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Black Pride : la cérémonie pour récompenser la visibilité afro-LGBT

Concurrence intercommunautaire Noirs/Blancs et gouines/trans à prévoir

Tout ne se passe pas comme prévu dans le meilleur des mondes LGBT black-pridé (ça se dit ?). À Londres, des activistes lesbiennes anti-trans ont bloqué la Pride. Fierté contre fierté, on n’a pas fini de rigoler...

 

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En gros le message c’est : "les trans, allez vous faire foutre ailleurs"

 

Écoutez avec les raisons profondes de cette transphobie lesbienne par le site komitid.fr :

« D’après Gay Star News, le groupe tenait une bannière sur laquelle les mots “transactivisme efface les lesbiennes” étaient inscrits. L’une d’entre elles aurait même crié “un homme qui dit être une lesbienne est un violeur” et “seule des femmes peuvent être des lesbiennes”. Le petit groupe de militantes s’est, d’après The Guardian, dispersé de lui-même après une dizaine de minutes.

Ces femmes font partie du mouvement des Trans-Exclusionary Radical Feminist (TERFS, Feministes radicales excluants les trans), minoritaire mais très visible au Royaume-Uni ces dernières années. Celles-ci considèrent que les femmes trans ne sont pas de vraies femmes et militent activement pour leur exclusion. Les TERFS ont notamment réclamé la non-inclusion de femmes trans sur des listes politiques à 100 % féminines. Un comportement qu’il est difficile de qualifier autrement que de transphobe. »

Après les homophobes qui cassent du pédé, les gouines qui cassent du trans ?

 

 

Si les gouines hard s’en mêlent, les trans ont du souci à se faire. Dans la grande famille du progressisme, malgré la troustafana infernale du cul, tous les différends ne sont pas encore réglés, loin de là : la réaction hétéro a encore de beaux jours devant elle. Ne touchons plus à rien, laissons ces mouvements s’effondrer sur eux-mêmes, minés par des contradictions internes fondamentales (on n’ose pas dire « naturelles » sinon on va nous accuser de boutinisme).

« C’est une première. La Paris Black Pride organisera, lors de sa prochaine édition les 13, 14 et 15 juillet prochains, une remise de prix inédite. Le 15 juillet, à 19 heures, les Paris Black Pride Awards célébreront la diversité et récompenseront celles et ceux qui rendent visible la communauté noire LGBT+ en France, et en Europe. »

L’article suivant signé Têtu parle de la convergence des luttes entre les Noirs (bon OK, « racisés ») et LGBT. Notre petit doigt nous dit que là aussi tout ne va pas se passer comme prévu, vu la concurrence entre la « Black Pride » et les « Out d’or », et surtout la sortie anti-Blancs (la plupart des LGBT le sont !) de l’activiste britannique Phyll Opoku-Gyimah... Ça sent le sang écarlate !

« Pour cette première édition, la Paris Black Pride remettra des prix dans douze catégories. Parmi les nommé.e.s dans les catégories “Artiste de l’année” et “Personnalité de l’année”, on retrouve le DJ et performeur Kiddy Smile, mondialement connu depuis sa prestation sur le perron de l’Élysée lors de la fête de la musique, l’humoriste Vivianne Émigré ou encore l’activiste britannique Phyll Opoku-Gyimah. »

 

On en arrive au point crucial, le/la « mannequin trans britannique Munroe Bergdorf, qui avait laissé éclater sa colère sur Facebook après les événements tragiques de Charlottesville, aux États-Unis ». Son discours risque de scotcher les blancos de la grande famille LGBT :

« Franchement, je n’ai plus l’énergie de parler de la violence raciale des blancs. Oui, de TOUS les blancs. Parce que la plupart d’entre vous ne réalisent même pas, ou refusent d’admettre que votre existence, vos privilèges et votre succès en tant que race sont bâtis sur le dos, le sang et la mort de personnes de couleur. »

Eh bien, que voilà un joli discours de réconciliation !
Le but de cette cérémonie est de « faire avancer nos causes et nous rendre plus visibles dans l’espace public ». Pourquoi plus visibles ? Vivez heureux, vivez (votre sexualité) cachés !

