence conjugale dans n’importe quel sens, et encore plus dans ce sens que Virginie décrit, tellement il me semble absurde pour un homme de se laisser faire (au moins pour les violences physiques) mais puisque ça existe je suis bien obligé d’y croire... il faut croire que mon père a su me transmettre un principe dans ce domaine malgré tout : "on ne frappe jamais une femme même avec une rose."
L’idée même de ma mère cherchant à faire violence à mon père est tellement ridicule que pas une seconde elle ne pourrait m’effleurer, pas plus que celle de mon père frappant ma mère d’ailleurs. Totalement inimaginable.
Qu’est-ce que c’est que ce monde de sauvages et de tarés qui s’associent pour du plaisir ensemble au lieu de se marier et de fonder un foyer riche d’enfants, deux qui ne font plus qu’un, ensemble pour le meilleur et pour le pire ?
Évidemment, je parle d’un vrai mariage qui ne peut être rompu que par la mort, pas du contrat civil et républicain qui n’est qu’un contrat comme un autre et n’apporte que les garanties du marché : celles qui font que l’honnêteté sera ridiculisée, et la trahison bien menée, profitable.
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