Avant de changer le titre qui n’était pas très frenchy, on voulait écrire « d’un grossissage de testicules » mais le correcteur Word a bipé : non autorisé. Alors on a mis engrossage, même si ça peut prêter à confusion. Des lecteurs vont croire qu’un homo australien, un australopidèque, a voulu se faire inséminer par les couilles ou un truc dans le genre.
Or ce n’est qu’à moitié fou : aujourd’hui, avec la déliquescence des mœurs et les progrès de la science, par exemple, Pierre Ménès peut tomber enceint d’un arbitre qu’il déteste, ou une fiotte de la mode se marier avec son clebs. Tout est possible, Morandini – le grand journaliste qui dessape les ados pour l’actu – avait raison.
- Gorille et orang-outang (2018)
De la naine blanche à la géante rouge qui explose
Chaque jour tombe sur nos téléscripteurs (La Rédaction est hyper connectée) des infos que personne n’aurait pu imaginer il y a 10 ans de cela. Les vannes hardcore d’hier sont devenues réalité. Mais ne dramatisons pas : pour un homo qui meurt d’une couille géante (une géante rouge ?), la plupart des homos ne sont pas dingues au point de vouloir changer leurs mandarines (ou leurs noix) en pamplemousses.
« Quel genre de personne s’injecte du silicone dans ses testicules... Quel genre de personne fait ça ? Quelqu’un qui se sent si mal dans sa peau, quelqu’un qui était vulnérable, qui voulait juste votre amour à tout prix... et le coût de sa vie. » (Linda, la maman de Jack)
C’est aussi ça l’effet désastreux de la puissance médiatique, avec son lot de multiplications des pains sociétaux (et des plans sociaux) dans la gueule d’un public captif : on généralise l’exception, le Mal devient absolu. Or on connaît plein de couples normaux – hétéros ou homos – qui ne passent pas leur temps chez le chir séfarade ou dans les touzes avec Moix. En extrapolant, on peut dire que la plupart des Français ne sont pas devenus ultralibéraux, même si la clique qui a braqué l’Élysée le 7 mai 2017 tente de nous faire croire le contraire. Le 17 novembre, on verra ce qu’il en est...
- Jack & Dilate posent ici avec des couilles gonflables volantes aux couleurs du drapeau LGBT
Jack Couille et la fripouille
Mais ne nous égarons pas dans la politique. Et lisez bien ce qui va suivre, ça donne une idée des délires communautaires et de leurs conséquences.
Jack Chapman, est dont mort d’une explosion de couille le 15 octobre 2018. Cela faisait 4 ans que cet âne se faisait injecter du silicone dans les couilles et la queue pour se vanter sur les réseaux sociaux et faire plaisir à son gentil petit ami, qui doit bien peser dans les deux tonnes et qui répond au doux nom de Dylan Hafertepen [1]. Enfin, gentil est un grand mot, parce que Dylan aurait vivement conseillé Jack de se farcir le pacson de silicone, ce qui présente un énorme risque de dissémination dans le corps. De plus, Dylan aurait hérité des 200 000 dollars sur le compte de ce pauvre Jack [2].
Au moins Pipo & Pompo, nos deux divas de l’anus qui avaient pronostiqué l’élection de Macron bien avant nous – et là on leur tire notre chapeau, mais juste le chapeau – ne sont-elles pas devenues folles au point de se martyriser le corps pour ressembler à des rorquals poilus. En tout il faut de la mesure, disait un philosophe dont on a oublié le nom et qu’on a la paresse de rechercher dans Google qui déréférence à mort toutes nos vidéos. Pas la peine pour une référence à la con de faire de la pub à ces truands d’Américains.
En conclusion, car il en faut bien une sinon on va nous accuser de mettre des papiers cul en ligne juste pour faire du buzz, eh bien on dirait que ce genre d’informations, qui s’accumulent depuis quelques années, celles de la grande offensive LGBT mondiale contre les hétéros, eh bien tout cela pour nous est très violent. On voit chaque jour la dinguerie post-genre gagner du terrain et déglinguer les gens, les hommes surtout, parce que pour être une femme faut pas faire beaucoup d’efforts, alors que pour être un homme y a des étapes, des rites comme disent les ethnologues (ou les anthropologues).
Dans notre société occidentale un peu pourrie, il faut avoir couché avec une femme avant d’avoir 50 ans, si possible une non-pute mais si on peut pas faire autrement alors une pute, se battre dans la rue à mains nues, savoir perdre au foot, engueuler sa gonzesse et la remettre au turbin, gagner du pognon, coucher avec la meilleure copine de sa femme, se bourrer la gueule avec une boisson d’homme, draguer sa belle-mère pour faire chier sa femme, etc. Ce ne sont pas des rites vraiment traditionnels mais ils peuvent faire office de rites.
On parlait de la violence LGBT permanente contre l’intelligence, la morale, la beauté : cette violence-là, tous les hétéros pas forcément homophobes la ressentent chaque jour, quand on voit par exemple une affiche avec une sodomie dans le métro, tout ça préparé par les bons soins des associations soi-disant anti-homophobes alors qu’elles sont 100 % hétérophobes. C’est violent et ce n’est pas trois yeux au beurre noir de jeunes homos qui ont eu le tort selon certains de s’embrasser dans la rue qui vont changer le rapport de forces.
La survictimisation médiatique des homos calquée sur la survictimisation des juifs est le signe d’une violence inversée.
Peut-être qu’un jour, comme les cartes SIM vendues à un milliard d’exemplaires par le truand mondialiste Samuel L. Jackson dans Kingsman (oh un méchant Noir, choix curieux pour incarner l’ultramondialisme), toutes les fausses couilles de nos faux hommes exploseront en même temps, refaisant de la virilité quelque chose de vrai, de beau et de bon.