Derrière le « progressisme », lire chez Kontre Kulture :

 

Le recul civilisationnel du progressisme, sur E&R :

 






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50 Commentaires

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  • #2002101

    Par respect pour les hétérosexuels pudique et les nouveaux arrivants (migrants), les gens qui revendiquent leur sexualité dans l’espace public devraient avoir l’obligation de se balader à poil avec une pancarte indiquant leur "genre". Bah ouais, faut être logique : sexe + espace public = nudité. Ou alors qu’ils/elles/neutres ferment leurs gueules.

     

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  • #2002121

    Après le burn(e) out voici le black out. Comme on dit en anglais, knock yourself out pour "va voir aillleurs".

     

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  • #2002172
    Le 9 juillet 2018 à 20:14 par Ça devient Chaud
    Black Pride : la cérémonie pour récompenser la visibilité afro-LGBT

    Je m’était toujours demandé pourquoi les homosexuels prenaient pour acquis que tout les déviants et dégénérés de la Terre étaient comme eux et qu’ils devaient être solidaires avec eux dans des mouvements en tout ’’genre’’...
    Et avec le fait qu’aujourd’hui la plupart des lesbiennes sont de véritables féminazis anti-hommes et que les hommes ont été politiquement, idéologiquement et judiciairement castrés, ces enragés se cherche de nouvelles cibles.

     

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  • #2002301
    Le 9 juillet 2018 à 23:47 par Georges 4bitbol
    Black Pride : la cérémonie pour récompenser la visibilité afro-LGBT

    Lorsque la charia, charriée par l’immigration massive de peuplement majoritairement musulmane, aura totalement colonisé la Fronce, les LGBTcul seront traités " comme là-bas", au choix : se terrer, la lapidation, le fouet en place publique, la prison, les coups, la pauvreté, l’exclusion.
    Pour l’exil, personne n’en voudra.
    Idem pour les féministes genre de Haas ou les foldingos type fourest ou angot.

     

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  • #2002385

    Cette Viviane Emigré n’est pas drôle du tout. On en rencontre et entend tous les jours des femmes pénibles de ce genre qui font du matrone-spreading. Les gens ne sortent plus de chez eux, étonnez-vous.
    Qu’elle émigre en sens inverse.

     

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  • #2002467

    "Bâtards de Rhénanie" (en allemand : Rheinlandbastard) est le nom péjoratif donné sous le régime de Weimar puis sous le Troisième Reich aux enfants afro-allemands, nés d’unions mixtes entre personnes allemandes et africaines, généralement des femmes allemandes et des hommes des troupes coloniales françaises lors de l’occupation de la Rhénanie après la Première Guerre mondiale. Adolf Hitler décrit les enfants nés d’unions avec des soldats africains des forces d’occupation comme la contamination de la race blanche « par le sang nègre sur le Rhin, au cœur de l’Europe ». Il écrit également que « les Juifs sont responsables de la venue des Noirs en Rhénanie, avec pour but ultime l’abâtardissement de la race blanche qu’ils honnissent, afin d’abaisser son niveau culturel et politique pour que le Juif puisse la dominer ». Il considère également que les Français sont partie au complot, considérant que la population française était de plus en plus « négrifiée ». Alfred Rosenberg n’était pas en reste, lui qui écrivait dans son Mythe du vingtième siècle en 1930 que la France se trouvait alors « à la pointe de l’abâtardissement de l’Europe par les Noirs… et [était] en cela encore à peine à compter parmi les États européens, mais plutôt comme un avant-pont de l’Afrique, avec les Juifs à sa tête ».

