@Seb,
Effectivement, c’est une réaction véhiculant un certain cris du cœur (étant donné que je ne suis qu’un pauvre humain et non une machine froide et mécanique) qui n’est que le résultat de mes différents point de vue et espoir construit dessus.
En effet, je pense, tout comme l’exprime Belpois, qu’un chef est une fonction pertinente dans un système sociale, et de voir que malgré toute la bienveillance d’une partie de l’humanité, a œuvrer pour le bien de tous via des systèmes, des règles, des idéologies, des spiritualités, de la culture, bref de tous les outils qui peuvent grandement faciliter le chemin du bonheur, il y a toujours la gangrène qui veille a tout faire dégénérer.
Et puis certes aussi le monde est complexe du fait de l’imprévisibilité présente en ce monde, dont nous n’avons aucunes maîtrises, et qui échappe à nos libres arbitres qui d’ailleurs nous font ou non agir, et donc qui ne fait pas voir le monde simplement en blanc ou noir, ce qui produit une certaine magie dans cette vie ;
Mais aujourd’hui la gangrène est clairement identifiée, et le dialogue avec elle est malgré ces millénaires passés à faire des compromis, mission impossible. Elle est toujours dans l’action de tout envahir.
Alors partant de ces constatations, aujourd’hui mon cœur balance entre m’occuper de ma pauvre personne et de mon entourage tant bien que mal en faisant abstraction de toute la gangrène envahissante, ou m’armer de puissant détergeant et stratégie d’application efficace pour nettoyer la planète de ce pourrissement. Ce ne sera pas faute de ne pas avoir mis d’effort à dialoguer pour arriver à un équilibre certain où la gangrène peut également vivre sans empiéter sur la majeur partie de ce monde. Chacun à sa place en ce bas monde, et nul ne peut prétendre le droit de coloniser pour son propre développement narcissique.
M’enfin, tout cela est simplement ce que je pense du monde actuel et n’étant pas une masse critique à moi tout seul, un certain désemparement m’opprime depuis bon nombres d’années.