Le féminisme idéologique ne défend pas les femmes, bien au contraire. Le chanteur hispanisant Alejandro Sanz vient d’en faire l’expérience.
Il a interrompu son récent concert à Rosario (Mexique) pour réprimander un homme qui, dans les premiers rangs de l’assistance, maltraitait une femme, puis il a appelé la sécurité pour le faire sortir de la salle avant de reprendre son spectacle.
Cette attention pour une femme maltraitée a soulevé l’ire des féministes. Au lieu d’applaudir l’attitude chevaleresque de Sanz, comme l’ont fait la Garde civile, la Police nationale et les vedettes Antonio Banderas et Monica Naranjo, les « féministes » ont critiqué le chanteur l’accusant de « machisme patriarcal ».
L’assaut est parti du collectif « feminiprogre ». Selon ces hystériques, les chansons romantiques d’Alejandro Sanz « sont causes structurelles de la violence contre les femmes » !
De son côté, Alejandro Sanz a déclaré :
« Je n’ai fait rien d’extraordinaire (…). J’ai vu quelque chose qui, je crois, était mal. Je pense que maltraiter quelqu’un n’est pas bien, en particulier si ce sont des femmes, cela me semble bien pire. »
L’Association Femmes unies contre la maltraitance (MUM) ne s’y est pas trompée : « Le geste d’Alejandro Sanz est plus efficace que n’importe quelle campagne », a déclaré sa présidente Carmen Benito.
Macho :
Gros con pitoyable dont on a dit depuis trente ans tout le mal possible, mais aussi : mâle pudique à l’ancienne qui respectait sa mère, protégeait sa femme et se sentait responsable de ses enfants, soit le contraire de la demi-fiotte actuelle, si fragile et toujours à sa propre écoute, dont les femmes avouent avoir de plus en plus de mal à se satisfaire...
(citation imprimée sur le maillot « Macho » en vente chez Kontre Kulture)