    Il est évident que le racisme du troisième Reich à l’égard des noirs a été inadmissible et assez inhumain (notons que la "mémoire" semble semble assez défaillante contrairement à d’autres). Pauvres bâtards afro-allemands ! On imagine qu’ils n’ont pas eu la belle vie. Mais pourquoi y a t-il aujourd’hui des forces politiques qui, en ce qui concerne l’analyse d’Hitler autour d’un plan d’abâtardissement de la race en Rhénanie, ont tendance à confirmer sérieusement cette thèse d’un plan préconçu général concernant l’Europe entière ?

     

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  • #2002468

    Jusqu’où va t-on creuser !!!

     

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  • #2002479

    Cette histoire de "visibilité" mérite d’être creusée. Les lgbtq, déjà, c’est quoi ? 1%, 2% de la population totale ? Or, en terme de présence dans les media, entre les revendications, les actions diverses et le soutien inconditionnel des élites ( toutes tendances confondues ! ), on jurerait qu’ils représentent rien moins que la moitié de la population totale ! Qu’est-ce que ça veut dire ? Qu’est-ce qu’ils cherchent ?

    Là, deux remarques. Un, le peuple, en 2018, en gros, s’en fout des lgbtq. Qu’ils vivent leur vie et ne fassent pas chier. Je crois que c’est le sentiment majoritaire ( il y aura toujours deux, trois crétins, les idiots utiles, pour agresser tel ou telle et permettre que la propagande continue, si possible ad vitam aeternam ). Qu’est-ce que ça veut dire, "faire chier" ? Faire chier, c’est précisément avoir à constater que, malgré le caractère ultra-minoritaire de leur communauté, on est tous obligés de faire comme si ils représentaient la moitié d’entre nous, du fait de la place invraisemblable qu’ils ont prise dans les media, avec la bénédiction évidente de ces derniers et de nos élites.
    Deux, et c’est là sans doute le plus important. Toute cette place prise pour parler de la soi-disant "homophobie" et tout le discours qui va avec, permet de mettre de côté ( ou de marginaliser ) le vrai problème, celui qui touche la plus grande partie d’un peuple français en voie de paupérisation : le discours sur la répartition des richesses. Là, il y a du monde concerné. Vraiment.
    Mais c’est mieux ( = plus utile ; d’un certain point de vue, s’entend ) d’occuper toute cette place par des revendications de nature sociétale, plutôt que sociale : ils sont une authentique minorité, ce qu’ils réclament ne changera rien sur le fond quant à la répartition des richesses. Les milliardaires français, propiétaires des media ( là où vont parler nos élites politiques... ) peuvent dormir sur leurs deux oreilles : on est tous occupés à combattre l’homophobie, le racisme, l’antisémitisme, etc. Les vraies priorités, quoi...
    Une dernière chose, fondamentale pour moi. Les militants qui prétendent représenter les minorités "exploitées", "racisées", "phobisées" ne représentent en réalité qu’eux-mêmes. C’est même le principe du militantisme. Le gars, là, le "non-binaire" qu’est devenu une vedette, il milite simplement parce que ça lui permet de sortir de ses problèmes psy personnels. Comment ? Par l’exercice du pouvoir et de l’influence. Le pouvoir et son exercice sont une drogue

     

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  • #2002488

    Donc vu que l’américanisation des homosexuelles suit strictement le même déroulé qu’aux USA, les étapes suivantes sont :

    1) La réclamation de "Safe spaces" (espaces "sécurisés" réservés aux "minorités") pour noirs, bouddhistes, musulmans, LGB - qui manifestement sont en train de faire scission avec les T et les Q - féministes, non-binaires, pompe-à-vélo-philes ou raton-laveur asexuel, dans les universités, puis dans toutes les écoles et enfin dans tous les lieux publics.

    2) La création de nouveaux pronoms qui ne soit pas "Il" ou "Elle", "Son" et "Sa", "Tien" et "Tienne" (Oh pétard ! j’ai mis le masculin avant le féminin comme le sale privilégié de mâle blanc cisgenre catholique genré que je suis ! bon je fais comme si de rien n’était... J’espère que les succubes Fourestaphilax et DeHaasSicator ne verront rien) afin de lutter contre cette oppression faite aux non-binaires depuis cro-magnon...

