Cette nouveauté progressiste sent la cellule psychologique à plein nez. On ne serait pas étonnés de voir quelques élèves brutaux mal prendre le changement de sexe de l’adulte qui est censé les instruire et leur apprendre un peu la vie.
Un modèle, voilà ce qu’était le prof. En changeant de sexe devant les enfants, ce prof annonce une ère nouvelle dans l’Éducation nationale : celle de la dégradation définitive des mœurs, de la fin absolue de l’autorité, de la négation des valeurs, le début d’une violence incontrôlable. On prend tous les paris.
Notez bien que cette prophétie n’a rien à voir avec de la « transphobie » ou autre niaiserie micro-communautaire : il s’agit de quelque chose de beaucoup plus grand qui est validé par la verticalité politique et qui touche au satanisme, c’est-à-dire à la sape programmée des valeurs religieuses qui font tenir – encore un peu – notre société debout.
Le vice, c’est d’avoir caché cette volonté de destruction derrière la « tolérance », ce lubrifiant personnel et social pour la pénétration du Mal. La tolérance est bien le masque du Diable.
Accepté.e en Fac de sociologie option féminisme ! Trop content.e !#Parcoursup pic.twitter.com/hQc9Whrrse
— Zeyd (@Haurus66) 22 mai 2018
Depuis mardi [22 mai 2018], un professeur de français a entamé un processus de changement de genre et porte des vêtements de femme. L’établissement avait annoncé vendredi la nouvelle aux parents et aux élèves.
« La première fois qu’on le verra habillé en femme, ça nous fera bizarre. Mais on s’habituera petit à petit », réagissent deux élèves du collège de la Grange du Bois, à Savigny-le-Temple, à l’annonce du changement d’identité de genre de leur professeur de français.
Suite à la demande de cet enseignant contractuel qui enseigne en classe de 6e et 4e, le chef d’établissement a contacté le rectorat de l’académie de Créteil et la direction départementale des services de l’Éducation nationale en début de semaine dernière afin d’obtenir leur accord.
La principale est intervenue auprès des élèves dans toutes les classes avant d’adresser un courrier à leurs parents vendredi dernier. « À partir de mardi, le professeur de français sera habillé en femme. Monsieur B… entame un processus de changement de genre pour devenir une femme. Il aimerait être appelé Madame et non plus Monsieur », précise la lettre.
« Son professeur reste son professeur de français »
« On ne s’y attendait pas, ajoute une élève de 3e. Ma mère non plus mais elle ne semble pas contre. On a déjà un voisin qui se travestit et sort parfois dans la rue avec des vêtements de femme. Il a d’ailleurs marqué Monsieur ou Madame sur sa boîte aux lettres. »
« S’ils éprouvent le besoin d’en parler », élèves et parents sont invités à contacter le secrétariat de la principale, l’infirmière ou l’assistante sociale. « Je compte sur votre plus grande compréhension pour accompagner votre enfant au mieux et lui expliquer que son professeur reste son professeur de français », peut-on encore lire.
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« Rien ne nous choque ; ni le sujet ni la circulaire. Il aurait cependant été plus judicieux d’attendre le début d’année », réagit-on à la Fédération départementale des conseils de parents d’élèves (FCPE77).