    D’un côté je me dis que cette pantalonnade ne peux pas durer longtemps, d’un autre je m’inquiètes pour tous ceux qui ont des enfants et le torrent d’excréments que nos "éducat-eurs-rices" (ça va là j’ai bon ?) vont leur déverser dans le crâne et le gros travail de déconstruction qui attend les parents dont les vies se compliquent un peu plus à chaque instant...

     

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    • #2002896

      Juste par rapport à la dernière partie de votre message... Ca se poursuit. L’école obligatoire à 3 ans n’a d’ailleurs pas d’autre ambition que de permettre aux "enseignants" de bourrer le mou un peu plus à nos enfants... Et ce toute la journée ! Car jusqu’ici, les enfants de 3 ans qui allaient à l’école (on estime que ça représentait 97% des enfants...) avaient la possibilité pour certains d’être gardés par papa/maman/mamie/nounou l’après-midi histoire de faire la sieste à la maison tranquillou. Oui mais voilà ! Le pendant de l’école rendue obligatoire à cet âge c’est que désormais l’école est obligatoire TOUTE LA JOURNEE. En clair, les mômes vont en baver encore plus (ne parlons pas des à-côtés vaccinatoires...). La seule chose qui me console c’est que les "enseignants" aussi vont en baver encore plus. 30 mômes à surveiller durant la sieste, c’est quand même plus chiant que 15. Mais pour la grosse partie qui a voté pour lutter contre "la salope fasciste" l’année dernière, allez, reprenez-en encore une part, c’est cadeau !

       
  • #2002673

    Je tiens à rappeler que tous les homosexuels ne soutiennent pas ce genre de dingueries. Quiconque à un cerveau peut comprendre que tout cela consiste à diviser le peuple (dans sa masse) en entités de plus en plus petites divisées entre elles et donc contrôlables.
    La majorité des homosexuels soutiennent le mouvement LGBTQ sans réellement comprendre de quoi il retourne vraiment : pour beaucoup c’est juste une manière de se singulariser en montrant son c... Mais quoi de plus normal dans un pays où les gosses sont sexualisés, la culture tournée en dérision et la bêtise exaltée, où un plug anal devient un œuvre d’art exposée sur une place de Paris. Le sketch de la gaypride fait par Dieudo n’est pas une caricature : c’est un documentaire. Le problème et le paradoxe de LGBTQ c’est qu’il font de cette image caricaturale de la "pédale" une norme que vous n’avez pas le droit de critiquer seulement, sous peine d’être "homophobe", et vous êtes priés de vous convertir messieurs-dames...
    Ce lobby rejoint le lobby de Lumière dans la mesure où, pour le malheur, une majorité de Juifs sont sionistes, sans se rendre compte que ce dernier ne travaille que pour leurs élites. Au mieux ils serviront de chair à canon si les choses tournent mal. Comme leurs camarades LGBTQ.
    Les français ne sont pas antisémites dans leur majorité, tout comme ils ne sont pas anti-homosexuels non plus. La tradition française est de vivre et laisser vivre, à condition de ne pas venir les tarauder inutilement. Les deux tiers de la population juive de France à survécu à la Seconde Guerre Mondiale, alors que dans bien des cas c’est les deux tiers qui ont disparus : cela doit bien signifier quelque chose.
    De même comme l’a déjà dit Alain Soral, il n’y a pas de "police des braguettes" en France : en gros "fais ce que vouldras" dans un espace privé et entre adultes consentants.
    La destruction des nations, en particulier de la France, n’apportera que le malheur et la mort à ces minorités, parce qu’elle s’accompagnera forcément de mouvement migratoire de populations pas franchement bien disposées à leur égard, c’est le moins qu’on puisse dire. A moins qu’allant trop loin le Français réagisse face à ce travail de sape : mais il ne fera pas le détail, hélas !

     

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